Témoignages PSI/PSI*
Quentin DA SILVA intègre l’ENS RENNES en 5/2 en 2022
La prépa nous instruit énormément sur nous-mêmes : rigueur, efficacité, ambition, organisation, façon de travailler… Ainsi, j’ai fait 3 ans de prépa (MPSI/PSI*) afin d’intégrer l’Ecole Normale Supérieure de Rennes dans le département mécatronique grâce à une équipe éducative très disponible, bienveillante et encourageante.
Timothée FAITROP intègre Centrale Lille en 5/2 en 2022
J’ai commencé la prépa par une MPSI à Clemenceau, qui a été marquée entre autres par le confinement. Par la suite je suis allé en PSI* à Roosevelt pour faire moins de maths, ce qui m’a aussi permis d’accéder aux TP de SII (qui sont à mes yeux une manière assez intéressante pour découvrir et apprendre). N’ayant pas obtenu une école qui me convenait en 3/2, j’ai fait une 5/2 pour finalement intégrer Centrale Lille. Tout au long de ces trois années, j’ai été très bien entouré, aussi bien par mes amis rencontrés en prépa que par nos professeurs, toujours disponibles et à l’écoute.
Tom LEMMEL intègre Centrale Nantes en 3/2 en 2022
Après avoir fait mes 3 années de lycée à Roosevelt, j’y ai fait ma PCSI puis ma PSI*. En y repensant je n’ai que des bons souvenirs en tête. La prépa, c’est exigeant, mais ça forge et avec du recul on est content d’y être passé. Pour ce qui est de Roosevelt en particulier, je n’ai rien à redire, tous mes profs étaient très compétents et pédagogues, clairement les meilleurs que j’aie connus au cours de ma scolarité. L’ambiance à Roosevelt est particulièrement agréable, on est loin du « chacun pour soi », stéréotype à propos des classes prépas ayant la peau dure. Quelques mots et conseils adressés aux futurs prépas : garder le rythme pendant 2 ans, c’est un marathon pas un sprint, soyez régulier dans le travail et maîtrisez les bases et les cours avant tout le reste, ne faites pas d’impasse et surtout pas sur les langues. Le plus dur en prépa, c’est de trouver sa méthode (cartes Anki pour ma part mais le plus important c’est de trouver la vôtre) et son rythme, de travail, de sommeil et de détente (pas trop quand même mais soyez capables de vous détendre sans culpabiliser, personnellement je faisais pas mal de sport).
Clément DELATTRE et Mattéo PRESCHEY intègrent l’IMT Nord-Europe, Lille-Douai en 2021
Nous avons intégré la classe de MPSI au lycée Clemenceau en septembre 2018 pour faire suite à notre bac S obtenu avec la mention Bien. A notre arrivée, l’équipe de professeurs s’est montrée rassurante et motivante pour obtenir le meilleur de nous, quels que soient nos résultats. A la fin de notre MPSI, nous nous sommes orientés en classe de PSI avec les encouragements de nos professeurs. Cette rentrée à Roosevelt s’est faite sans aucun souci et nous y avons retrouvé des professeurs impliqués et encourageants. L’ambiance de travail y est motivante et nous a permis de développer notre potentiel. À la suite d’une 5/2, nous avons tous les deux intégré l’Institut Mines Télécom Nord Europe en Génie industriel par la voie de l’apprentissage. Le sérieux de notre parcours préparatoire nous a permis de signer rapidement un contrat d’apprentissage à la suite de l’annonce de notre admission. Aujourd’hui nous sommes tous les deux en apprentissage chez TMMF (Toyota Motor Manufacturing France) à Onnaing
Rabah MEKHALDI entre en L3 de mathématiques à l’université de Reims en 3/2 en 2021
Je suis passé par une prépa MPSI à Clemenceau, puis PSI* à Roosevelt. La différence avec le lycée est très grande et j’ai mis pas mal de temps à m’y adapter. Malgré les périodes difficiles, les camarades et professeurs créent une sorte de petite famille avec lesquels on passe de très bons moments. On en ressort avec pleins de souvenirs. Au-delà des connaissances scientifiques, ces 2 (dures) années nous enrichissent humainement. C’est un choix que je ne regrette absolument pas
Lucas RABEHI intègre l’ESTACA de Paris Saclay en 3/2 en 2021
Je suis arrivé en prépa sans beaucoup de motivation et avec une grande appréhension de cette voie d’excellence. Néanmoins, je me suis très rapidement rendu compte qu’au lycée Roosevelt, l’ambiance était très familiale et bonne à vivre. De plus, l’organisation de forums des Grandes Ecoles m’a permis de trouver un motivation qui, portée par la qualité de l’enseignement de mes professeurs et les nombreuses amitiés que je me suis tissé, m’a amené à décrocher l’école que je visais. Contrairement à ce que j’imaginais, je garde un excellent souvenir de ces années, alliant travail intensif et nombreux moments de convivialité.
Léo THESEE intègre l’ENSAM de Lille en 3/2 en 2021
Les années de prépa font beaucoup grandir, l’investissement qu’elles requièrent est propre aux objectifs de chacun. On apprend à s’organiser et surtout à détecter nos lacunes afin de les combler, le plus difficile selon moi est la gestion du stress car on n’est jamais plus efficace que lorsque l’on est apaisé. Au delà de la dimension travail et performances, il est tout à fait possible de s’octroyer du temps pour des activités culturelles, amicales et sportives ce qui aide à garder un bon état d’esprit. « De plus, l’atmosphère conviviale entre camarades de classe est primordiale et doit être recherchée, de même qu’il faut garder à l’esprit que les professeurs ont pour but de nous voir réussir. » Il faut tout faire pour être satisfait de soi une fois les années passées, c’est avant tout une expérience personnelle (vous travaillez pour vous même) que l’on partage avec les autres élèves et les professeurs ( n’oubliez pas que vous n’êtes jamais seuls).
