Témoignages ATS
Madlyne VAMA intègre l’ESAIP en 2022
Après un DUT GTE à Lorient, j’ai intégré l’ATS pour développer mes acquis en ingénierie et les renforcer en mathématiques et physique. Après un an à Reims, je peux confirmer la bienveillance des professeurs. L’ATS est un réel tremplin pour entrer en école d’ingénieurs, cela vous ouvre énormément de portes.
Théophane DAURY intègre l’ENSE3 en 2022 
Après un DUT Mesures Physiques, je ne savais pas vers quelle spécialité me tourner et quelle école d’ingénieurs je souhaitais intégrer. J’ai choisi l’ATS car c’était l’assurance de continuer dans une poursuite d’études qui me convenait. La prépa ATS est un gage de développement de compétences scientifiques théoriques garantissant une école d’ingénieurs de qualité et tu seras sûr(e) de poursuivre dans la bonne spécialité !
Léa – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre Phelma Grenoble INP
À la suite de mon DUT Mesures-Physiques je ne me sentais pas prête à intégrer une école d’ingénieur et je souhaitais, avant tout, améliorer mes compétences scientifiques. Cette année d’ATS m’a été plus que bénéfique, tant sur le plan personnel que scolaire. En effet, bien que le rythme soit soutenu il faut persévérer et essayer de saisir l’opportunité que représente cette année (ne vous arrêtez vraiment pas sur les mauvaises notes). Les colles régulières ont été pour moi l’occasion d’instaurer une nouvelle manière de travailler, une manière plus régulière qui m’a permis de progresser tout au long de l’année et d’enfin aborder les matières scientifiques et littéraires d’un nouvel œil. L’équipe pédagogique joue évidemment pour beaucoup dans cette expérience, les professeurs sont tous très investis et passionnés par leur métier et cela se ressent vraiment dans leurs enseignements. De plus ils seront là pour vous conseiller, vous écouter et vous épauler tout au long de l’année, vous ne vous sentirez jamais perdus ou livrés à vous même (surtout si vous prenez le temps de leur poser des questions !). Grâce à l’ATS j’intègre aujourd’hui Phelma, école de Grenoble INP, bien plus confiante en moi et avec de bien meilleures connaissances, je ne peux que grandement recommander cette année !
Louis – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre Arts et Métiers Sciences et Technologies – Bordeaux
Après un diplôme en maintenance industrielle à l’IUT de Châlons-en-Champagne, j’ai voulu poursuivre ma formation en école d’ingénieur, malheureusement n’ayant reçu aucune réponse positive j’ai donc fait le choix de la classe préparatoire ATS. Cette année fût décisive autant pour mon projet professionnel, que pour mes choix personnels, c’était un défi ! N’étant pas un travailleur acharné j’ai dû apprendre à organiser mon travail chez moi et à bien écouter en classe. Les professeurs étaient à l’écoute et nous donnaient pleins de conseils pour réussir cette année. Une fois sur les rails, c’est à nous de donner le maximum pour réussir cette année ! Il faut maintenant gérer révisions, évaluations, DS, colle, temps libre… Le meilleur conseil que je pourrais vous donner serait de ne négliger aucune matière, en ayant la moyenne partout vous serez mieux classés que le major de maths qui peut, par exemple, mettre de côté l’anglais ou la philosophie. Cette année m’a beaucoup appris, sur le plan scolaire comme personnel, sur la façon de réfléchir et de penser les différentes matières enseignées. J’ai intégré sur dossier la filière d’ingénieur de spécialité mécanique des Arts et Métiers de Bordeaux en option Production Maintenance et j’effectuerai mon alternance chez ArianeGroup. J’ai ainsi rempli toutes les cases de mon projet professionnel qui était de faire de la maintenance aéronautique/aérospatiale. Si vous hésitez encore, allez-y, cette classe préparatoire ne vous apportera que du bon sur le long terme !
Justine – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre Pagora Grenoble INP
Suite à mon DUT Mesures Physiques, je ne savais pas vers quel domaine me tourner. J’ai donc pris la décision d’aller en ATS. En plus de rallonger ma période de réflexion sur mon avenir, cette année m’a permis de faire de nouvelles rencontres mais aussi de réaliser un travail sur moi-même ! J’ai pris confiance en moi et j’ai gagné en aisance à l’oral. Les colles et les DS chaque semaine nous assurent un entraînement efficace et nous permet de mettre en place un rythme de travail performant. Quant à l’équipe pédagogique, en un mot : exceptionnelle. Vous serez encadrés par une équipe humaine, qui vous conseillera, vous rassurera si besoin et… Vous reboostera si besoin ! Cette année a été riche (et intense) sur tous les fronts : scolaire, sociale, psychologique, physique (le sommeil est primordial !) Mais nous ne sommes jamais seuls. Pour ma part, j’intègre Pagora, du groupe INP Grenoble, avec confiance et détermination. Si vous êtes perdus, vous trouverez forcément un domaine qui vous branche pendant l’année ! Pour conclure, je vous conseille chaudement l’ATS d’Arago ! J’espère que ça vous remontera un peu le moral !
Manon – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre Polytech Nancy
Après un BTS Traitement des Matériaux, je ne me voyais pas aller dans le monde du travail immédiatement, par conséquent une année passerelle en CPGE ATS me permet de continuer mes études en école d’ingénieurs. Les professeurs sont passionnés, motivants et sont très à l’écoute surtout en fin d’année avec nos recherches d’écoles. Le rythme est assez soutenu avec les colles, les TD et les DS, où les mauvaises notes arrivent parfois (souvent), mais tout est rattrapable ! Si on écoute et si on participe la journée, le travail à la maison reste très raisonnable. L’année passe très vite, avec une bonne ambiance et surtout on repart avec énormément de nouvelles compétences. Grâce à l’ATS, j’ai réussi à intégrer POLYTECH Nancy, dans la filière M3 (Management opérationnel, Maintenance et Maîtrise des risques). Cette prépa ne peut qu’être bénéfique pour vous et votre dossier, et puis vous pourrez décorer un sapin à Noël !
Quentin – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre INSA Centre Val de Loire
Après deux ans de DUT Génie Electrique et Informatique Industrielle, je ne me voyais pas continuer dans ce domaine. C’est pourquoi, j’ai choisi d’aller en CPGE ATS afin de pouvoir me réorienter et ainsi acquérir des compétences supplémentaires pour augmenter mes chances d’accéder à une école d’ingénieurs. Le rythme en ATS est soutenu, mais si l’on suit bien les cours et que l’on travaille pendant les TD, l’année passe vite ! Le travail à la maison est raisonnable, contrairement à ce que l’on pourrait croire lorsque l’on intègre une classe préparatoire. L’équipe pédagogique est au TOP, les professeurs sont passionnés par leurs matières et arrivent à nous transmettre cette passion. De plus, lorsque nous devons faire des choix d’orientation, ils sont là pour nous aiguiller et nous conseiller tout au long de l’année. Pendant toute l’année, les DS et les colles s’enchainent, mais il ne faut pas se laisser abattre par une mauvaise note, ça arrive de rater un DS et c’est toujours rattrapable. Grâce à l’ATS, j’ai réussi à intégrer l’INSA Centre Val de Loire dans la filière Maîtrise des risques industriels. Si vous hésitez encore, dites-vous que c’est une énorme plus-value à votre dossier et que ça passe très vite !
