La prépa m’a appris à me dépasser, mais surtout, elle
m’a montré que je pouvais aller plus loin que ce que je croyais possible
« Je m’appelle Yasmine Aksil et j’ai été admise à l’ESCP après deux ans en classe
préparatoire au lycée Clemenceau. Cette expérience a été à la fois intense et
formatrice. J’y suis arrivée avec des doutes, appréhendant l’exigence de ce parcours.
Dès les premières semaines, j’ai pris conscience du rythme soutenu imposé par la
formation. Il y avait des moments de fatigue, mais surtout une incroyable stimulation
intellectuelle que l’on ne trouve dans aucune autre formation.
Ce qui m’a vraiment porté, c’était la proximité avec les autres étudiants. Nous étions
tous dans le même bateau, une véritable entraide s’est créée. J’ai fait de formidables
rencontres. J’ai aussi beaucoup appris de mes professeurs, qui cherchaient à nous
faire progresser individuellement et à nous pousser à donner le meilleur de nous-
mêmes.
Le jour où j’ai appris mon admission à l’ESCP a été une véritable explosion de joie.
Cette réussite, je la dois à ces deux années d’efforts, mais aussi à cette expérience
humaine qui m’a transformé. La prépa m’a appris à me dépasser, mais surtout, elle
m’a montré que je pouvais aller plus loin que ce que je croyais possible. »
La prépa m’a permis
de m’épanouir, tant sur le plan intellectuel que personnel, en forgeant mes
connaissances ainsi que ma résilience et mon caractère.
Après trois années de prépa passées au lycée Clemenceau, j’ai pu intégrer l’ESCP.
Ces trois années m’ont profondément enrichi, tant sur le plan du savoir acquis que
des liens tissés. On a généralement des appréhensions et des doutes sur la prépa,
elle est perçue comme deux ou trois années de sacrifices. Mais la prépa m’a permis
de m’épanouir, tant sur le plan intellectuel que personnel, en forgeant mes
connaissances ainsi que ma résilience et mon caractère. Certes, c’est un parcours
parfois jalonné de difficultés et de déceptions, mais il m’a permis de prendre
conscience de mes forces et faiblesses, ce qui m’a permis d’en ressortir grandi. Le
secret réside dans la persévérance, dans le fait de donner le meilleur de soi-même,
et de prendre du recul en réalisant que, peu importe l’école que l’on intègre, celle-ci
ne représente pas une fin en soi et qu’on pourra être fier de nous.