Hugo VION intègre les MINES de Nancy en 3/2 en 2021
Ces deux années en prépa m’ont permis de m’adapter à un rythme de travail très soutenu et d’acquérir une rigueur importante. Grâce à des professeurs disponibles et une bonne entente dans la classe, je suis parvenu à maintenir ma motivation pour travailler jusqu’aux concours à la suite desquels j’ai pu intégrer l’école des Mines de Nancy
Esteban ANTIER intègre CentraleSupelec en 3/2 en 2021
A la fin du lycée je pensais être sûr de choisir l’ENAC après les concours. Finalement, grâce aux encouragements de mes professeurs, j’ai décidé d’avoir plus d’ambition, de ne pas regretter une opportunité de trouver un métier d’ingénieur où je me sentirais plus épanoui. La prépa est certes condensée, mais la variété des cours que j’ai reçu en PCSI/PSI* m’a fait découvrir de nombreux domaines que je souhaite approfondir. En intégrant Centrale Supélec en formation d’ingénieur généraliste, je me laisse un peu plus de temps pour affiner mon projet et explorer cette porte que la CPGE m’a ouverte. Loin de l’image d’années d’isolation, la prépa permet au contraire l’ouverture à chacun d’horizons nouveaux !
Deux étudiants de PSI intègrent l’Institut Mines Télécom Nord Europe en Génie industrie en 2021
Nous avons intégré la classe de MPSI au lycée Clemenceau en septembre 2018 pour faire suite à notre bac S obtenu avec la mention Bien. A notre arrivée, l’équipe de professeurs s’est montrée rassurante et motivante pour obtenir le meilleur de nous, quels que soient nos résultats. A la fin de notre MPSI, nous nous sommes orientés en classe de PSI avec les encouragements de nos professeurs.
Cette rentrée à Roosevelt s’est faite sans aucun souci et nous y avons retrouvé des professeurs impliqués et encourageants. L’ambiance de travail y est motivante et nous a permis de développer notre potentiel.
À la suite d’une 5/2, nous avons tous les deux intégré l’Institut Mines Télécom Nord Europe en Génie industriel par la voie de l’apprentissage. Le sérieux de notre parcours préparatoire nous a permis de signer rapidement un contrat d’apprentissage à la suite de l’annonce de notre admission.
Aujourd’hui nous sommes tous les deux en apprentissage chez TMMF (Toyota Motor Manufacturing France) à Onnaing.
Thomas SAVARY intègre intègre l’ENSEEIHT de Toulouse en 2020
En sortant de terminal, j’ai décidé de faire une classe prépa car je ne savais pas encore ce que je voulais faire. Je suis alors rentré en PCSI puis en PSI* au lycée Roosevelt.
Ces deux années ont vraiment été très constructives : on apprend beaucoup de choses dans les matières scientifiques mais on développe également d’autres qualités comme la solidarité, l’autonomie ou encore l’organisation. De plus, les professeurs sont toujours à l’écoute et prêt à nous aider en cas de problème. L’ambiance en cours et entre les élèves est également très plaisante. En bref, même si la charge de travail est importante, je vous conseille de tenter l’expérience prépa à Reims, vous ne serez pas déçu!
Smilï GUILLAUMIE intègre l’ENTPE de Lyon en 2020
Ayant toujours été très indécise, je suis rentrée en classes préparatoires pour le nombre importants de possibilités qu’elles allaient m’ouvrir.
Les deux années qui suivirent ont été tout aussi belles qu’éprouvantes. En effet, j’ai eu énormément de bons moments, nombre de fous rires mais aussi quelques coups de mou. Seulement, 2 mois après avoir intégrer l’ENTPE, je suis déjà nostalgique de tous ces moments, et autant les taupins que les professeurs me manquent.
Alors n’hésitez plus, qui que vous soyez, entrez en prépa et vous ne le regretterez pas !
Maxence MARQUANT et Edouard ROLLAND intègrent l’ENSAM de Châlons-en-Champagne en 2020
Au lycée, nous étions tous les deux intéressés par les sciences et n’étant pas sûr de notre orientation professionnelle, nous avons décidé de nous tourner vers le cursus de la classe préparatoire. En effet ce dernier propose à sa sortie de nombreux débouchés.
Après trois années de classe préparatoire, nous avons pu intégrer les Arts & Métiers sur le campus de Châlons-en-Champagne. Séduit par l’aspect pratique proposé par la filière PSI, nous nous sommes épanouis dans ce cursus. Certes ces années à Roosevelt ont été pour nous synonyme de travail mais également synonyme de camaraderie et de bons souvenirs. La participation à des évènements collectifs tel que le Run in Reims, ont su créer une réelle ambiance de classe. Fier de notre expérience c’est avec conviction que nous vous conseillons de venir en prépa à Reims pour faire rayonner vos compétences !