Mathieu – ATS 2020/2021 – Lycée Arago
Intègre Polytech Nancy
Cette année de prépa ATS est une année intense mais que je ne regrette absolument pas. Elle m’a permis d’acquérir un bien meilleur niveau en mathématiques et en physique. J’ai réellement vu une progression en anglais, à l’écrit mais aussi à l’oral. La prepa m’a donné une autre vision de la philosophie, bien meilleure que celle de terminale. Cette année permet aussi la découverte ou l’approfondissement des matières de sciences industrielles pour l’ingénieur nécessaire pour la suite des études. Il y a certes une charge de travail à fournir tout au long de l’année qui passe extrêmement vite, mais l’ensemble de l’année est bénéfique pour les études. L’équipe pédagogique est à l’écoute de chacun tout au long de l’année pour qu’elle se passe au mieux jusqu’à l’obtention d’une école. Je peux que conseiller cette année !
Rozenn – ATS 2020/21 – Lycée Arago
Intègre IMT Nord Europe
À la suite de mon Bachelor de Technologie aux Arts et Métiers, j’ai voulu intégrer une école d’ingénieur en alternance. Malheureusement, le contexte de la crise sanitaire m’a compliqué la tâche. Je me suis alors dirigé vers une prépa ATS pour sécuriser mon parcours et intégrer une école d’ingénieurs en alternance avec un contrat d’apprentissage. Les enseignants ont été là pour moi tout au long de l’année pour m’aider et me conseiller. Ils ne laisseront jamais aucun de leurs élèves sur le bas côté tel est leur « nindô » (seuls les connaisseurs comprendront cette dernière phrase). À la suite de la prépa ATS, j’ai pu intégrer l’IMT Nord Europe en filière plasturgie et matériaux composites à Alençon en contrat d’apprentissage avec l’entreprise TEXEN.
Lucas – ATS 2019/2020 – Lycée Arago
Intègre ESB Nantes
La prépa ATS n’a rien à envier aux autres CPGE !! Je ne me sentais pas prêt à intégrer une école d’ingénieur à la suite de mon DUT génie civil et construction durable, j’ai donc choisi cette année de prépa pour intégrer ensuite une école d’ingénieur correspondant à mon BAC+2.
Je la redoutais, cette année… comme tout le monde dans ma classe à la rentrée ! Le volume horaire, les colles, la difficulté des cours. Au final, on prend rapidement le pas, les enseignants sont extrêmement bienveillants, à l’écoute, disponibles et se donnent tous les jours de l’année à fond pour nous donner toutes les chances de réussir !
L’esprit d’équipe ! C’est ce qui nous a fait tenir ! Plusieurs ont voulu abandonner et on a toujours pu compter les uns sur les autres pour se remonter le moral. Entre les joies d’une bonne note en colles et la déception d’un DS raté, les fous rires avec les profs et toutes les fois où on s’est fait remonter les bretelles, c’était une année haute en couleur. Ah ça oui ! La prépa, c’est du sport ! Mais je ne regrette absolument pas cette année, c’est un parfait complément à un DUT ou un BTS.
Avec les connaissances techniques acquises à l’IUT, le solide bagage scientifique et la rigueur que la prépa nous inculque, on a toutes les clés pour réussir en école d’ingénieur !
Audren – ATS 2019/2020 – Lycée Arago
Intègre ENIM
Si l’on souhaite intégrer une école d’ingénieur, la prépa ATS est un excellent tremplin et ce, que l’on vienne d’un DUT ou d’un BTS toutes spécialités confondues. Pour ma part, je souhaitais intégrer une école dès le lycée mais je n’ai pas été admis après mon bac ou mon DUT. J’ai donc intégré la prépa ATS du lycée Arago après mon DUT GMP. Finalement, à l’issue de cette année, je me suis retrouvé à faire un choix parmi plusieurs propositions. En effet, un étudiant sortant d’ATS aura d’une part, un bon bagage technique du fait de sa formation d’origine, ainsi que des connaissances renforcées en sciences grâce à la prépa. Et ça, les écoles apprécient beaucoup ! De plus, vous vous distinguerez durant vos entretiens en entreprises si vous recherchez une alternance. Alors certes, il faut s’attendre à devoir remonter ses manches mais il y a un réel esprit d’équipe et vous trouverez forcément une personne bienveillante qui sera là pour vous soutenir tout au long de l’année. Par ailleurs, le corps enseignant du lycée Arago a toujours su se montrer disponible pour nous aider et répondre à nos questions. Les professeurs s’adaptent aux besoins des étudiants et donnent beaucoup de leur temps pour nous proposer des enseignements de qualité. Ce que nous avons pu constater notamment durant le confinement. Pour finir, soyez rassuré, la prépa ne vous empêchera pas de profiter de la vie rémoise !
Hugo – ATS 2019/2020 – Lycée Arago
Intègre INSA de Rouen
J’ai fait un DUT génie électrique et informatique industrielle mais j’avais envie de changer complètement de domaine, c’est pour cela que je suis entré en prépa ATS. C’est une année difficile mais la qualité des enseignements est propice à la réussite. Les colles m’inquiétaient au début car je ne savais pas du tout à quoi m’attendre mais au final ce sont juste des exercices à réaliser au tableau et si l’on est bloqué les professeurs sont là pour nous aiguiller. Je suis très content d’avoir fait cette prépa, c’est un réel atout pour la suite et ça me permet d’intégrer l’INSA de Rouen en génie civil, chose qui m’était impossible de faire en sortie de DUT.
Romain – ATS 2019/2020 – Lycée Arago
Intègre HEI
Après un bac STI2D, j’ai décidé de faire un BTS Fluides Energies Domotique à Reims. Pendant ce BTS j’ai eu de bons résultats, mes enseignants de BTS m’ont alors parlé de la prépa ATS qui était d’ailleurs dans le même lycée, afin de continuer mes études pour pouvoir intégrer une école d’ingénieurs. J’ai donc décidé de faire la prépa ATS à Reims en étant réconforté par une présentation de cette prépa ATS dans ma classe de BTS. Cette prépa m’a permis d’acquérir un rythme de travail (au début il faut s’accrocher car c’est un rythme qui est très différent de ce qu’on peut connaitre en BTS ou DUT). J’ai aussi amélioré mon niveau scientifique. Les profs nous encadrent très bien et nous étions soutenus tout au long de l’année. Même pendant le confinement, les cours étaient toujours d’une très bonne qualité. Après les concours, j’ai intégré HEI à Lille qui est une école généraliste. Je recommande fortement cette prépa ATS à tous les étudiants de BTS et DUT car elle permet de se réorienter et/ou de se remettre à niveau dans les matières scientifiques.
Guillaume – ATS 2019/2020 – Lycée Arago
Intègre EEIGM
Après avoir obtenu mon DUT SGM, je ne savais pas quelle école d’ingénieur choisir. Le choix est tellement vaste et cela demande un peu de recul. Face à cette indécision, j’ai préféré me donner une année de plus pour réfléchir et affiner mes choix tout en apprenant de nouvelles choses et conforter certains acquis. L’ATS me semblait donc le choix le plus judicieux pour cela. Cette année de prépa ATS est éprouvante, on ne va pas se mentir. Mais c’est une étape qui en vaut vraiment le coup ! D’emblée, le rythme très soutenu peut être impressionnant. Il faut s’adapter assez rapidement, ne pas se laisser surprendre et s’y mettre. Ne faites pas l’erreur de négliger les matières ou les thèmes qui ne vous intéressent moins car le retard se fera sentir tôt ou tard. N’abandonnez pas, ce n’est qu’une année ! Les ressources disponibles en ligne dans le cloud et mises en place par les enseignants sont vraiment complètes et d’une grande aide (cela avait d’ailleurs motivé mon choix pour l’ATS de Reims). Le corps enseignant est vraiment disponible et déterminé à vous faire réussir, il n’y a pas de doute là-dessus ! Les khôlles tout au long de l’année vous forceront à garder un sérieux dans les révisions. Les DS, des moments de révélations… La qualité des cours, même en période de confinement a été excellente. Je ne peux que vous conseiller l’ATS de Reims. Enfin, travaillez en groupe, voyez du monde (la résidence Paul Fort est bien pour cela), amusez-vous aussi et faites des activités en dehors. Il faut s’en donner le temps c’est important. Bonne chance pour ce marathon, la ligne d’arrivée n’est pas si loin !
