Témoignages MP/MP*
Marion KAZZIHA intègre EIVP en MP en 2022
À la fin du lycée, j’ai fait le choix de rester chez mes parents pour effectuer ma prépa et je ne le regrette absolument pas. J’ai passé 2 années très difficiles mais très enrichissantes. En deuxième année, je suis rentrée en classe de MP où j’ai pu profiter d’une cohésion de classe incroyable. Maintenant que c’est terminé, je commence à me dire que ça va me manquer ! J’aimerais ajouter qu’il n’est pas nécessaire d’être dans une prépa parisienne ou dans une classe étoilée pour réussir aux concours, l’important c’est d’être dans l’environnement le plus propice à sa réussite et avec des professeurs encourageants.
Antoine WAUTHIER intègre Centrale Lille en MP en 2022
Après trois ans passés en prépa à Clemenceau, un en MPSI puis deux ans en MP, je peux maintenant affirmer que celles-ci furent la meilleure expérience de ma vie aussi bien scientifiquement qu’humainement. Bien que la prépa aux écoles d’ingénieurs n’ait été initialement pour moi qu’un choix par défaut, l’implication des professeurs, la méthode propre à ce cursus et les sujets abordés m’ont permis d’apprécier pleinement ce choix. Ainsi, malgré la difficulté et la pression imposées par cette formation, l’internat pour les premières années, comme la vie de classe, permettent de nouer des liens remarquables qui assurent une grande solidarité et une ambiance inoubliable que je regretterai.
David MELIN intègre ENSTA Bretagne en MP en 2022
La prépa est un monde totalement différent du lycée ! On y apprend à travailler, à s’organiser et à se dépasser à chaque instant. Je ne dis pas que la prépa est « tout beau, tout rose ». Elle peut s’avérer assez difficile, notamment d’un point de vue mental. Mais si vous avez la chance de pouvoir faire une prépa, allez-y ! Il faut quelque temps d’adaptation, mais on y prend goût. Aussi, la prépa est une bonne manière de connaître de nouvelles personnes et d’apprendre à s’entraider. Et enfin, bien que la prépa représente deux (ou t r o i s ) années bien c h a r g é e s , elle offre des opportunités plus qu’intéressantes !
Elsa DECOURT intègre ENAC contrôleurs en MP en 2022
Malgré une réticence initiale à aller en prépa, j’arrive à son terme, et je ne regrette pas mon choix. Certes, ces deux années n’ont pas été des plus faciles, la charge de travail est importante et le rythme est soutenu ; mais les amitiés créées permettent de faire face à tout cela. La convivialité et l’absence de compétition toxique font de la prépa de Clemenceau un établissement où tout le monde arrive à trouver sa voie. Le cursus de prépa est très formateur, aussi bien académiquement qu’humainement. On y apprend à gérer son stress, à s’organiser, à savoir hiérarchiser les choses et tant d’autres compétences nécessaires dans la vie quotidienne. Finalement, au-delà des préjugés que l’on peut en avoir, celle-ci en vaut la peine.
Alexandre LAMOTTE intègre l’École des Ponts en 2022
Après deux années de prépa, je sais aujourd’hui que j’ai pris la bonne décision en venant à Clemenceau. Ces années ont été ardues, cependant elles resteront parmi les plus belles de ma vie, je m’y suis personnellement épanoui en créant des amitiés indéfectibles qui m’ont permis de toujours aller de l’avant ; et au-delà des connaissances, j’ai acquis une méthode de travail efficace. Clemenceau offre une superbe ambiance dénuée de compétition nocive entre les étudiants, la formation que j’ai suivie en MP* n’a rien à envier à celle d’une prépa parisienne puisque j’ai intégré l’une des meilleures écoles d’ingénieurs française grâce à un enseignement d’excellence et à ce cadre familial.
