Témoignages PC/PC*
Alexis CORBILLET intègre SupOptique en 2022
Pour moi, il y a un avant et un après ma prépa à Reims. Durant le lycée, je n’étais pas particulièrement investi dans mon travail. Entrer en PCSI à Roosevelt puis en PC* ne m’a pas seulement permis d’acquérir des méthodes de travail mais m’a aussi permis de renforcer mon intérêt pour les sciences. Certes, l’investissement en travail est considérable, mais quand on est motivé par ce que l’on apprend cela n’est plus un problème. De plus, j’ai pu me faire de très bons amis grâce à l’internat. J’ai également découvert une équipe enseignante exceptionnelle, très investie dans la réussite des élèves. Finalement, après avoir passé les concours j’ai intégré SupOptique. La réussite aux concours s’ouvre à tous ceux qui sont motivés et investis dans leur travail !
Guillaume STARCK intègre l’ENAC Contrôleurs aériens en 2022
Au lycée je n’étais pas un élève travailleur. J’avais des notes satisfaisantes mais je n’étais pas organisé du tout dans mon travail personnel. Lorsque je suis arrivé en PCSI, j’ai tout de suite compris qu’il fallait travailler pour réussir à entrer dans l’école de son choix. Le début de la première année était le plus difficile pour moi puisque qu’il faut s’imposer un rythme de travail sain, il ne faut pas non plus travailler trop tard le soir. J’ai donc continué mes efforts et réussi à entrer en PC* puisque mes matières préférées étaient la Chimie et la Physique. Les professeurs que j’ai eus pendant ces deux années de prépa étaient tous très pédagogues et prenaient le temps pour répondre à toutes mes questions car je suis de nature à bombarder les professeurs de questions lorsque je ne comprends pas certains points. Pendant ces deux années j’étais un élève moyen, je ne faisais pas partie des meilleurs mais j’ai tout de même continué à travailler pour au final intégrer l’ENAC filière contrôleur aérien. J’ai extrêmement bien vécu mes deux années de prépa, on entend souvent dire qu’on n’a plus de vie sociale lorsque on y entre mais je ne pense pas cela, il faut savoir accorder un temps au travail et à sa vie sociale et dans mon cas ça a très bien fonctionné.
Jules Mansion intègre Centrale Lyon en 2020
Je n’étais pas un élève particulièrement bon au lycée, et je ne savais pas vraiment quelle direction donner à mes études. J’ai choisi de faire une prépa pour me donner un peu plus le temps de la réflexion, en particulier les filières PCSI puis PC* car physique et chimie étaient mes matières préférées. En prépa, le travail à fournir est conséquent. Il faut donc apprendre à s’organiser et à renoncer (temporairement) à une partie de sa vie sociale. Il faut également apprendre à équilibrer son emploi du temps : ne pas négliger le sommeil par exemple. La prépa n’est pas du tout insurmontable, j’en garde de bons amis et des souvenirs d’une classe agréable, sans compétition et d’une équipe pédagogique bienveillante et à l’écoute. L’expérience de la prépa m’a également beaucoup fait grandir et m’a permis d’acquérir des capacités de travail et d’organisation qui me seront utiles bien au-delà de mes 3 ans de prépa, dans tous les projets que je pourrais entreprendre. Le vrai enjeux de la prépa c’est de garder un rythme soutenu sur un longue période, c’est cela plus que votre niveau au lycée ou le classement de votre prépa qui fera votre réussite !
Emma Thiébaut intègre l’IMT Lille Douai en 2019 :
Mes deux années de CPGE m’ont permis d’intégrer une école d’ingénieurs généraliste et m’ont donné le temps de réfléchir à mon orientation. Je suis rentrée en PCSI avec une idée des écoles que je souhaitais intégrer et j’ai finalement intégré en sortie de PC avec en ligne de mire un autre objectif professionnel. Deux années de travail qui ont finalement payé puisque en école l’employabilité des étudiants est de 80% en moyenne. Deux années durant lesquelles je suis certes moins sortie que des camarades de terminale partis vers d’autres formations, mais grâce auxquelles j’ai rencontré des personnes formidables que je n’oublierai jamais.