Hamza – ATS 2019/2020 – Lycée Arago Intègre Centrale Nantes
Après deux ans en DUT GMP je voulais faire une école d’ingénieurs mais au cours de mon stage j’ai vite compris que j’avais besoin de solidifier mes compétences scientifiques. C’est dans cette optique que j’ai choisi la prépa ATS. Même si les témoignages des années antérieures étaient rassurants une certaine peur de l’acronyme CPGE persistait. Comme la plupart des admis je m’attendais à une charge de travail extrême et une vie monotone ; mais heureusement c’est loin d’être le cas. Certes, il s’agit d’un rythme soutenu mais le cadre qu’offre l’ATS du lycée Arago permettait de garder une bonne hygiène de vie (sport, loisirs et quelques soirées avec modération). Il suffit d’être attentif (même super-attentif) en cours et TD, car c’est là que ça se joue. Et surtout ne pas céder au fameux : « ça je refais chez moi »! Mieux vaut profiter de l’expérience du professeur quand c’est possible. Je me suis toujours considéré comme chanceux d’avoir intégré l’ATS d’Arago. D’une part parce que le contenu de la formation est tout à fait séduisant pour tout futur ingénieur intéressé par l’industrie, l’innovation ou même la recherche. D’autre part, le corps enseignant, en plus d’être investi et toujours à l’écoute, produit des supports exhaustifs (et des cours de soutien) qui nous permettaient un apprentissage aisé. Pour finir, on venait de formations différentes pour aller dans des écoles différentes, et une année passe relativement vite, mais c’était suffisant pour faire partie d’une famille où soutien, amitié et la volonté de s’améliorer nous rassemblait.
Matéi intègre l’ UTC en 2018
Lors de mon DUT Mesures Physiques à Reims, je me suis mis en tête d’intégrer une école d’ingénieur mais celles que je visais (INSA et UTC notamment) étaient à mon avis inaccessibles avec les notes moyennes que j’obtenais. C’est vers la fin de mon 3ème semestre que j’ai pris connaissance de la prépa ATS. Après quelques recherches sur cette formation, j’ai décidé de passer 1 an à me remettre à niveau dans les matières scientifiques. Je pouvais ainsi avoir une meilleure chance d’intégrer les écoles qui m’intéressaient, améliorer mon niveau global et surtout ne pas accumuler de retard en arrivant en école d’ingénieur.
J’avais beaucoup de préjugés sur la prépa : je pensais que c’était une formation très difficile avec des profs détestables qui torturaient les étudiants ! Mais il n’en est rien ! Certes, l’année d’ATS est intense et il faut donc très rapidement assimiler de grandes quantités d’informations mais avec de la motivation et grâce à la qualité des enseignements proposés c’est loin d’être infaisable. Les profs mettent vraiment tout à notre disposition pour réussir (documents complémentaires, heure de soutien … ). On se sent vraiment bien encadré et bien préparé pour le concours en fin d’année.
Pour faire court, ce fût une année coriace mais très agréable. J’ai vraiment progressé tout au long de l’année et on y fait de belles rencontres ! Le conseil que je peux vous donner est de s’y « mettre à fond » dès le début afin de prendre le rythme et ne pas être pris au dépourvu quand la fatigue commence à arriver (surtout en janvier). Une fois qu’on est dans le bain, une journée en prépa devient une journée normale. Restez motivés et gardez le moral, à vous de jouer !
Natan intègre ESIEE Paris (spécialité génie industriel) en alternance en 2018
Après mon DUT Mesures Physiques je voulais me réorienter en licence de mathématiques. J’ai donc décidé de faire l’ATS pour tester mon niveau en maths et voir si j’étais capable de réussir des études de mathématiques. Pendant l’année, les profs m’ont conseillé de poursuivre en école d’ingénieur car on a toujours la possibilité de faire autre chose après notre diplôme d’ingénieur. Je suis actuellement à l’ESIEE Paris, en filière génie industriel, par apprentissage.
Cette année d’ATS a été la meilleure de mes études supérieures. En effet, en ce qui concerne les enseignements, les profs sont excellents. De plus, Les polycopiés de cours sont très bien faits, ils sont détaillés et très explicites. On y retrouve les objectifs du cours, les notions à maitriser, un questionnaire (avec sa correction) qui permet de s’auto-évaluer. C’est vraiment pratique pour les révisions. Sur le Cloud intranet de l’ATS, on trouve tous les cours, les corrigés détaillés des TD, les annales : donc pas de panique si on n’a pas tout noté en classe. En ce qui concerne la vie en classe, les profs sont disponibles pour répondre à nos questions en dehors des heures de cours. Ils nous conseillent aussi sur nos orientations… Les camarades de classe sont sympas, on parle à tout le monde, et le fait de vivre à plusieurs dans la même résidence étudiante permet de nouer des liens avec ses camarades. En effet, la CPGE ATS de Reims dispose d’un partenariat avec le CROUS : donc pas de problème pour se loger.
L’année d’ATS demande un travail constant. Ne vous relâchez donc pas au retour des vacances de la Toussaint ou des vacances de Noël, car après, c’est difficile de reprendre son rythme de travail.
L’ATS m’a permis de réapprendre à travailler régulièrement, car en DUT j’avais perdu cette habitude. Elle permet également d’avoir de meilleures bases scientifiques pour le cursus ingénieur. Je ne regrette pas d’être passé par l’ATS car il y a des chapitres que j’ai vu en maths en ATS qui me servent actuellement dans ma formation d’ingénieur.
Pour ceux qui hésitent encore, je vous encourage à faire le saut. On apprend énormément de choses. Ce n’est pas une année perdue !
Gabin intègre HEI Lille en 2018
J’avais, par défaut, intégré le DUT génie civil. À ce moment-là, la seule certitude que j’avais était que je n’irais jamais en prépa. Mais une fois le DUT entamé, je me suis vite rendu compte que je n’appréciais pas réellement le domaine que j’avais choisi. De ce fait lors de mes recherches sur les différentes poursuites d’études possibles, mon attention s’est axée sur la CPGE ATS que je voyais comme une porte de sortie du génie civil, mais surtout comme une formation qui me donnerait accès à tous les domaines (ou presque tous les domaines) scientifiques en école d’ingénieurs.
Quant à l’année, celle-ci s’est avérée être, comme vous vous y attendez certainement, la plus intense du point de vue pédagogique de ma scolarité. Cependant, c’est loin d’être insurmontable, et les nombreuses idées reçues sur la prépa se sont révélées être fausses : on n’a pas besoin de travailler 8 heures tous les soirs et on ne « gâche » pas une année de sa vie. Cette année m’a beaucoup apporté, je n’étais pas le meilleur élève de la classe, ni le plus travailleur, mais cette année m’a tout de même permis d’acquérir une capacité de réflexion qu’une autre formation n’aurait pu m’apporter.
J’ai été admis sur dossier et après entretien à HEI Lille en formation initiale, je compte intégrer la filière conception mécanique en deuxième année de cycle ingénieur, la première année étant encore générale.
Farès intègre l’ECAM de Lyon en 2018
Tentez le saut !