Raphaël PENE intègre l’ENSAIT Roubaix en 2019 :
J’ai effectué ma première année de prépa en MPSI au lycée Clemenceau. Là j’ai choisi l’option SI, j’ai découvert une matière qui me plaisait beaucoup, je me suis donc orienté vers une filière PSI* pour l’approfondir et suivre mes affinités. La prépa m’a permis de développer mon goût pour les sciences, mais plus concrètement, le gros avantage de la prépa est le nombre de portes qui s’offrent à nous avec les concours. Je suis arrivé en voulant devenir pilote de ligne et je suis désormais en école pour devenir ingénieur textile, et je m’éclate ! Mon conseil est donc le suivant : gardez l’esprit ouvert et intéressez vous à toutes les écoles, il y en aura forcément une pour vous !
Louis Demorgny intègre en 2019 INSA Strasbourg avec un contrat d’alternant chez ENGIE-Cofély.
« J’ai toujours été attiré par les sciences, alors pourquoi pas une prépa. Ca a été le bon choix : mes années en prépa (MPSI-PSI) se sont globalement bien passées, j’ai fait beaucoup de belles rencontres, j’ai eu des cours intéressants, et des profs qui savaient m’aider, je me suis fait des vrais amis et j’ai compris qu’avoir un soutien que ce soit pour les devoirs, le moral ou autre, c’est une chose très importante.
C’est en spé que le génie climatique et énergétique est devenu une évidence d’où mon choix de cette filière à l’INSA Strasbourg. De plus, j’ai pu dès le départ y faire le choix de l’alternance. Avec un beau contrat chez Engie-Cofély, je suis déjà plongé dans le monde professionnel tout en continuant les études. Et honnêtement, la rémunération à la fin de mois n’est pas négligeable. »
Cette année, plusieurs PSI, comme Louis, ont intégré des écoles où ils ont pu faire tout de suite le choix de l’alternance dans de belles entreprises (Coline chez Halton, Mathieu chez Renault, Victorien dans une entreprise de BTP, Arthur dans un organisme gouvernemental).
Aniss LYAMANI intègre intègre l’INP Grenoble Phelma en 2018
Ces trois années passées en classes préparatoires à Reims feront à jamais partie des plus belles années de ma vie. Les professeurs ont su être à notre écoute dès le début et les découvertes d’un contenu scientifique et littéraire très riche se sont vite enchaînées. A mon sens, il ne faut pas réduire la prépa à un simple système de préparation à des examens sélectifs : nous y multiplions nos qualités (aisance à l’oral, capacité de travail, rigueur et autonomie, culture générale…), et rappelons-nous que le chemin de l’excellence ne se confond pas avec celui de la performance. A tous ceux qui lisent ce message, peut-être inquiets et plein d’appréhension, quel que soit votre lycée d’origine, votre niveau de départ, que vous soyez fille ou garçon, écartez les préjugés, motivez-vous et osez la prépa!
Valentin DUMAIRE intègre le Magistère de Physique fondamental d’Orsay en 2018
Mes années de prépa sont de loin les meilleures de ma scolarité, pour plusieurs raisons et notamment parce-que j’y ai fait de formidables rencontres, j’ai créé des liens forts avec beaucoup de gens. Par ordre de préférence, je dirais que la sup a été la meilleure année, puis la 5/2 et enfin la 3/2. Une idée reçue sur la prépa est qu’il y a une mauvaise ambiance à cause des concours et parce-que les uns écrasent les autres. C’est au contraire de l’entraide, et même si on doit passer beaucoup de temps à bosser, on le fait avec les autres, on partage avec eux de très bons moments. Par ailleurs les profs sont aussi très cools et très proches des élèves. La prépa c’est une expérience à ne pas rater pour quiconque est prêt à s’investir un minimum, le jeu en vaut clairement la chandelle.
Thomas HUET intègre Telecom Physique à Strasbourg en 2018
Même si je considère qu’une prépa n’est jamais évidente, que le rythme est y bien sûr soutenu et les exigences élevées, j’ai trouvé que nous étions particulièrement bien encadrés et soutenus par l’équipe enseignante toujours présente. Cela m’a aidé à réussir mais aussi à passer deux bonnes années. Il est clair que si je devais faire à nouveau mon choix, je ferais encore une prépa à Reims.
Seny HENRY intègre l’École Sigma Clemont-Ferrand en 2018
Mes années de classe préparatoire aux grandes écoles ont été vraiment enrichissantes pour moi tant sur le plan scolaire que sur le plan personnel. C’est une expérience unique qui m’a permis d’apprendre la rigueur, rencontrer des vrais amis, et obtenir des connaissances scientifiques utiles à la vie de tous les jours. Résumer la classe préparatoire en quelques phrases est assez difficile, je ne peux que vous recommander de vous faire votre propre opinion en vous souhaitant la réussite.
Victor DAUCHEZ intègre l’École des Mines d’Alès en 5/2 en 2017
Contrairement à d’autres, j’ai vécu mes 3 années de prépa comme une extraordinaire opportunité pour m’améliorer et pour progresser sur tous les aspects de ma vie (je ne dis pas ça juste pour faire la promotion de la prépa : c’est vrai). Evidemment au niveau des matières scientifiques, il y a un travail régulier et conséquent à fournir mais on y trouve un certain plaisir quand on trouve son rythme. De plus la prépa de Roosevelt est assez petite et je dirais même qu’elle est « familiale » donc les différents professeurs nous accompagnent personnellement au besoin de l’élève. D’autre part, elle apporte une grande ouverture d’esprit notamment à travers le cours de Français-Philosophie qui peut être extrêmement intéressant et formateur lorsqu’on s’y implique et puis l’anglais nous apporte une culture politique/économique/sociale. Le sport est important pour se défouler et on a passé de super moments aux 10 km de Reims. L’internat en première année a été mémorable pour moi : vivre avec ses amis, travailler avec eux est toujours plus facile que tout seul. Et la 5/2 n’est pas une atrocité, un an ne représente pas grand-chose dans une vie et c’est une année de plus pour se perfectionner, se découvrir et s‘amuser (car oui on s’amuse bien quand même en prépa) !