Loup-Malo CONSTANTIN (5/2) intègre l’ENS de Paris-Saclay et Étienne MARION intègre l’ENS de Lyon en 2022
Nous avons étudié en classe de MPSI à Clemenceau, puis sommes passés en MP* (un an pour Étienne, deux ans pour Loup-Malo). Ces années ont été stimulantes intellectuellement, avec des cours qui ont su éveiller notre curiosité et nous faire (re)découvrir les maths et la physique dans un cadre plus rigoureux qu’au lycée, donc plus intéressant. Certes, la formation demande beaucoup de travail, mais l’ambiance collective est excellente, avec de l’entraide et une émulation saine entre élèves, des parties de ping- pong chez les MP, et des professeurs à l’écoute, qui s’adaptent à notre projet quel qu’il soit. Au terme de cette prépa, nous avons atteint notre objectif d’intégrer une ENS et gardons un très bon souvenir de ces années.
Mélis BUSSON, Hugo BEAUJARD (5/2), Milan GARNIER, Guillaume DI FATTA et Charles CROON intègrent l’École CentraleSupélec en 2022
Nous avons tous les cinq fait notre prépa à Reims à Clemenceau en MP* et avons ensuite intégré CentraleSupélec après deux ans pour quatre d’entre nous et trois ans pour un. Avec le recul, nous avons tous le sentiment que le confort de la proximité familiale ainsi que l’ambiance chaleureuse de l’équipe pédagogique, que ce soit en 1ère ou 2ème année, nous ont permis de vivre au mieux ces années prépa, et d’intégrer une très bonne école. Nos points forts étaient tous différents mais avec de l’entraide nous avons progressé ensemble, ce qui montre bien l’état d’esprit de la prépa à Reims. Enfin, nous avons tous rencontré beaucoup de personnes qui deviennent très vite des amis avec qui l’on garde un lien très fort.
Lucy GARNIER intègre l’ENAC civile en 2021 en MP
En entrant en prépa MPSI à Clemenceau j’espérais trouver des camarades partageant mon intérêt pour les sciences et en particulier pour les maths. J’entrais également avec l’objectif d’intégrer l’ENAC civile (le titre gâche un peu le suspens quant à ce point).
Je souhaiterais vous recommander chaleureusement la prépa de Clemenceau ! Je m’y suis fait des souvenirs inoubliables avec des personnes extra qui partagent les mêmes moments de doutes, de galères, de stress… mais aussi des moments de rigolades, de détente, d’entraide !
Contrairement à des idées reçues, la prépa de Clemenceau est un lieu où règne une ambiance familiale, sans compétitivité et la bienveillance des professeurs y joue un rôle clé !
Marwane Himeur intègre Centrale Lille en MP.
« La prépa a été pour moi une grande surprise. Contrairement à ce que l’on entend, l’ambiance est géniale, les professeurs sont toujours derrière nous pour nous épauler et ils sont extrêmement passionnés ! Le rythme de travail peut au début sembler ardu, mais il nous apprend à devenir plus efficace et autonome ainsi, on sort de la prépa prêt pour la vie en général. Parfois le travail que l’on fournit peut ne pas être suffisant mais cela m’a aidé à donner le meilleur de moi-même et ainsi intégré l’École Centrale de Lille qui me paraissait inatteignable aux premiers abords. Finalement, je pense que mes années à Clemenceau m’ont énormément plu autant au niveau humain que scolaire. »
Arthur Compère, intègre ESIEE Paris en 2021
« Arrivé en terminale S toujours incertain sur mon avenir, j’ai choisi la prépa MPSI. J’avais alors la crainte d’entrer dans une bulle très compétitive remplie d’élitistes, mais l’ambiance s’est vite révélée très saine. Au bout de quelques semaines, mois, nous formions déjà une grande famille. Même s’il s’agit de deux années difficiles du point de vue des études, j’ai trouvé que c’était une réelle expérience humaine. L’entraide et le soutien des profs qui sont ultra impliqués du début de la première année jusqu’à la fin des oraux permettent de surmonter les difficultés. J’ai vraiment fait de superbes rencontres et les moments passés à Clemenceau en internat, en sup et en spé resteront à jamais gravés dans ma mémoire. »
Florian BERRANGER et Thibaut SINET intègrent l’IMT NORD Europe (Lille) en MP en 2021 :
Après 3 ans au lycée Marc-Chagall, nous avons décidé de nous lancer dans cette belle aventure qu’est la prépa. La charge de travail est conséquente, le rythme est soutenu mais à Clemenceau, les professeurs et les amis permettent de surmonter les moments difficiles. Nous n’avons pas atteint nos objectifs en 3/2. C’est pourquoi nous avons fait une 5/2, et c’est sans regrets car nous avons pu tous les 2 intégrer l’IMT NORD EUROPE. Ces 3 années de prépa nous ont laissé le temps de nous orienter dans nos choix pour l’avenir.