Lors de ma deuxième année de DUT Génie Civil j’avais opté pour le cursus « poursuite d’études » plutôt que « insertion professionnelle », c’est lors du 4ème semestre de DUT que je me suis rendu compte que je voulais poursuivre des études davantage liées à la théorie qu’à la pratique. Je me posais également des questions sur mes études. Le génie civil faisait-il vraiment partie de mes passions ? On m’avait parlé de l’ATS, une classe préparatoire en seulement 1 an qui permet d’intégrer des écoles d’ingénieurs et non des moindres.
Si tu es partant pour une année de prépa, il faut être prêt à faire des sacrifices. Je m’attendais à une année difficile et cela a été le cas mais les efforts que j’ai fournis m’ont permis d’intégrer l’ECAM de Lyon.
Détermination, discipline, travail sont les mots d’ordre mais c’est loin de l’abandon de toute vie sociale. En conserver une fait partie de la recette pour obtenir de bons résultats. Sortez, décompressez, ça met en confiance !
La vie en résidence universitaire avec les autres ATS est une très bonne expérience de vie, que des bons souvenirs ! Partage, solidarité, entraide… et ça fait connaitre d’autres personnes et d’autres univers. Une année d’ATS ça change les gens !
Un encore grand merci à toute l’équipe pédagogique de m’avoir accepté dans cette formation. Ce fut ma meilleure année d’études comme l’avait prédit le Proviseur.
Je suis fier d’avoir atteint mes objectifs !
Alicia intègre Arts et Métiers, campus de Châlons-en-Champagne (alternance) en 2018
Pendant mon BTS Electrotechnique à Château-Thierry, je savais que je voulais continuer mes études après mon BTS, mais qu’intégrer une école d’ingénieurs serait difficile. J’avais donc des hésitations concernant mon orientation future.
Pendant ma deuxième année de BTS, on m’a présenté l’ATS en milieu d’année, mes professeurs m’ont conseillé de tenter car je n’avais rien à perdre et ce serait enrichissant pour mon parcours scolaire.
J’avais peur du rythme de travail mais en réalité il faut juste travailler régulièrement et ne pas se relâcher pendant l’année. L’accompagnement est super, on a beaucoup de documents, des heures de soutien et les professeurs sont à l’écoute et très disponibles si l’on rencontre des problèmes.
Finalement l’année d’ATS est passée à vitesse grand V, et j’ai découvert énormément de sujets intéressants que je n’avais jamais abordés auparavant.
Au final cette année m’a ouvert de nouvelles portes et m’a permis d’aller dans l’école que je souhaitais, donc je n’ai rien perdu et j’ai vécu une super année.
Emilie intègre les Mines de Nancy en 2017
Après avoir obtenu un bac S, je me suis dirigée vers un DUT Mesures Physiques. C’est un DUT pluridisciplinaire qui fait découvrir un large panel de domaines scientifiques comme l’électronique, l’étude des matériaux, la chimie ou encore la programmation. Après ce DUT, j’ai voulu poursuivre mes études et intégrer une école d’ingénieurs. J’ai donc postulé à diverses écoles, sans grand succès malgré des notes convenables en DUT. Je me suis alors dirigée vers la prépa ATS. C’était une année dure mais pas insurmontable ! L’équipe pédagogique de cette formation est très expérimentée. En plus de nous soutenir, les professeurs s’intéressent à notre projet professionnel, même au delà du concours ATS : ils nous aident pour d’autres concours. Leur but est notre réussite, même si parfois c’est difficile, n’en doutez pas !
Dans une ATS, les étudiants viennent de BTS ou DUT différents, on ne vise pas forcément les mêmes écoles, on peut donc compter les uns sur les autres !
Après plusieurs réponses positives d’écoles, je vais finalement intégrer l’école des Mines de Nancy, en Matériaux et Gestion de Production, école que je n’aurais pas pu avoir sans la prépa ATS.
En ce qui concerne le coté humain de cette formation, je garderai un très bon souvenir de cette année, des personnes qui l’ont partagée avec moi, ainsi que des professeurs.
Bryan intègre l’ ESIGELEC de Rouen en 2017
Après mon baccalauréat professionnel Electrotechnique, Energies et Equipements Communicants, j’ai décidé de poursuivre mes études avec un BTS CIRA (Contrôle Industrielle et Régulation Automatique). Après l’obtention de celui-ci j’ai voulu poursuivre mes études en école d’ingénieurs mais les portes se sont fermées, je n’avais pas le niveau requis. Un de mes professeurs de BTS m’a alors proposé LA solution, faire une année de prépa ATS. Conscient que je n’avais pas acquis certaines bases dans les domaines généraux après un BAC PRO et un BTS, je n’ai pas baissé les bras et je me suis lancé pour une année de travail intensif !
Je n’ai pas été le meilleur de la promotion, mais un travail régulier m’a permis de m’en sortir et d’être finalement accepté à l’ESIGELEC de Rouen. L’année d’ATS à été pour moi une véritable opportunité, j’y ai appris énormément de choses et l’équipe pédagogique est juste exceptionnelle ! On sent que les profs se donnent du mal pour nous et ils sont présents afin de nous aider et de nous accompagner.
Pour finir je dirais que je ne regrette en aucun cas cette année passée en ATS et que peu importe d’où vous venez (DUT, BTS, BAC PRO,…) réussir son année d’ATS n’a rien d’impossible, il suffit juste de se donner les moyens et de travailler régulièrement tout au long de l’année.
Juliette intègre l’ ENSAM d’Aix en Provence en 2017
J’ai un cursus atypique, un peu long à expliquer. Pour faire simple j’ai un DUT Mesures Physiques.
J’ai choisi l’ATS dans un but précis (ce qui est loin d’être le cas de tout le monde) : intégrer une école d’ingénieurs en apprentissage, inaccessible après mon DUT. Je savais donc que pour moi le dossier (les notes tout au long de l’année) était autant important que le concours. Bien que le ressenti en prépa dépende des acquis que l’on a au départ, un travail régulier en restant motivé est la clé de la réussite. Une bonne progression tout au long de l’année sera plus valorisée que des notes en dents de scie (même si certaines sont bonnes).
Mon conseil : donnez-vous à fond autant pour le dossier que pour le concours. Les deux permettent d’intégrer des écoles très variées… à condition d’en faire la demande en se renseignant rapidement sur les formations qui vous intéressent. En plus ça vous fera un objectif concret à viser en cas de baisse de motivation.
En conclusion, malgré un coup de blues fin novembre (j’habite loin de Reims), cette année m’a été très bénéfique autant sur le plan scolaire que sur le plan personnel, notamment grâce à une équipe pédagogique formidable. En septembre j’ai intégré l’ENSAM Aix en Provence, filière mécanique en apprentissage avec Airbus Helicopters.
Maël intègre l’INSA Toulouse en Informatique et Réseaux en 2017
Issu de DUT Multimédia et Métiers de l’Internet et ayant raté de peu mon entrée en école d’ingénieurs l’année précédente, mon année d’ATS fut assez chaotique en terme d’investissement comme en terme de résultats. Le travail qui est nécessaire pour réussir pleinement une année d’ATS est conséquent et le rythme est soutenu, il faut donc une motivation certaine pour en venir à bout. Cependant rien n’y est impossible et les principales difficultés que j’ai pu rencontrer au cours de l’année, c’est moi-même qui me les suis données.
Au bout de plusieurs remises en question vis à vis de mon projet, j’ai décidé de ne pas abandonner et de poursuivre l’année jusqu’a son terme. Un choix que je ne regrette pas puisque j’ai pu obtenir plusieurs écoles sur dossier et des admissibilités sur concours. Ayant finalement été pris à l’INSA de Toulouse en Informatique et Réseaux, je suis pleinement conscient que le bagage scientifique que j’ai développé au cours de cette année me sera d’une utilité primordiale dans la suite de mes études, et je peux aborder l’année sereinement par rapport au niveau exigé dans les matières théoriques en école.