Au final je dirais que tout est disponible pour passer de superbes années, maintenant ça ne dépend que de ce que vous avez envie de vivre.
Benjamin COLLERY intègre l’École des Mines de Saint-Etienne en 3/2 en 2017
J’ai effectué ma MPSI au lycée Roosevelt après avoir obtenu mon baccalauréat option SI, puis je me suis dirigé en PSI* car j’étais homogène dans toutes les matières et je voulais avoir un enseignement doté d’un aspect plus technique. Tous les moments n’ont pas été drôles en prépa mais avec du recul j’ai passé d’excellentes années dans deux classes à l’ambiance super et j’en garde de très bons souvenirs !! Notamment la spé où l’entraide était fondamentale pour moi, j’ai beaucoup travaillé avec deux 5/2 et passé avec ma classe des moments que je n’oublierais jamais. La clé de la réussite c’est un travail rigoureux ponctué de pauses pour se changer les idées, une prépa peu réputée ne vous empêchera pas de viser haut !! Aujourd’hui je m’épanouis aux Mines de Saint-Etienne, École généraliste où je vais pouvoir constituer mon propre parcours.
Jules LEBEDEFF intègre l’ENSAM Châlons en Champagne en 3/2 en 2017
Les années de prépa m’ont appris à réfléchir différemment et à apprendre à travailler, moi qui avait de gros problèmes de rigueur: tant dans la régularité du travail que dans l’expression claire de mes raisonnements.
Bien que le rythme soit soutenu et les exigences élevées, la cohésion entre les élèves et avec le corps enseignant permet de garder le cap, dans la bonne humeur, sur l’objectif de la prépa: la réussite aux concours !
Merlin LAMBIN intègre l’École Navale en 3/2 en 2017
Après une terminale S, je suis entré en MPSI au lycée F. Roosevelt. Bien qu’ayant déjà fait mes années de lycée dans le même établissement, le changement fut important. La charge de travail, évidemment, augmente ainsi que la vitesse à laquelle défilent les chapitres. Puis, je suis entré en PSI*, ici encore le rythme s’accélère du fait des concours qui arrivent très vite dans l’année. Pour autant, la vie ne s’arrête pas en prépa, avec un peu d’organisation, j’ai pu combiner ma passion pour la course à pied (5 entraînements par semaine) et la prépa. Ces moments de détentes et la proximité des enseignants sont d’ailleurs à mon sens les clés de ces deux belles années de prépa !
Nicolas COLLOT intègre l’École Centrale Nantes en 3/2 en 2017
Après une terminale S SVT au lycée Jean Talon à Châlons-en-Champagne, j’ai fait comme beaucoup d’élèves ne savant pas où aller, j’ai décidé de faire une prépa. J’avais entendu un peu partout que c’était un enfer et m’attendais donc au pire. Passons donc au cœur du sujet : la prépa c’est comment ? Contrairement à ce que je pensais, la prépa n’est pas un enfer ! De plus, l’ambiance à Roosevelt est génial contrairement à ce que mes collègues parisiens m’ont raconté. Certes, j’ai beaucoup travaillé, certaines périodes étaient plus difficiles que d’autres mais en restant organisé et en gardant du temps pour ses passions, tout se passe bien.
Ce fût 2 années éprouvantes mais riches en émotions suite auxquelles j’ai intégré l’École Centrale de Nantes où je désirais aller.
PS : Ce n’est pas parce que vous êtes dans une prépa de « province » que vous ne pourrez pas intégrer une École prestigieuse. À vous de faire vos preuves !
Paul BETTON intègre l’École des Mines de Douai en 3/2 en 2017
En intégrant l’Ecole des Mines de Douai en septembre, j’ai eu le sentiment d’avoir été parfaitement préparé pour poursuivre la formation d’ingénieur qui m’attend. La qualité de l’équipe enseignante qui m’a accompagné durant mes deux années en classe préparatoire à Roosevelt (MPSI – PSI*) y est sans doute pour beaucoup. Accumuler autant de connaissances dans plusieurs domaines scientifiques en si peu de temps est gratifiant… bien qu’également éprouvant ! Heureusement, les cours de langue dispensés et la pratique d’un sport permettent de penser à autre chose qu’aux maths et à la physique. Pour moi, la prépa n’a pas été (seulement) synonyme de travail acharné, et je garde de bons souvenirs de ces deux années. Un conseil : faire le choix de l’internat ou de la colocation permet de surmonter les moments difficiles en garantissant des moments mémorables entre amis !