Anatole Mombrun intègre Télécom Physique Strasbourg en 2019 :
Venir en prépa, c’est faire le choix de s’assurer un avenir dans le monde du travail. C’est aussi un défi qui permet de se confronter à ses capacités, à son envie d’aller de l’avant. Après avoir fait 5/2 en filière PC, je suis content d’avoir terminé mais aussi nostalgique des bons moments passés ces 3 dernières années. Mon conseil pour réussir sa prépa, c’est de rester motivé : deux ou trois ans, c’est certes long, mais intégrer une école est un aboutissement qui demande des efforts ! Il ne faut pas avoir peur de se lancer : peu importe les ambitions de chacun, on a toujours les moyens de réussir.
Alexandra Prud’homme et Maxime Blanc, étudiants en PC, intègrent SIGMA Clermont-Ferrand en 2017
La classe prépa, ça fait un peu peur. On s’engage pour 2 (ou 3) ans sans vraiment savoir ce qu’on y fait. Ce sont 2 (ou 3) ans de travail régulier, d’acharnements et de rythme très soutenu. Parfois il y a des déceptions, mais si on joue le jeu et qu’on s’accroche, on n’est pas déçu. Le tout est d’être organisé et d’être vraiment motivé. En prépa, le corps enseignant est présent pour vous apprendre de nouvelles méthodes de travail ainsi que des connaissances solides pour les concours, mais il est également présent pour vous soutenir et pour permettre de gagner confiance en vous. Il n’y a pas de compétition dans la classe : celle-ci est très soudée tout au long de l’année. Après 3 ans de travail (Team 5/2), nous avons pu intégrer l’école que l’on souhaitait et passer ainsi à la dernière étape de notre formation avant la vie active !
Luc BARAST, étudiant en PC*, entre au magistère de physique d’Orsay en 2015
En rentrant en Prépa, j’avais une idée en tête : j’allais passer les deux pires années de ma vie. Je n’ai pourtant pas hésité à en refaire une troisième à l’issue de ces dernières pour prendre le temps de me perfectionner et de viser des objectifs plus élevés. Si beaucoup d’idées reçues donnent à la Prépa un aspect peu engageant, ce n’est pas à Roosevelt qu’il faut s’attendre à les rencontrer ! Certes, ce sont des années plus difficiles que le lycée, mais l’ambiance et l’encadrement sont au rendez-vous pour les rendre les plus profitables possibles. Il n’y a pas de compétition, mais au contraire de l’entraide dans les moments difficiles. Les professeurs sont présents pour nous encourager à atteindre nos objectifs, et pas pour nous forcer à aller tous à Polytechnique. Au bout du compte, on en ressort sans traumatismes, avec les compétences nécessaires pour poursuivre ses études. Enfin, la nourriture du self est très bonne, et ça, c’est un atout de taille pour être de bonne humeur!
Hugo LEDUC, étudiant en PC*, intègre PHELMA (Grenoble INP) en 2015
En arrivant à Roosevelt, je m’attendais à passer deux années difficiles mais j’ai vite changé d’avis. Concernant l’enseignement en prépa, j’ai redécouvert les sciences et ce, avec des enseignants motivés et motivants et surtout concernés par leurs élèves ! Entre élèves, ici, pas d’esprit concours négatif ! Au contraire, c’est l’entraide qui prime. Et le fait de passer beaucoup de temps et surmonter certains moments plus difficiles ensemble permet de tisser des liens forts. J’ai beaucoup évolué durant ces trois années, j’ai gagné en confiance en moi et en maturité, notamment en 5/2. La prépa a été l’opportunité d’un nouveau départ afin de montrer ce dont j’étais réellement capable. En bref, j’ai passé trois années très satisfaisantes à Roosevelt, j’ai fait le bon choix ! (et la cantine est super)
Perrine Le Gren, étudiante en PC, intègre l’EEIGM (Nancy) en 2015
Ces deux années de classe préparatoire ne se résument pas seulement à deux années de travail intense. Certes, il y en a, mais on apprend également les méthodes de travail qui vont avec et qui sont encore très utiles aujourd’hui. Les professeurs ne sont pas seulement là pour faire cours, ils sont également présents pour nous soutenir et nous encourager dans les moments plus difficiles, comme à l’approche des concours par exemple. La bonne ambiance de la classe a aussi été un plus durant ces deux années (tout comme la cantine de Roosevelt). On s’entraide, on se soutient, toujours tous ensemble. Promis, on survit !