Au delà de tout ça, j’ai aussi pu rencontrer en ATS des camarades de classe avec qui j’ai passé de bons moments (serrage de coudes oblige) et des professeurs pédagogues dont le projet des élèves importe vraiment plus que des simples statistiques de sortie.
En résumé, l’année d’ATS est une année qui offre beaucoup d’opportunités à court terme comme à long terme. Il s’agit aux élèves de les saisir.
Sylvain LEDUR intègre l’Ecole Centrale Nantes en 2016
Ayant fini mes deux années de DUT Mesures Physiques après avoir obtenu mon Bac S, la question s’est posée concernant ma poursuite d’études. Sachant que je voulais aller en école d’ingénieurs j’ai eu le choix entre entrer directement dans une école d’ingénieurs, ou faire une année de prépa ATS pour être plus performant en école, mais aussi pour avoir une meilleure école que celles accessibles en sortant directement de DUT.
J’ai fait le choix de la prépa pour cette opportunité qu’elle nous offre d’obtenir des écoles qui jusque-là nous fermaient les portes. L’autre avantage de la prépa ATS était qu’elle propose un concours à la fin de l’année qui nous offre une banque d’écoles, tout domaine confondu. Cela m’a donc permis de partir serein dans mon année sachant que j’aurais forcément une école à la fin de l’année, sachant que cela m’a permis aussi de découvrir des écoles que je ne connaissais pas, du fait de mon parcours ne correspondant pas à un étudiant sortant de prépa, notamment Centrale Nantes, que j’ai fini par intégrer. Je vais donc continuer mon cursus dans cette école qui, comme on me l’a promis à mon entrée, et comme on vous le promettra à vous aussi, me convient à merveille.
En sortant d’ATS, vous aurez acquis une méthode de travail efficace qui vous permettra de réussir dans une école qui vous convient, quel qu’ait été votre niveau au départ. N’hésitez pas une seule seconde, loin d’être une année de perdue, c’est l’assurance de réussir dans une école qui vous convient.
Gloria-Fanny MOTA intègre HEI en 2016
Après l’obtention de mon BTS Étude et Économie de la Construction, je ne me dirigeais pas vers une prépa ATS. Ce sont mes professeurs qui m’en ont parlé et qui m’ont un peu poussée. Je me suis alors lancée et je ne regrette vraiment pas ! Certes l’année est vraiment intense et la fatigue se fait rapidement ressentir. Mais il ne faut jamais oublier son objectif et surtout se dire que ce n’est qu’un an. Pour moi, le plus difficile a été la confiance en moi qui peut être mise à l’épreuve mais le soutien externe (amis, famille) mais également interne (professeurs, camarades) permet de surmonter cette année.
Je vais maintenant intégrer HEI en alternance, option Bâtiment et Travaux Publics et je serai accueillie par l’entreprise Bouygues Bâtiment Nord Est.
La prépa c’est dense et fait souvent se remettre en question mais n’oubliez pas que le jeu en vaut la chandelle.
Antoine CONEDERA intègre l’INSA Strasbourg en 2016
Avant tout, je n’ai jamais aimé l’école, c’est pourquoi je me suis orienté vers un baccalauréat professionnel électrotechnique après une 3ème DP6. Bref, après mon bac pro j’ai voulu tenter le BTS électrotechnique, car je me suis dit ‘’pourquoi pas être au moins technicien’’. Durant mon BTS mes professeurs m’ont conseillé de poursuivre en ATS pour me mettre à niveau dans les TOUTES les matières…
L’ATS c’est une année de malade (coté travail parce que niveau sorties … attends l’année prochaine), mais grâce à des SUPERS PROFS, et également un esprit d’entraide (chacun vise une école différente donc personne ne se bat pour la même école). Donc peu importe d’où tu viens (bac général/ technologique /professionnel) si tu veux vraiment aller en école d’ingénieurs tu dois tout donner !!
Bref l’ATS c’est des bons souvenirs et merci aux professeurs et ceux qui m’ont aidé.
Sarah FOLSCHWEILLER intègre intègre l’Ecole Centrale Nantes en 2015.
J’ai réalisé mon année d’ATS au lycée Arago après un BTS Bâtiment que j’ai obtenu dans ce même lycée. J’avais tenté quelques années plus tôt, une CPGE MPSI que j’ai abandonnée après 1 an par faute de motivation.
La prépa ATS m’a permis d’améliorer rapidement et considérablement mon niveau scolaire, ce qui n’est pas négligeable si l’on souhaite intégrer une école d’ingénieurs. Je suis maintenant à l’Ecole Centrale de Nantes où un grand nombre de possibilités s’offrent à moi. Au début, Je voulais intégrer une école d’ingénieurs tout de suite après mon BTS, mais je suis soulagée d’avoir fait ATS. Tout d’abord parce que j’ai une meilleure école que celle que j’aurais pu avoir à la fin de mon BTS mais aussi parce que les cours sont vraiment utiles : notions plus complexes, techniques de travail, etc.
Arnaud BETEMS intègre l’INSA Strasbourg en 2015
N’ayant pas réussi à intégrer une école d’ingénieurs qui me plaisait après mon DUT Génie Civil, je me suis tourné vers la CPGE ATS de Reims avec la ferme intention de me mettre au travail. Au final, je dirais que le plus compliqué à gérer fut la quantité d’informations à retenir dans chaque matière, et non pas la difficulté des enseignements. J’ai eu un peu de mal à trouver le rythme au début. Je passais beaucoup de temps à travailler mais pas de la bonne manière. Les professeurs sont toujours à l’écoute, toujours disponibles et toujours motivés : ils sont géniaux (je ne suis pas payé pour dire ça). Faites leur confiance ! J’ai choisi d’intégrer l’INSA de Strasbourg en Génie Climatique et Energétique, école qui m’avait refusé après le DUT.
Maxence GOSSARD intègre l’ITII Bretagne en 2015
Après mon DUT GMP obtenu à Reims, j’ai souhaité faire une prépa ATS pour renforcer mes connaissances dans les matières scientifiques mais aussi en afin d’intégrer une école d’ingénieur plus sereinement. Il y avait dans la classe des camarades qui venaient de BTS, DUT, de spécialités diverses, cela permet la complémentarité dans les matières, car dans la difficulté un réel esprit d’équipe et une bonne ambiance se créent. Durant l’année j’ai eu des baisses de moral, je doutais de mes capacités, mais les profs sont là, les copains aussi pour nous soutenir et on repart remotivé pour atteindre son objectif. Au final l’année passe très vite, il y a plein de possibilités de poursuite d’études et les écoles d’ingénieurs raffolent des ATS. J’ai choisi l’ITII de Bretagne en spécialité, en alternance chez FAURECIA. Donc j’ai atteint mon objectif grâce à l’ATS.
Thomas JUILLART intègre l’ENSEA en 2015
Après mon DUT Informatique je me suis dirigé vers la Fac en 3ème année de Licence Informatique. La formation ne correspondait pas à mes attentes, j’ai abandonné et j’ai souhaité me réorienter en ATS.
La prépa c’est beaucoup de travail et forcément des difficultés auxquelles il faudra faire face. Mais on a la chance d’être entouré d’une excellente équipe d’enseignants qui sont très pédagogues et à notre écoute. Il y aussi une excellente relation élève-professeur. Tout le monde est soudé et s’entraide pour venir à bout des problèmes que l’on rencontre et se pousse vers la réussite. Jamais je n’aurai cru faire une classe préparatoire avant l’ATS (trop de travail, formation très rythmée). Pourtant j’y suis allé motivé et déterminé et aujourd’hui j’ai atteint mon objectif : intégrer à l’École Nationale Supérieure de l’Électronique et de ses Applications (ENSEA), sans l’A.T.S cela aurait été impossible.