Benjamin VOGT intègre l’École des Mines de Douai en 3/2 en 2017
Bien que ces 2 années furent dense en terme de quantité de travail, elles sont pour l’instant mes meilleures années ! Les capacités professionnelles et sociales que j’ai pu acquérir durant cette période m’ont métamorphosé. Je suis rentré en prépa un peu inquiet de ce qui allait m’arriver, mais j’ai très vite rencontré des personnes dans les mêmes conditions que moi avec qui j’allais pouvoir évoluer. En plus d’une base de connaissance conséquente, ce cursus développe de nombreuses compétences qu’il est difficile d’obtenir ailleurs (comme l’organisation, l’entraide ou la prise de parole par exemple). Je garde un excellent souvenir de mes classes préparatoires.
Valentin LECONTE intègre l’École des Ingénieurs de Paris en 3/2 en 2017
J’ai fait ma première et terminale au lycée Bazin de Charleville. Je n’avais pas de projet de métier et j’étais effrayé à l’idée d’aller en prépa, de me retrouver enseveli sous la charge de travail ou sans école après deux ans sans diplôme. Mais cela est simplement impossible vu le grand nombre d’école proposées et les passerelles vers les autres filières.
J’ai personnellement choisi Roosevelt car c’était la plus proche de chez moi mais aussi car j’avais quelques amis qui y étaient ( je n’ai pas choisi Clemenceau par rapport à la cantine de Roosevelt qui est vraiment incroyable ).
Au final je ne regrette pas mon choix !
Ce n’est pas un nom connu parmi les prépas mais cela est un avantage. En effet les classes peu nombreuses créent une super ambiance de travail sans aucune compétition entre les étudiants. Nous sommes là pour nous entraider et non pas pour gagner des places. Les profs n’ont en général qu’une seule classe, ainsi ils sont vraiment à l’écoute de tous et prêts à nous aider n’importe quand.
J’ai commencé par une MPSI car j’hésitais entre PSI et MP. Cette année fut vraiment sympa grâce à la classe mais j’appris aussi beaucoup. Je ne travaillais pas après les cours au lycée et j’ai eu du mal à m’y mettre mais un travail régulier chaque soir en première année m’a permis de suivre le cours et d’apprendre bien plus qu’en 3 années de lycée. Ce travail m’a permis d’aller en PSI*.
Intégrer une classe étoile est gratifiant mais il faut prendre conscience qu’il y aura encore plus de travail personnel à fournir. Cela peut faire peur au lycée de travailler plus de 3h chaque soir mais ce n’est pas si dur finalement. Lorsque que les cours vous intéressent vraiment, que vous avez l’ambition d’intégrer une grande école et de vous démarquer, consacrer totalement deux ans aux études vaut vraiment le coup. A la fin de la deuxième année arrivent les concours qui ne sont finalement pas si insurmontables lorsque que l’on a de bonnes méthodes et effectué un travail régulier durant deux ans. J’ai finalement réussi à intégrer l’EIVP, l’école du génie urbain qui me plait beaucoup et je ne regrette donc pas du tout ces deux années consacrées à la prépa.
Virgil DECROUY intègre l’École des Mines d’Ales en 2016
Après ma terminale S SVT, j’ai été accepté en MPSI au lycée Clemenceau, puis j’ai effectué ma deuxième année de prépa en PSI* à Roosevelt, cette filière étant celle qui à mon sens m’offrait la plus grande ouverture dans les disciplines scientifiques. Je garde un agréable souvenir de mes années en classe préparatoire qui ont pour moi été très formatrices en terme de méthodes de travail et de connaissances scientifiques. L’ambiance conviviale et la cohésion de groupe permettent de s’impliquer pleinement dans la préparation des concours et surtout des Écoles qui les suivent où le travail en groupe, la pluridisciplinarité au sein de celui-ci et l’esprit associatif sont grandement valorisés. Je suis aujourd’hui en première année à l’École des mines d’Alès avec le projet de passer un double diplôme ingénieur-architecte.
Antonin VILLEMIN intègre l’École Telecom Bretagne en 2016
Ma scolarité au lycée Roosevelt a été une expérience très agréable, je n’en garde que des bons souvenirs. Bien sûr il faut travailler mais comme l’ambiance entre les élèves et avec les professeurs est très bonne, les deux années passent très vite. Il ne faut pas non plus hésiter à prendre l’internat pour la première année, c’est le meilleur moyen pour s’intégrer, pour prendre le bon rythme de travail et surtout pour bien profiter à côté des cours. Et même si les prépas de Reims ne sont pas forcément les plus connues, il ne faut pas s’inquiéter: la réussite ne dépend que de l’élève !
Baptiste GATIEN intègre l’ENSAM Metz en 2016
Après avoir obtenu mon baccalauréat scientifique, j’ai décidé de poursuivre mes études au sein de la filière MPSI, étant intéressé par les mathématiques et par les sciences, et souhaitant devenir ingénieur. A la fin de ma première année de prépa, je me suis orienté vers la filière PSI pour me rapprocher un peu plus de l’aspect industriel du monde de l’ingénierie. J’ai ensuite vécu deux belles années au cours desquelles j’ai pu évoluer et progresser au sein d’un environnement fort agréable, sans la rivalité que l’on peut souvent retrouver en prépa mais plutôt avec une bonne entraide entre tous. Mon choix de faire 5/2 fut dans un premier temps difficile à vivre, puis apparut au fil du temps comme étant le bon. J’ai finalement intégré une école qui me satisfait aujourd’hui pleinement, les Arts & Métiers, et dans laquelle je m’épanouis de plus en plus jour après jour.
