A la fin de la terminale, mes professeurs souhaitaient me voir intégrer une « grande prépa parisienne », c’est donc ce que j’ai fait sans vraiment y réfléchir. Au bout d’une semaine seulement je me suis rendu compte que ce n’était pas fait pour moi au vu notamment du climat de compétition qui y régnait. Par chance, Clemenceau m’a accueilli à bras ouverts après cette mésaventure et j’y ai vécu deux très belles années. Je me suis alors rendu compte que l’excellence se trouvait également à Reims, tant au niveau des professeurs, qui savent vous pousser le plus loin possible, que des étudiants, avec qui j’ai noué des amitiés solides. Aucune compétition mais plutôt une émulation qui permet de stimuler le potentiel de chacun et d’intégrer les plus belles écoles.
Au sein de cette grande prépa rémoise qu’est Clémenceau, j’ai finalement appris l’autodiscipline, la rigueur et le travail d’équipe qui m’ont permis d’intégrer l’école de mon choix : l’ENVL.