Eric LE GALL intègre l’ESIEE Amiens en 2014.
Durant ma deuxième année de BTS électrotechnique, on m’a parlé de la prépa ATS. J’ai choisi de suivre cette classe pour me mettre à niveau avant d’entrer dans le cycle ingénieur.
Mon choix s’est fait plutôt rapidement et même si le rythme de travail est bien plus soutenu qu’en BTS, le jeu en vaut la chandelle. La prépa ATS m’a permis de tester mes limites et de les dépasser.
De plus, bien que cela ait été une année difficile sur le point de vue du travail à fournir, l’ambiance de la classe a toujours été très bonne, encouragée par des professeurs toujours à l’écoute.
Charles FLOQUET intègre les Arts et Métiers ParisTech en 2014.
L’ATS est une excellente initiative pour ceux qui ont eu du mal à s’orienter par le passé ou qui n’ont pas eu l’occasion d’avoir l’école de leur choix (ou même de leurs rêves) après leur dut/bts. Cette année m’a été bénéfique et m’a permis d’entrer aux Arts et Métiers de Châlons (sans pour autant arrêter de vivre pendant une année).
Avec un minimum (ou plutôt un maximum) d’assiduité, d’intérêt et de motivation, on voit de nouvelles portes s’ouvrir à soi. Avec de l’investissement, avec l’ambiance d’entre-aide au sein de la classe que nous envient les autres prépas, et grâce aux profs plus qu’investis, les efforts payent.
Et encore une fois surtout ne voyez pas cette prépa comme un abattoir où vous vous engagez pour un sacrifice de 8 mois mais voyez la comme une opportunité que vous devez saisir.
Pierre YVERNEAU intègre l’UTBM : Ergonomie Design et Ingénierie Mécanique en 2014.
Tout a commencé en fin d’année de DUT , j’estimais ne pas avoir suffisamment de bagage scientifique pour être apte à suivre une formation en école d’ingénieur. J’ai découvert la CPGE ATS qui m’a permis de pouvoir progresser dans tous les sens du terme malgré des résultats souvent décevants à mon goût… que ce soit sur la rigueur, l’organisation, le goût de l’effort, apprendre à connaître ses limites etc. Personnellement, la classe ATS m’a fait énormément évolué ! J’y ai appris énormément de choses ! Certes il faut travailler, il faut faire des sacrifices mais si on veut quelque chose, il faut s’en donner les moyens. Je ne regrette pas du tout d’avoir fait cette prépa, bien au contraire !
Je souhaite beaucoup de courage à la prochaine promo, dites vous bien que ça va très vite donc mettez vous dedans le plus rapidement possible et ne baissez pas les bras : le jeu en vaut la chandelle.
J’étais loin d’être le meilleur mais en travaillant davantage, j’ai progressé et cela m’a permis d’intégrer l’UTBM, j’en suis très fier !
Comme disait la prof d’anglais même si vous rencontrez des difficultés « keep calm and carry on ».
Y’a plus qu’à… Bon courage !
Théodore MEUNIER intègre les Mines de Nancy en 2014.
Sortant d’un DUT Sciences et Génie des Matériaux, je ne me voyais pas intégrer une école d’ingénieurs, à cause des bases en physique et mathématiques que j’avais perdues et surtout de la quantité de travail à fournir à laquelle je n’étais absolument pas habitué.
J’ai choisi d’aller en ATS pour me remettre au travail et être accepté dans une école plus intéressante que celles auxquelles je pouvais accéder en fin de DUT. Après cette année, je pense que la classe ATS du Lycée Arago est surement la meilleure possibilité de renforcer ou redécouvrir les bases pour les écoles supérieures. Le niveau et la difficulté du travail sont croissants mais avec le soutien et la pédagogie des différents professeurs, une bonne méthode et un minimum de sérieux, il est largement possible de finir son année avec une école sur dossier ou sur concours.
Margaux POTEL intègre le CNAM de Reims en 2014.
Ayant pour optique de poursuivre mes études après mon DUT Génie Civil, je savais très bien que mes lacunes dans les matières scientifiques allaient me pénaliser. Un professeur à l’IUT m’a alors conseillé de faire une ATS au Lycée Arago. Cependant, j’avais certaines craintes dues aux spécialités génie Mécanique et génie Electrotechnique (Surtout l’Elec qui est la grosse bête noire de certains étudiants). Bref, je me suis lancée, et pour être franche les premiers mois ont été difficiles. La cadence d’apprentissage était très intense, surtout lorsque l’on doit commencer sans aucune connaissance dans certaines matières et avec lesquelles on a aucune affinité … (Désolée Mr De Oliveira mais l’électronique, c’est le diable !). On a eu des hauts et des bas mais heureusement, il y a un réel esprit d’entraide au sein de la classe. Venant de parcours très différents, il n’y a pas vraiment de compétition car chacun voulait intégrer sa propre école. Avec le recul, je dirais que le plus pénible fut au retour des vacances de Noël. Après avoir passé les premiers mois à travailler à fond, nous commencions à fatiguer et certain s’interrogeaient : « ça en valait la peine » ou « si on allait vraiment avoir au moins une école »(Il faut noter que la détermination est toujours maximale au début et ensuite , elle prend des petites vacances … ). Ensuite, c’est la période des concours. Il faut être sur tous les fronts à la fois et ça, surtout si tu échoues à plusieurs concours externes (écoles sur dossiers), c’est très démoralisant. Mais à la fin, si tu as fait ton boulot, tu es accepté un peu partout et tu n’as plus qu’à choisir. C’est enfin une grande satisfaction et un immense soulagement !
En résumé, l’ATS t’apporte des insomnies, stress et pas mal de remise en questions mais tu as en contrepartie une approche différente sur l’avenir ! J’ai adopté une méthode de travail où je fais mon travail de manière efficace et régulière et non plus du jour au lendemain. Les bases dans les matières scientifiques se sont solidifiées et je me suis enrichie sur les choses de la vie courante (Sais-tu comment fonctionne un micro-ondes, une fibre optique ou bien un moteur?). Enfin, le plus important pour travailler, c’est le corps enseignant. Ici, nous étions face à des professeurs tous motivés, qui n’ont qu’une envie, notre réussite. C’est primordial, car un professeur qui n’a aucune motivation, n’aide en rien dans ton parcours. Ils sont toujours à la recherche de solutions ingénieuses pour nous aider à réussir, pour que cela paraisse moins compliqué.
Au final grâce à une bonne équipe pédagogique, j’ai obtenu 5 sur 6 écoles dont mon premier choix. Je me dis maintenant que ça valait vraiment le coup de persévérer et de ne pas se décourager pour arriver à mon but : intégrer une école ingénieur. S’il fallait le refaire, je serais partante.
Joris HOFFMANN intègre Mines Nancy en 2014.
Avant même l’obtention de mon B.T.S. en électrotechnique, je pensais déjà à une future poursuite d’études dans une école d’ingénieurs. Venant d’une formation majoritairement tournée vers le génie électrique et voulant poursuivre mes études dans les domaines de la mécanique que j’avais pu entrevoir pendant toute ma scolarité, j’ai décidé de me tourner vers la seule solution me permettant de pouvoir changer d’orientation : la classe préparatoire A.T.S.