Yann CHAPELLE intègre l’École des Mines d’Albi en 2016
En arrivant en prépa, je me destinais à un chemin bien précis. Mais cette formation m’a fait découvrir tellement d’autres voies que je me suis laissé séduire par une autre. La prépa est là pour vous donner tous les outils nécessaires à la réalisation de votre potentiel ! Ce n’est pas une formation conformiste, mais plutôt humaniste et propre à l’ambition de chacun ! J’en garde un très bon souvenir.
Chloé AVELINE intègre L’ENSAM en 2015.
Après mon bac S SVT option SVT, je voulais devenir ingénieur, j’ai choisi une classe préparatoire PCSI pour avoir le choix parmi un maximum d’Écoles. J’ai découvert en première année une nouvelle matière : les sciences de l’ingénieur et j’ai adoré donc j’ai fait ma deuxième année en PSI. A Reims, on a la chance d’avoir des enseignants à notre écoute, les élèves sont soudés et n’ont aucun « esprit concours ». A la fin de ma deuxième année, j’ai choisi de tenter à nouveau les concours pour avoir l’École de mes rêves même si j’étais déjà reçue dans une école d’aéronautique. En tant que fille j’ai très bien vécu mes 3 années de prépa parce qu’on est très bien intégré et que les filières scientifiques se féminisent de plus en plus, alors les filles lancez vous !
Romain DEPAQUIT intègre L’École Centrale Lyon en 2015.
Après avoir obtenu mon baccalauréat, je suis entré en PCSI au lycée Roosevelt en souhaitant devenir ingénieur architecte. Septembre 2013, après avoir traversé un long fleuve paisible au lycée, on entre en mer et nous voici partis à la dérive au beau milieu de l’océan! Mais, nous formons une classe inséparable, à l’ambiance inégalable! Comment se passe une semaine-type sur cette galère ? On a des cours, des Travaux Dirigés pour l’appliquer, des Travaux Pratiques… On a aussi des colles et des DS, qui ne sont pas là pour nous descendre, mais plutôt pour nous évaluer tout au long de l’année afin de savoir où l’on se situe, savoir quels sont les points qui nous posent problème, et ainsi cibler les révisions. Dans cette autarcie, nous sommes encadrés par l’équipage du navire (i.e. les profs) afin de nous guider dans nos choix et de nous soutenir mentalement. En 2ème année, après une PSI*, j’ai intégré l’École Centrale de Lyon, en suivant de plus le double cursus ingénieur architecte avec l’ENSAL. Pour ceux qui se posent la question de partir en prépa ailleurs qu’à Reims, sachez que l’ambiance des prépas rémoises est excellente et permet d’intégrer toutes les Écoles, la réussite dépend avant tout de soi et non pas de l’établissement. C’est très important d’étudier dans une ambiance qui nous donne envie de nous lever le matin pour voir des camarades qu’on apprécie et avec qui on s’entend bien. Certes, la prépa nécessite un investissement non négligeable (mais pas insurmontable) de notre part, mais constitue le passage nécessaire pour obtenir le Graal qu’est l’École d’ingénieur !
Alors, jeune moussaillon, que tu aimes les sciences, les ambiances déjantées, que tu aies de l’ambition, ou que tu saches ou pas nager, la prépa est faite pour toi 😉 On t’y attend !
Kilian COLBUS et Sébastien NIMESKERN intègrent les Mines de Douai en 2015.
Si jamais tu hésites encore sur ce que tu veux faire après le BAC, sache que la classe préparatoire est un excellent choix. Cette dernière te permettra d’acquérir une méthode de travail efficace, mais aussi une capacité d’adaptation que ne tu ne trouveras nulle part ailleurs. Après un BAC S SI, nous avons choisi d’entrer en classe de PCSI au lycée Roosevelt et de poursuivre en PSI. Ces années ont pour nous été très enrichissantes, tant sur le plan scientifique que sur le plan humain. On a pu y trouver des professeurs motivants et toujours prêts à nous aider quelque soit le moment, une ambiance géniale dans laquelle on s’épanouit et où l’entraide (pas de compétition entre nous !) est présente. Bien sûr ce parcours demande un investissement non négligeable, mais l’intégration d’une école d’ingénieurs vous fera vite réaliser que tous ces samedis matins de DS en valaient la peine !
L’école d’ingé sera pour vous le but ultime durant ces 2ans (ou 3ans pour ceux qui comme nous aiment vraiment la bonne cuisine).
Nous avons intégré les Mines de Douai, une école généraliste où l’on est d’emblée confronté au monde professionnel par l’intermédiaire des conférences, projets et stages en entreprise.
Donc s’il y a bien quelque chose à retenir sur ce parcours, c’est qu’il n’a rien d’effrayant, qu’il est surmontable et que c’est une expérience vraiment inoubliable : tu ne regretteras pas ton choix, nous te le garantissons, fonce !
Guillaume SOPHYS, étudiant en PSI*, intègre l’école des Mines de Nancy en 2012.