Lucas Tabary (5/2) intègre l’École Normale Supérieure de Paris-Saclay en 2021
Après une année en MPSI à Roosevelt où j’avais aussi fait mon lycée, j’ai rejoint la MP* de Clemenceau pour deux ans, en passant par la case 5/2. Ces années ont été avant tout l’occasion pour moi d’en découvrir beaucoup dans les domaines qui me passionnent encore aujourd’hui, entouré par des professeurs et des camarades avec qui un lien se crée naturellement et durablement.
C’est une formation exigeante et singulière, et il est certes important de questionner son intérêt à la suivre. Il n’en est pas moins certain que les CPGE de Reims fournissent un cadre idéal pour aider des élèves déterminés à atteindre leurs objectifs.
Mathilde CHATEAUROUX (5/2), Raphaël MAHAUT (3/2) et Édouard ROBY (5/2) intègrent l’École CentraleSupélec (Centrale Paris) en 2021
Nous avons tous trois rejoint la MPSI de Clemenceau, puis suivi la MP* l’année suivante. La classe préparatoire nous a permis d’apprendre beaucoup, c’est un parcours très formateur. Nous avons profité pendant ces années d’une très bonne ambiance au sein des classes ainsi qu’au sein de l’établissement. L’esprit général est très agréable, chose importante lors de formations de ce type, pour pouvoir tous s’entraider en cas de difficultés. Les professeurs sont à l’écoute et vous poussent toujours à vous améliorer.
Au terme de ces deux années pour Raphaël, trois pour Mathilde et Édouard, nous avons intégré l’École que nous avions placée en tête de liste. Ces années ont donc été enrichissantes, nous vous recommandons la prépa à Clem sans hésitations.
Paul DAVIAUD (3/2) intègre l’École des Mines de Nancy en 2021
Je sors de mes deux années de prépa (MPSI au lycée Clemenceau puis MP*) totalement ravi. Les attendus peuvent au départ paraître énormes ; cependant, avec de la motivation et grâce à l’aide des professeurs, toujours à l’écoute, très encourageants et nous poussant constamment vers le haut, tout devient possible. La preuve : j’ai décroché une École bien au-dessus de mes espérances après seulement deux ans. Je ne peux que recommander la prépa à Reims, on y fait des rencontres superbes, l’entraide est les étudiants y est très forte avec de plus une très bonne ambiance de classe et enfin, chacun est accompagné pour aller jusqu’au meilleur de lui-même.
Andréa Travaillé-Pestel, intègre l’ENSEA en MP en 2021
Après la terminale, ne sachant que faire en particulier, je suis entrée en prépa BCPST à Clem. J’y ai découvert la rigueur et l’organisation requises en sciences. Appréciant particulièrement les maths, je suis passée en MPSI à Roosevelt, puis en MP2, de nouveau à Clemenceau. A l’issue de ces trois années, riches et intenses, je rentre à l’ENSEA !
Si la prépa est difficile, la bienveillance des professeurs qui nous encadrent tout au long de l’année, l’entraide et l’ambiance au sein des classes et inter filières nous offrent les moyens d’intégrer et de préparer un avenir serein.
La prépa a été l’occasion de rencontrer des amis formidables dans le cadre familial des classes prépas et de l’internat, à Roosevelt comme à Clemenceau. Ces années de travail, de coups de mou parfois, mais surtout de partage et de fous rires sont inoubliables !
Antoine HABERER, intègre ENAC ingénieurs en MP en 2020
Après mon BAC, je n’avais pas d’idée précise sur le métier que je voulais faire. Je me suis donc inscrit en prépa, car cette filière offre un enseignement pluridisciplinaire encadré et rigoureux, ainsi que de nombreuses possibilités. C’est au milieu de la première année que j’ai décidé de me tourner vers l’aéronautique, et plus précisément l’ENAC. Mes résultats aux concours en 3/2 ne m’ont pas permis d’accéder à cette école, j’ai donc fait une 5/2. Grâce à cela, j’ai pu intégrer l’école que je voulais !