Je dirais que cette classe préparatoire m’a beaucoup apporté, avec de l’acharnement et une détermination à toute épreuve j’ai pris conscience du potentiel que j’avais. Grâce à l’enseignement, aux conseils et au soutien de l’équipe pédagogique et à l’entraide remarquable entre élèves de la même classe, j’ai pu m’approprier ma propre méthode de travail et acquérir un raisonnement se rapprochant le plus de celui que l’on recherche pour un futur ingénieur à chaque problème rencontré. J’ai pu ainsi accroître mes connaissances, solidifier les bases acquises au cours de mes formations antérieures et me remettre à niveau en mécanique. Si je devais donner un conseil aux futurs étudiants ce serait de jamais avoir peur d’appeler un professeur pour demander de l’aide sur un point du cours qui paraît confus. Les professeurs seront toujours la pour répondre à vos moindres problèmes, pour vous aider à réussir ce que vous voulez entreprendre et vous aider dans votre quête de compréhension du cours et des exercices !
Finalement, avec la qualité de formation que propose le lycée François Arago, j’ai pu donc concrétiser mon choix de m’orienter dans les domaines de la mécanique en intégrant sous statut apprenti la formation « ingénieur en Conception » des Mines de Nancy. Pour terminer, je tiens à préciser qu’en me réorientant dans un autre domaine, je n’oublie absolument pas tout ce que j’ai appris via mon B.T.S. en électrotechnique. Je compte bien, après avoir obtenu mon diplôme d’ingénieur, rattraper le retard accumulé en électricité et donc obtenir une double compétence en tant qu’ingénieur. Bonne chance aux futures promotions.
David Madureira intègre l’E.S.I.L.V en 2013.
Après l’obtention de mon BAC PRO Étude et Définition d’un Produit Industriel, je me suis décidé à continuer mes études car la voie que j’ai empruntée m’a vraiment plu. J’ai donc continué en BTS Assistance Technique d’Ingénieur afin de découvrir encore plus la mécanique. La prépa ATS m’a beaucoup apporté. Elle sert à consolider les bases, mais pas seulement. Elle m’a permis d’avoir un raisonnement beaucoup plus scientifique qu’avant, ce que doit avoir un ingénieur par la suite. Le rythme de travail était très important. Malgré ma quantité de travail les résultats n’étaient pas toujours au rendez vous, mais il faut NE JAMAIS BAISSER LES BRAS !
Si je devais refaire une prépa ATS, je modifierai certaines choses. Je ne négligerai aucune matière car par la suite ça peut jouer des tours. Un conseil : ne négligez aucune colle. Pour moi les colles sont primordiales pour évoluer durant une année comme celle que vous allez passer.
Encore merci aux professeurs qui ont toujours été là pour notre promotion.
N’oubliez surtout pas : La prépa ce n’est pas une compétition, vous serez meilleurs en équipe !
BON COURAGE A TOUS!
Arnaud Besse intègre l’ENSCG en 2013.
J’ai toujours rêvé d’intégrer une école d’ingénieurs, aussi, après l’obtention du BTS Géomètre-Topographe et sur les conseils de mes enseignants de l’époque j’ai postulé à la classe préparatoire ATS du lycée François Arago de Reims. Dès les premières heures de cours j’ai vite compris que le rythme allait être très intense. Les quantités de données à comprendre et à assimiler sont très importantes et parfois compliquées (on comprend rapidement l’utilité vitale des colles).
Mais, les professeurs ont toujours été présents pour m’expliquer, me remotiver et nous guider pour préparer au mieux les concours de fin d’année. Grâce à cette année j’ai pu apprendre des méthodes de travail efficaces. Je ne regrette absolument aucun moment de cette année qui est à la fois longue et courte. Encore une fois merci à tous les professeurs pour cette année inoubliable.
Comme on dit : la prépa ça vous marque. Bon courage pour les nouvelles promotions.
Bruno Porte intègre l’EME de Bruz en 2013.
Au départ je pensais que je n’irais jamais en prépa, et même lorsque je me suis inscrit, je pensais guère tenir plus d’un mois. Or, au fur et à mesure j’ai fini par m’habituer à la charge de travail, j’ai beaucoup travaillé et j’ai fini par être étonné par ce que je pouvais faire. Je pensais que je n’aurais aucune école et au contraire, j’en ai eu plein. C’était donc une année riche en surprises, je ne regrette pas de l’avoir fait, car cela vous apprend vraiment à travailler.
Julien Picot intègre l’INSA de Lyon en 2013.
Après l’obtention de mon BAC STI Génie Electronique suivi deux années plus tard d’un BTS Systèmes Electroniques, je voulais entrer dans la vie active, mais l’un de mes professeurs de BTS m’avait conseillé l’ATS.
Curieux, je me suis renseigné et je me suis rendu compte que cette section pouvait être un réel tremplin vers des études supérieures. Le rythme des cours, couplé à la quantité d’informations devant être acquise durant l’année, peut rendre celle-ci très difficile, mais c’est sans compter sur une équipe pédagogique toujours à l’écoute et prête à expliquer autant de fois que cela s’avère nécessaire.
On pourrait penser que la CPGE ATS est une année de perdue, mais c’est pourtant tout le contraire, car malgré le fait que l’on n’ait pas de diplôme à la fin de l’année, à la place, on a de solides bases pour des études supérieures et aussi de très bons souvenirs car il y a une bonne entente dans la classe.
Je ne regrette absolument pas le choix que j’ai fait en intégrant cette classe et conseille cette perspective à toute personne BAC+2 désirant poursuivre ses études.
Après plusieurs réponses sur dossier et concours positives, j’ai décidé d’intégrer l’INSA Lyon pour la rentrée 2013/2014.
Anaëlle Bouillot intègre l’Institut d’Optique Graduate School en 2013.
Après l’obtention de mon DUT Mesures Physiques, j’ai décidé de faire une prépa ATS pour poursuivre en école d’ingénieurs. J’ai fait ce choix car j’avais peur de ne pas pouvoir suivre après mon DUT donc, j’ai préféré me consacrer un an (qui passe très vite) à l’ATS pour avoir de solides bases dans les matières scientifiques, notamment en mathématiques.
Je ne regrette pas du tout ce choix. Cette année d’ATS m’a vraiment été bénéfique. En effet, j’ai appris à travailler régulièrement (avec des évaluations régulières), à gérer mon temps, à acquérir des automatismes de calcul et à réfléchir plus vite sur un problème : le parfait mélange pour réussir en école d’ingénieurs !
Pour intégrer cette prépa, il faut vraiment être très motivé, avoir un but, ne surtout pas baisser les bras et ne négliger aucune matière ! L’attente des résultats d’école a peut-être été le moment le plus difficile, mais avec les admissions par dossier ET par concours, on a tous une chance d’intégrer une école !
Pour ma part, j’ai intégré l’Institut d’Optique Graduate School ParisTech par dossier, que je n’aurais jamais pu intégrer sans l’ATS, et le travail que j’ai fourni.
Même si cette année a été difficile au niveau du travail, du stress… ce fut une année inoubliable, avec une ambiance de classe très agréable, des professeurs très pédagogues et toujours présents et des souvenirs plein la tête !
Hamidou Diop intègre l’ESIX Normandie en 2013.
Après l’obtention d’un Bac Pro Électrotechnique, mon rêve était d’intégrer une école d’ingénieur coûte que coûte. J’ai donc rejoint une prépa ATS après un passage en DUT GIM.
Cette année a été la plus difficile de toute ma vie mais a été la plus bénéfique de toutes. J’ai pu acquérir de solides bases scientifiques et techniques grâce à mes professeurs qui ont été sans cesse à l’écoute. Ils m’ont encouragé en me faisant comprendre qu’il fallait toujours travailler afin de réussir et ne jamais baisser les bras, et pour cela je leur en serai toujours reconnaissant. Je dois aussi cette réussite à une très bonne ambiance dans la promotion.