Ne sachant trop que faire à l’issue de mon baccalauréat scientifique, et n’ayant de soucis particuliers avec aucune matière, je me suis orienté vers une classe préparatoire. Il est vrai que la « prépa » est différente de la fac ou d’autres formations, on reste avec des effectifs qui ressemblent plus à ceux des classes lycéennes, et on est toujours très proches de nos enseignants, qui sont, il faut bien l’avouer, dévoués à notre réussite ! Loin de l’ambiance « élitiste » que l’on peut attribuer à certaines autres classes préparatoires, à Reims l’environnement sait être stimulant sans être oppressant : possibilité de travail en groupe, il n’y pas d’esprit de compétition, ou alors ce dernier ne survit pas au premier mois de cours. Le travail à fournir n’est pas négligeable, il est vrai, mais en dehors du cadre scolaire, cela permet d’acquérir une certaine rigueur bien pratique dans les tâches que l’on entreprend, ainsi qu’une organisation efficace, et n’ayez pas peur, l’entraide est de mise entre tous ! L’internat, ouvert à un grand nombre, est une opportunité formidable et j’en garde d’excellents souvenirs ! (Les repas de la cantine y sont pour quelque chose aussi !) En y repensant, j’avais une certaine appréhension pour la prépa, mais elle n’était pas fondée. Il suffit d’adopter un rythme de travail régulier pour ne pas prendre de retard. Et le jeu en vaut la chandelle : admis à l’Ecole des Mines de Nancy, la vie est belle (bien que froide), et l’on parle dès la rentrée de stages en entreprises ainsi que de contacts en vue de projets professionnels… La prépa, c’est aussi une bonne chance de se trouver une place sur le marché du travail une fois sorti d’école. Cet avantage pèse dans la balance pour ceux qui s’intéressent aux sciences ! A tous ceux qui me demandent mon avis sur ma prépa, je dis : essayez, la prépa, c’est sympa !
Aurélien MARIE, élève de PSI*, intègre l’école de l’Air en 3/2, en 2012.
Que vous sachiez ce que vous souhaitez faire dans dix ans, ou non, les classes préparatoires sont faites pour vous. Dans un cas comme dans l’autre, elles vous mèneront vers des études supérieures et une vie professionnelle exaltante ! Pour ma part, j’ai intégré une MPSI à l’issue du lycée, suivie d’une année de spé en PSI * avec pour objectif de rejoindre le monde de l’aviation. Aujourd’hui, je réalise à quel point ce choix d’orientation a été judicieux, puisqu’il m’a permis de devenir élève officier à l’Ecole de l’Air et de réaliser mon rêve. Les classes préparatoires scientifiques de Reims n’ont pas à rougir, bien au contraire ! Tout est mis en œuvre pour emmener les élèves motivés vers une brillante réussite et ce dans la camaraderie et l’entraide. Evidemment, la prépa ce n’est pas un pique-nique et il faudra parfois serrer les dents, mais le jeu en vaut la chandelle puisque vous recevrez énormément durant ces années. En effet, outre votre intégration en école, vous vous ferez d’excellents amis et vous découvrirez le sens des responsabilités et de la rigueur. Si vous souhaitez devenir ingénieur, pilote, chercheur…ou simplement poursuivre vos études scientifiques, alors lancez vous ce défi à vous même et rejoignez les classes préparatoires à la rentrée ! Voici la devise de notre école, de circonstance ici : « Tant qu’on n’a pas tout donné, on n’a rien donné ». Bon courage à tous, et à bientôt dans le ciel de Provence.
Alexis Join-Sogny, élève de PSI*, intègre Centrale Marseille en 3/2, en 2011.
Mes deux années de classe préparatoire au lycée Roosevelt m’ont demandé un investissement personnel important et la charge de travail était parfois impressionnante mais cet investissement a payé et m’a permis d’intégrer Centrale Marseille après une 3/2 en PSI* et je suis très heureux car je ne pensais pas au départ pouvoir intégrer une école Centrale. La prépa n’est pas une période facile mais l’équipe enseignante du lycée Roosevelt est vraiment compétente et à l’écoute et l’ambiance de classe vraiment sympathique, ce qui aide à surmonter les obstacles. Les sciences sont une chose, je pense, vraiment passionnante et il est important de se donner les moyens si on a l’ambition d’embrasser une belle carrière d’ingénieur.
Emilie Abia, élève de PSI*, intègre l’ENSEEIHT en 2011.
Pourquoi faire prépa ? On te parle souvent d’une vie mise entre parenthèses pendant deux, voire trois ans, d’une quantité de travail insurmontable, d’une mauvaise ambiance à cause de l’esprit concours, mais on te dit que malgré tout ton avenir est assuré ; bref tu hésites. J’ai un scoop pour toi : Si tu joues le jeu, tout se passera très bien.
Comment jouer le jeu ? 1°) Organise toi. C’est la clé de la réussite. Ne te laisse pas submerger. 2°) Ne sois pas fainéant parce que la procrastination ne fera qu’alourdir ta charge de travail et c’est précisément dans ce cas que cela peut devenir insurmontable. 3°) Fais tout ce que les profs te disent de faire en temps et en heure et tu es sûr de réussir.
Enfin bon, laissons de côté la partie effrayante. Je peux te dire qu’en prépa tu formeras une nouvelle famille, vous allez créer des liens forts qui vont subsister, tu peux me croire sur parole. Certes tu vas devoir réduire les soirées mais qu’est ce que deux ans dans une vie ? Qui plus est, ce n’est pas un mythe : l’arrivée en école d’ingénieur c’est le summum, la consécration, l’accomplissement de tes efforts bien sûr, mais tu vas enfin pouvoir te lâcher et l’intégration il faut la vivre pour y croire.
Alors n’hésite pas, ne te pose pas de questions et fonce, tu n’auras pas de regrets !
Maxime Philippe, élève de PSI*, intègre en 3/2 les Mines de Douai (fonctionnaires), en 2011.