Marc Lebon, étudiant en PC, intègre l’ENSIACET (Toulouse) en 2015
Après l’obtention du bac j’avais pour ambition d’aller dans une école d’ingénieur en chimie.
Je suis donc parti en classe préparatoire PCSI sans vraiment savoir ce qui m’attendait.
Ça a été un grand changement pour moi de devoir « affronter » la prépa. Cela n’a pas été facile, il faut adapter ses méthodes de travail et travailler toutes les matières.
Mais les professeurs sont très investis et nous aident grandement.
C’est grâce à eux que j’ai pu m’améliorer autant à l’écrit qu’à l’oral. Et ainsi j’ai pu obtenir l’école que je souhaitais.
Grâce à la prépa j’ai pu atteindre un niveau au-delà de mes espérances, c’est pourquoi je ne regrette en rien mes 3 ans passés au lycée Roosevelt.
Thomas KOSC, étudiant en PC* au lycée Roosevelt, intègre l’ENS de Lyon en 2014.
L’arrivée en prépa à Roosevelt a marqué un grand changement dans mes études. Certes, la quantité de travail exigée y est conséquente, néanmoins l’ambiance dans laquelle elle se fait est très bonne : une équipe enseignante à l’écoute, motivante, dans une ambiance de classe sérieuse où l’on sait aussi passer de bons moments et s’entraider. Ces trois années ont été pour moi un tournant car j’y ai beaucoup progressé. Rigueur, connaissances et confiance en soi, voilà les compétences indispensables pour la suite de mon cursus que j’ai apprises à Roosevelt. La prépa, c’est sympa, il faut juste être motivé !
Martin Foissy, étudiant en PC à Roosevelt, intègre les Mines de Nantes en 2014.
Dans un premier temps, le passage de la terminale à l’année de PCSI m’a paru déroutant : j’étais plutôt à l’aise au lycée et j’ai dû me faire à l’idée de ne pas être dans la tête de classe. Cependant, l’ambiance studieuse mais accueillante de cette année m’a agréablement surpris. Beaucoup pensent que la préparation au concours en 2e année est pénible, mais j’ai découvert un programme intéressant et des enseignants investis et à l’écoute. Je ne regrette ni d’avoir fait prépa à Reims, ni d’avoir fait 5/2. Si je devais retenir quelque chose de ces 3 années ce ne serait que des bons moments !
Thibault STASSE, étudiant en PC à Roosevelt, intègre Grenoble INP en 2014.
Après avoir obtenu mon bac S, je me suis dirigé vers la prépa scientifique du lycée F. Roosevelt. La prépa fut pour moi très enrichissante, tant au niveau intellectuel qu’humain. Ce n’est pas juste une machine de compétition, c’est également un endroit où l’on apprend à se dépasser, à se sentir plus fort qu’on ne pensait l’être, et à s’appuyer sur les autres quand il y a des baisses de moral. La classe est soudée, les professeurs sont humains et non tortionnaires ; ils sont motivés et nous encouragent. De plus, on obtient des acquis méthodologiques à l’écrit comme à l’oral, et un enrichissement intellectuel constant. Voilà ce que je retiendrai de ces trois années qui me servent et me serviront encore longtemps après mon intégration en école d’ingénieur.
Pierre Vedel, étudiant en PC au lycée Roosevelt, intègre l’ENTPE (travaux publics à Lyon) en banque de notes sur Mines-Ponts en 2013.
Le passage du lycée aux classes préparatoires est tel qu’on le raconte mais à Roosevelt cette marche se franchit facilement car le cadre de travail et l’équipe enseignante sont de qualité. Ici, il n’y a pas de concurrence dans les classes bien que cela soit chacun pour soi, on n’y pense qu’aux concours. Bien que ma première année fut laborieuse due à un changement de rythme radical avec les colles et les DS, ma spé quant à elle s’est bien déroulée car on prend le rythme et les profs savent nous motiver. Même si je suis passé par la case 5/2, je ne regrette pas mon choix qu’était la PC de Roosevelt car j’en suis sorti avec un niveau que je n’aurais jamais pensé atteindre et une école méritée qui me plait.
Anne Hui Sze Kwong, étudiante en PC au lycée Roosevelt, intègre Télécom Physique Strasbourg en 2013.