Finalement, ces trois années à Clemenceau ont été très enrichissantes et je ne regrette pas d’avoir choisi la prépa !
Manon RASSEL, intègre ENAC-Contrôleurs aériens en MP en 2020
J’ai toujours voulu être contrôleur aérien et c’est pourquoi j’ai décidé d’aller en MPSI afin d’intégrer l’ENAC. Mes deux années de prépa n’ont pas toujours été faciles mais avec de la volonté c’est vraiment supportable. Les professeurs sont vraiment agréables et à notre écoute. Il y a une bonne ambiance entre les élèves, sans rivalité. Finalement, malgré la charge de travail, j’ai passé deux années agréables et enrichissantes que ce soit du point de vue des cours ou celui des relations sociales. Pour finir, je dirais que les classes préparatoires nous offrent plusieurs possibilités d’avenir intéressantes et en restant motivé tout est possible !
Nathan Randriamanana intègre ENSAI fonctionnaire en MP en 2020
Dès la fin de la terminale, j’avais toujours été intéressé par la data science. J’ai donc choisi de faire une prépa pour tenter d’intégrer l’ENSAI. La filière MPSI-MP est finalement celle qui me correspondait le plus compte tenu des débouchés d’école. Je conseille fortement d’aller à Clemenceau car j’ai pu y trouver des profs passionnés, charismatiques, pédagogues et bien sûr compétents qui sont à l’écoute et accordent beaucoup de leur temps à leurs élèves. Les profs vont droit au but et rien n’est fait au hasard de sorte que l’on puisse vraiment être préparé du mieux possible pour les concours. Ils m’ont beaucoup aidé en me donnant des pistes pour progresser mais le travail personnel est aussi ce qui a donné le plus de poids dans ma préparation. J’ai pu ainsi développer davantage ma capacité de travail et apprendre à être plus efficace. Si bien que je n’ai pas hésité à faire 5/2 pour perfectionner ma préparation tout en consolidant sereinement mon niveau en mathématiques. L’ambiance était vraiment agréable et propice au travail, ce qui me permettait de me sentir bien à l’aise et nouer des amitiés fortes. J’en garde un très bon souvenir et une expérience formatrice. »
Pierre Lamart intègre Polytech Nantes en MP en 2020
Le travail et l’assiduité sont évidemment nécessaire pour réussir en prépa, mais absolument aucun effort surhumain n’est attendu, que ce soit vos camarades de classes ou vos professeurs, tout en prépa vous encourage et soutien votre réussite.
Je ne pouvais imaginer pareille ambiance de classe en prépa, tout le monde est sympathique, bien loin l’esprit de compétition que l’on pourrait craindre, tous les élèves s’entraident et se respectent, personne ne viendra vous empêcher de progresser.
De plus, les enseignants sont particulièrement bienveillants, à l’écoute et compétent, ils sont porteurs de bon conseils, toujours prêts à répondre aux questions et restent très impliqués quelles que soient les conditions sanitaires.
Je ne garde que des bons souvenirs de la prépa et ne regrette aucunement mon choix, si les portes de la prépa vous sont ouvertes, allez-y, vous avez tout à y gagner !
Corentin Bens, intègre ENAC, contrôleur aérien en MP en 2020
Après 5 années au lycée Clemenceau, je peux dire que son environnement est propice au travail et à la réussite. En effet, j’ai réalisé mon objectif établi en 1 re année de prépa MPSI : intégrer l’ENAC en tantque ICNA (contrôleur aérien).
J’ai décidé de poursuivre vers des années préparatoires à Clemenceau à plus forte raison pour rester proche du cocon familial, très utile selon moi pour tenir le choc. D’ailleurs, ce ‘’choc’’ n’est pas insurmontable ; la réussite étant le produit d’un travail régulier et d’un bon encadrement (professeurs, administration, …).
Théo Delouette intère ENAC contrôleurs en MP en 2020.