Une année de spé c’est quoi ? Beaucoup de travail, un peu de soutien de la part des professeurs et des amis et une grosse (vraiment grosse…) série de « DS » entre avril et août. Heureusement, tout est réuni à Roosevelt pour vous permettre de réussir dans les meilleures conditions. Certains moments sont difficiles, certes, mais je peux vous assurer que voir le mot « admis » en face de son premier choix sur scei fait qu’on ne peut pas regretter de s’être donné du mal !
Quentin HENRIET, étudiant de PSI*, intègre les Mines de Nancy en 3/2, en 2011.
En sortant du lycée, la prépa ressemble à un grand mur prêt à nous tomber dessus… Ce n’est pas tout à fait faux, mais c’est bien pour cela que la prépa est la meilleure des voies disponibles : surpasser ses capacités, découvrir de quoi on est capable, apprendre la rigueur du travail peuvent faire peur mais sont pourtant les expériences les plus enrichissantes. Et contrairement à ce qu’on peut penser, Reims n’a rien à envier aux prépas parisiennes ; Reims offre un enseignement qui permet de prétendre aux meilleures écoles, avec en plus, un accompagnement hors pair qui donne à tous les moyens de réussir, qu’il s’agisse du souci de nos professeurs de nous faire progresser, ou bien de l’esprit d’équipe qui se crée au sein de la classe et nous soutient pour que personne ne puisse décrocher et baisser les bras.
Au-delà des sciences, la prépa nous apprend à réfléchir, à utiliser ses connaissances et comprendre le monde autant que la société. On ne peut en ressortir que grandi (et pour certains un peu grossi parce que le « cordon bleu – frites » de la cantine de Roosevelt vaut vraiment le détour…)
La quantité de choix disponible à la sortie de la prépa permet d’y entrer sans avoir déjà un projet précis en tête. La prépa est aussi là pour ça : se connaître soi-même pour déterminer au mieux le parcours qui nous plaît. Et puis, ça ne peut pas faire de mal de se pousser un peu vers les parois les plus difficile à escalader ; même lorsqu’on a le vertige, le frisson qui nous pousse à continuer est toujours vainqueur et nous mène bien plus haut que ce que l’on peut imaginer. Il s’agit en prépa de décider que l’on va réussir.
Julien LAMBERT, étudiant de PSI*, intègre CENTRALE PARIS en 3/2, en 2010.
Après un bac S option maths, j’ai rejoint la MPSI de Roosevelt puis j’ai opté pour la filière PSI en spé. Après quelques concours, j’ai intégré l’Ecole Centrale Paris, où je me rends compte que j’ai eu de la chance de vivre deux années très agréables à Reims, ce qui n’est pas toujours le cas de ceux qui ont choisi les grandes prépas parisiennes. En effet, j’ai vécu ma prépa sans avoir à faire de gros sacrifices (même si on travaille plus que dans le cycle secondaire), dans une atmosphère sans stress et conviviale, avec des profs disponibles et sérieux, et une cantine qui vend du rêve ! Le tout bien sûr en mettant toutes les chances de mon côté pour les concours…
Quentin RHONE, étudiant de PSI*, intègre SUPAERO en 3/2, en 2010.
Comme vous pouvez l’imaginer, après mes deux années de MPSI/PSI*, j’ai été très heureux d’intégrer SUPAERO. Même s’il faut beaucoup travailler en prépa, mes efforts n’ont pas étés vains et le jeu en vaut la chandelle ! Bon courage et peut être à bientôt dans la ville rose !
Dimitri WAGNER, étudiant de PSI*, intègre l’ENSICA en 3/2, en 2010.
Après une terminale S option SI, sans idée précise de ce que je voulais faire, j’ai choisi d’effectuer une prépa PCSI puis PSI* à Roosevelt car ce choix m’ouvrait de nombreuses portes sans en fermer aucune. En prépa j’ai découvert un esprit de camaraderie exceptionnel, où l’entraide est monnaie courante, ainsi que des professeurs dévoués, toujours à notre écoute, qui s’adaptent aux capacités de chacun. Sans oublier que la prépa demande beaucoup de rigueur et de travail, c’est néanmoins une expérience inoubliable qui m’a permis d’intégrer l’ENSICA, école d’ingénieur en aéronautique. Il ne faut donc pas avoir peur de la prépa.
Maxime Leblanc, étudiant en PSI au lycée Roosevelt, intègre l’Ecole des Mines de Douai en 2010.
Si tu ne veux pas venir en prépa parce qu’on t’a dit que tu travaillerais sans arrêt, même la nuit… alors n’hésite pas et fonce ! Car c’est totalement faux ! Pas besoin d’être asocial pour entrer en prépa (ni pour en ressortir avec succès d’ailleurs) ; si tu as un minimum de sérieux et de connaissances il y a toujours moyen de t’en sortir et d’obtenir une école dans laquelle tu pourras t’épanouir. Autre chose : la réputation de la prépa ne doit pas te guider dans ton choix, c’est ton ambition personnelle qui te fera réussir.
A Roosevelt, il n’y a pas d’esprit de compétition entre les élèves, mais au contraire un climat d’entraide et donc une super ambiance. De plus les profs sont là en permanence pour apporter leur soutien. Bien sûr ca fait deux ans de travail assez intensif, mais quel soulagement quand tu arrives en école d’ingé où tu pourras relâcher la pression (pas trop non plus).