Les classes préparatoires (hors les grandes de Paris) ne sont pas seulement ce que l’on entend dire au lycée. Certes, il faut de la motivation et du travail sérieux mais il y a une super ambiance que ce soit en première ou deuxième année (en 5/2 également). Les professeurs m’ont toujours poussée à aller plus loin mais c’est ce qu’il faut pour avoir une bonne réussite aux concours. Vous verrez que l’équipe enseignante est très investie et sera toujours là pour vous encourager (même pour le 10 km). Je ne regrette en aucun cas d’avoir fait prépa car c’est très bénéfique et on profite encore plus de la vie étudiante qui suit après.
Jean-Baptiste Tutiaux, étudiant en PC* au lycée Roosevelt, intègre l’Ecole des Mines de Nancy en 2012.
Après avoir obtenu mon bac, je me suis orienté, par goût pour les sciences, et plus particulièrement pour la Physique-Chimie, vers une classe préparatoire, section PCSI. Là, j’ai pu confirmer mon choix d’étudier la Chimie, ce qui m’a poussé à m’orienter vers la section PC. Après une première année de Mathématiques Spéciales, j’ai fait le choix de redoubler. Ma deuxième année a été plus réussie, puisqu’elle m’a permise d’intégrer l’école des Mines de Nancy. En ce qui concerne le travail, il est vrai que le passage de Terminale à Classe préparatoire peut sembler être un choc. Néanmoins, les professeurs sont toujours disponibles pour aider ou écouter. De plus, l’internat est toujours disponible pour les premières années, ce qui permet de travailler en groupe, mais aussi de se soutenir mutuellement. Enfin, le très célèbre « Esprit Concours » n’est pas présent au lycée Roosevelt, ce qui n’empêche pas d’obtenir de très bons résultats, ni même d’être préparé d’une excellente manière aux concours.
Mathie Mignot, étudiante en PC*, intègre PHELMA (Grenoble) en 2012.
Tout d’abord la PCSI c’est un peu la découverte d’un nouveau style de vie (à l’internat ) mais aussi de travail :on commence à travailler ! Sans pour autant être invivable, le travail est assez dense mais bien encadré, nous sommes obligés de travailler à cause des ds, dm , des colles.. on s’y fait. Finalement cette premiere année sans être facile n’a pas été si dure que je ne le pensais. La PC* c’est autre chose, on doit travailler encore plus et avec la pression des concours , de plus étant en étoile on se retrouve avec les meilleurs des meilleurs donc c’est un peu plus difficile psychologiquement. Le rythme de deuxieme année est beaucoup plus rapide. Les concours sont tout de meme assez stressants pas forcément pendant mais plutôt avant les écrits et en attendant les oraux… Mais on y survie (et même deux fois j’ai fait 5/2). J’ai réussi à intégrer PHELMA école appartenant au groupe de Grenoble INP : ayant encore une idée assez vague de mon orientation en entrant dans l’école, au bout de 2 mois mon choix s’affine au fil de mes différents cours et différentes options qu’on nous offrent. L’école d’ingénieur c’est tout de même l’aboutissement de 2 voire 3 ans de Prépa plus ou moins facile à vivre, mais on oublie vite ces années et on profite d’un tout autre style de vie « etudiant », même si bien sur il faut continuer de travailler car dans 3 ans je serai ingénieur !! Faire ça prépa au lycée Roosevelt est tout à fait approprié pour les personnes motivéEs (mais qui ne l’est pas en allant en prépa !) l’ambiance dans les classes est agréable et on peut compter sur certains profs pour nous soutenir et nous aider ! Le palmarès du lycée au concours de ces dernières années est assez éloquent mais il ne faut pas oublier que seuls NOTRE MOTIVATION et NOTRE TRAVAIL comptent pour réussir !!
Clément Millet, étudiant en PC, intègre Chimie Lille (ENSC Lille) en 2012.
Une classe de PC possèdant un enseignement adapté aux concours que je visais, d’excellents professeurs qui ont toujours fait attention à notre travail et à notre moral. Un cadre d’étude convivial et sérieux qui m’a plu aux cours de mes années de sup et de spé et qui m’a permis d’accéder à une école d’un niveau que je n’imaginais pas pouvoir atteindre.