Je souhaite bonne chance à la promotion 2013/2014.
Corentin PASQUIER intègre l’ESITC de Metz en 2012.
La prépa ATS a été un véritable tremplin professionnel ainsi qu’une très belle expérience personnelle. Comme la plupart de mes collègues l’ont dit, cette prépa demande une charge énorme de travail et une grande organisation qu’il faut appliquer dès les premiers jours de cours. Grâce à un travail régulier alimenté par beaucoup de motivation et de persévérance, une équipe pédagogique remarquable et une ambiance de classe exceptionnelle, j’ai pu intégrer une école d’ingénieur à l’ESITC de Metz. Un dénouement qui me paraissait irréalisable en sortant du bac et du BTS. Je remercie grandement, une fois de plus l’équipe pédagogique, et souhaite bien évidemment bonne chance aux futures promos !!!
Valentin DAUBRE intègre les Mines de Douai en 2012.
Après mon DUT Génie Thermique et Énergie à Belfort, j’ai voulu intégrer une école d’ingénieur ; mais une remise à niveau (en maths notamment) était plus que nécessaire… C’est ainsi que je me suis dirigé vers la prépa ATS de Reims. Et quelle année !!! Une année difficile certes, une quantité de travail importante, mais pour faire face à cela une équipe pédagogique très disponible et compétente, et une entraide formidable entre étudiants (chose que j’aimerais fortement retrouver l’année prochaine…) C’est grâce à tout cet ensemble que nous avons tous pu avancer et évoluer, et pour ma part finalement intégrer l’École des Mines de Douai. Un grand merci à tous !!!
Pierre GUERY intègre l’ITII Champagne-Ardenne en alternance en 2012.
J’ai obtenu un bac scientifique en 2009 et je suis ensuite passé par un DUT Génie Civil à Reims. Voulant poursuivre les études après mon DUT, j’ai d’abord choisi d’intégrer la classe ATS de Reims afin de me « regénéraliser » et d’avoir une seconde chance sur mon orientation et sortir d’une voie technique.
Dès le début d’année, le rythme était donné pour un sprint de 28 semaines. Comme tout le monde l’a dit, il y a eu une forte charge de travail, beaucoup plus que ce que nous avions pu rencontrer jusque là, dans notre scolarité. Il fallait clairement passer sur un autre rythme. Aussi, cette année de prépa nous aura appris à chacun, un vrai sens de l’organisation, donné de réelles méthodes de travail et surtout fourni l’accompagnement et les connaissances générales que l’on recherchait tous. Pour ma part, les objectifs que j’avais en début d’année ont été remplis et je suis pleinement satisfait de cette expérience en ATS, qui, je pense, restera l’un des meilleurs choix de vie. Je tenais à remercier comme il se doit l’équipe pédagogique, HORS-NORME, qui nous a soutenus tout au long de l’année. Un grand merci à vous, vraiment pour tous ce que vous nous avez apporté !!! Mais aussi, un grand merci à toute la promo et à toutes les personnes géniales que j’ai pu rencontrer cette année. Pour finir, je dédie une petite phrase à la promo actuelle, celle à venir et plus particulièrement à une personne que l’on reconnaitra tous, OK, donnez vous à fond et servez vous bien de cette année pour décrocher l’école de vos rêves, mais n’oubliez pas la seule et unique chose valable : » L’important c’est de participer ! ! ! » 🙂
J’intègre ITII Champagne-Ardenne option mécanique en alternance, en 3ème année.
Elise SUSZKA intègre l’HEI de Lille en 2012.
La CPGE ATS, une grande chance d’avoir pu intégrer cette classe ! Après l’obtention de mon DUT Génie Civil, j’ai été refusée dans plusieurs écoles d’ingénieurs à cause de mes difficultés dans les matières scientifiques, c’est pour cela que j’ai souhaité intégrer cette année de classe préparatoire. J’avouerai que cette année a été la plus difficile jusqu’à présent dans ma scolarité mais c’est aussi celle où j’ai pu créer de vrais liens d’amitié que je n’oublierai jamais ! Cette amitié s’est créée grâce à des heures d’entraide entre camarades, c’est, je pense, ce qui a aidé à la réussite de beaucoup d’entre nous ! Cette réussite est là aussi grâce à la motivation, le travail, la détermination et l’organisation, qui sont les points clés d’une année de prépa telle que celle-ci ! Je remercie sincèrement l’équipe pédagogique qui nous a soutenus et aidés pour pouvoir réaliser notre rêve de poursuite d’études ! Une équipe pédagogique comme celle-là vous n’en trouverez nulle-part ailleurs !! Grâce à cette année, j’ai pu intégrer HEI Lille en formation d’ingénieur BTP en apprentissage !! Merci à mes camarades et aux professeurs !! Et bon courage pour les suivants !
Hassan MACHKOUR intègre l’ESITC de Caen en 2012.
Les deux premières semaines en CPGE ATS ont été pour moi une période très difficile mentalement : un rythme d’enfer, aucun temps d’adaptation et des évaluations orales (colles). Pourtant, la réussite d’une année comme celle-là, a été possible grâce à une équipe pédagogique à la fois très impliquée et très professionnelle mais aussi grâce un travail régulier, organisé et efficace que j’ai pu mettre en œuvre à force de pugnacité. De plus, les colles que je voyais à la base comme du travail en plus, se sont avérées très positives. Je les prenais comme un outil qui me permettait soit de confirmer la compréhension du cours, soit de mettre le doigt là où je devais en remettre une couche. Enfin, une année s’achève : une confiance retrouvée et des bases scientifiques et techniques me permettent d’envisager sereinement la poursuite de mes études au sein de l’ESITC de Caen.
Paul-Eric VISAT intègre Sup’Reha de Limoges en 2012.
Après l’obtention de mon BTS, j’ai eu l’opportunité de rentrer en CPGE ATS à Reims. J’avoue que ce fut une année très difficile : le niveau en mathématiques et en physique était très élevé pour moi qui n’avais pas un bac scientifique mais un bac STI génie civil. L’équipe pédagogique a été formidable, elle s’est adaptée à chaque élève et nous a encouragés tout au long de l’année. L ‘ambiance au sein de la classe était excellente : nous sommes toujours restés soudés et solidaires et ce fut très important pour moi. Grâce à cet enseignement, j’ai pu améliorer mon niveau scientifique et réussir à intégrer l’école d’ingénieur de mon choix, Sup’Reha, en alternance chez Eiffage Construction à Nancy.
Krystian NOSTER intègre les Arts et Métiers ParisTech en 2011.
« Après mon DUT génie civil, je n’avais pas de réelles poursuites d’études, et je ne savais pas trop quoi faire. J’ai entendu parler des classes préparatoires ATS, et j’ai pensé que ça pouvait être intéressant pour moi. C’est une année assez dure, où il faut vraiment être motivé pour réussir, mais les enseignants sont vraiment là pour nous aider et nous pousser le plus loin possible. Au-delà des Maths, de la Physique, du Génie électrique et mécanique, du Français-Philo et de l’Anglais, on y apprend vraiment un raisonnement scientifique indispensable pour pouvoir suivre en école d’ingénieurs. On peut croire que l’année en ATS est une année de perdue, puisqu’au bout de 3 ans d’études après le bac, on n’est qu’à BAC+2, mais beaucoup de gens de mon école d’ingénieurs qui ont fait une prépa scientifique directement après le bac, ont fait une 5/2 (redoublement de leur 2ème année de prépa).