Guillaume CARRET, étudiant en PC* au lycée Roosevelt, intègre l’ENS Ulm en 2011
Après mon bac S, et souhaitant faire de la chimie je me suis orienté vers la prépa, sans trop savoir ce qui m’y attendait. Et après avoir testé la formule pendant trois ans, je dois dire que j’en suis satisfait. Il y a deux raisons principales à cela. D’une part j’ai rencontré à Roosevelt des professeurs très impliqués qui sont réellement à notre écoute. Et aussi des classes bien loin des clichés véhiculés sur les prépa. Certes, le rythme de travail est plus soutenu qu’avant le bac, mais le suivi des professeurs ainsi que la bonne ambiance des classes dans lesquelles j’ai été permettent que cela se passe réellement dans la bonne humeur. D’autre part, le rapport aux sciences que j’ai acquis ici m’a été je pense profitable. En effet, en arrivant ici j’aimais les sciences mais ma connaissance en était très approximative. C’était une connaissance faite d’à-peu-près qui pour finir n’avait que peu de cohérence. Or au cours de mes années de taupin, j’ai pu acquérir une certaine rigueur scientifique qui ne se révèle finalement pas un fardeau mais au contraire un moyen de pousser encore plus loin dans la recherche de connaissances en construisant un savoir solide.
Thomas Candeloro, étudiant en PC au lycée Roosevelt, intègre l’ENGEES Strasbourg (en apprentissage) en 2011.
J’ai découvert, lors de mon passage en prépa au lycée Franklin Roosevelt, une équipe d’enseignants dynamique et très investie dans la réussite de leurs étudiants. Il est rare de trouver des professeurs qui te félicitent quand tu réussis, mais qui sont aussi là pour te soutenir et te remotiver lorsque tu faiblis. Loin de l’esprit de compétition notre classe a connu une bonne ambiance d’étude et de fête quand il fallait décompresser. L’entraînement pour le 10 km de Reims a aidé à développer l’esprit d’entraide au sein de la classe. Enfin, ce que je retiens de cette année en prépa c’est aussi la réussite aux concours.
Rémy Adnot, étudiant en PC au lycée Roosevelt, intègre Polytech’ Grenoble, filière Matériaux.
Après un bac S option Maths, je voulais faire de la chimie. Par contre, me connaissant, la fac n’était pas trop ma voie, l’encadrement y étant assez faible. J’ai donc postulé pour la prépa PCSI de Roosevelt, et j’ai été pris. L’ambiance dans cette classe était très bonne, très loin des clichés de la prépa : pas d’« esprit concours », de rivalités. Le travail y était certes conséquent, mais les professeurs toujours présents pour nous écouter, répondre à nos questions, nous conseiller, etc. Cette première année, ses khôles, ses TIPE, m’ont aussi appris la rigueur, le travail en groupe, l’esprit d’équipe et une première approche de la communication. Et puis, après cette sup, une spé PC. Le travail demandé y est certes important, mais les cours sont intéressants et avec du travail, on arrive quand même à intégrer ! Bien que stressants, les concours ne sont qu’une étape et les oraux E3A sont facilement supportables. Me voilà donc cette année élève ingénieur à Polytech’ Grenoble, filière Matériaux. Cette année, j’effectuerai mon stage de découverte de l’entreprise en Angleterre, chez GKN Aerospace, une filiale d’Airbus. Comme quoi, même en sortant d’une prépa de province et d’une E3A, on peut faire des choses intéressantes ! Vraiment, je ne regrette pas d’avoir effectué ces 2 années passées à Roosevelt car tout m’y a été très bénéfique. Alors n’ayez aucune crainte !
Thomas France, étudiant en PC* au lycée Roosevelt, intègre l’Ecole Nationale des Ponts et Chaussées en 2006.
Quel est l’intérêt de faire sa classe préparatoire et de surcroît, la faire à Reims… ? Bien sur, en prépa il faut travailler mais travailler d’une nouvelle façon. C’est un travail en fonction de son projet, sa motivation, ses capacités. Les prépas à Reims offrent un cadre de travail convivial qui permet à chacun de réaliser son projet, le corps professoral est à l’écoute des élèves et nous guident vers nos aspirations. Pour ma part, je suis allé en prépa à Roosevelt pour m’ouvrir la voie vers une école généraliste… Après pas mal de travail et une 5/2, j’ai finalement intégré l’école des Ponts… En résumé, pour réussir sa prépa, de la motivation et un travail adapté pour s’ouvrir les portes de la réussite !