« Passer deux voire trois années en prépa n’a rien d’évident et ce n’est pas facile. Mais croyez-moi il n’y a rien de plus satisfaisant que de lire en toutes lettres « admis » à l’école que vous convoiterez. Accrochez-vous jusqu’au
bout et ne perdez pas espoir, rien n’est jamais joué d’avance ! »
Pierre Georges, intègre ICNA en 2019 
« J’ai toujours voulu travailler dans l’aéronautique, c’est pourquoi j’ai fait le choix de la prépa pour pouvoir intégrer l’ENAC, qui était un objectif depuis longtemps. J’ai fait mes années de prépa à Clemenceau et je n’ai pas hésité à faire 5/2 pour avoir l’école que je visais et mon travail n’a pas été vain. Malgré leur difficulté, qui est tout-à-fait supportable avec de la motivation, ces trois ans de prépa ont été très enrichissants et m’ont permis de découvrir de superbes personnes. Les professeurs ne sont pas là pour débiter leur cours mais pour nous aider à atteindre nos objectifs, c’est pourquoi je ne peux que recommander la prépa à Reims. »
Maxime Neveux, intègre Telecom Nancy en 2019
« À la fin de mon cursus scientifique au lycée Roosevelt, je n’avais pas encore d’idée précise quant au métier que je voulais exercer. Aimant les mathématiques, j’ai décidé de me tourner vers la classe préparatoire MPSI dans ce même lycée. À la fin de ma première année, j’ai rejoint le lycée Clémenceau pour y poursuivre dans la voie mathématique.
J’intègre cette année Telecom Nancy, l’école d’informatique dans laquelle je souhaitais entrer depuis la première année. La prépa m’aura finalement laissé de très bons souvenirs, car malgré les difficultés (différence de note par rapport au lycée, charge de travail…), les rencontres et les connaissances acquises en valent largement la peine, et ça n’est finalement pas si terrible ! »
Antoine Cresson, intègre l’ICNA (contrôleur aérien) en 2019
Après mes 3 ans de lycée à Clem j’ai décidé d’y effectuer ma prépa. En prépa, la fréquence et l’intensité du travail à fournir s’amplifient nettement et la rigueur est de rigueur, et ce dans chaque matière ! L’on apprend effectivement à s’organiser de manière plus efficace et à mieux gérer son temps. Mais rien de tout cela n’est irréalisable. Les équipes pédagogique et administrative font en sorte que l’on soit dans des conditions optimales pour réussir, tant sur le travail que sur l’environnement et l’ambiance : l’on voit plus les autres élèves et nos profs que nos propres parents, alors il faut bien !
« Il faut y croire, ça joue beaucoup », surtout que la finalité de la prépa vaut vraiment le coup.
Paul Roeser, intègre l’ENSTA Bretagne en 2019
Ces trois années de prépa auront été longues et cela n’était pas facile tous les jours. Pour autant, l’ambiance générale des étudiants et l’attention de toute l’équipe éducative du lycée Clémenceau m’a permis d’atteindre mon objectif et d’intégrer l’ENSTA Bretagne sur mon année de 5/2.
Je ne regrette en aucun cas ce choix de faire une prépa quand on voit tout ce qui est à notre portée et tout ce qu’on y apprend (que ce soit en termes de connaissances ou de méthodes d’apprentissage). Un travail régulier et une bonne hygiène de vie suffisent sans forcément ne plus voir la lumière du jour. C’est pourquoi je conseille vivement de se lancer, c’est une expérience enrichissante pour votre avenir.
Adrien DELEPLACE, intègre l’ENSIMAG en 2018
Après l’obtention du bac S, j’ai décidé de faire prépa MPSI car j’appréciais les mathématiques, et surtout parce que je savais que l’encadrement en prépa me permettrait de rester concentré sur mes études.
Mon choix s’est porté sur le lycée Clemenceau car je désirais ne pas m’éloigner tout de suite de ma famille. Je ne regrette en rien ce choix, car en dépit de la charge de travail importante, la bonne ambiance en MPSI/MP, ainsi que le suivi de la part des professeurs, m’ont permis de ne pas m’écrouler sous la pression à l’approche des concours. J’ai au final intégré en 3/2 l’ENSIMAG, école que je pensais hors d’atteinte.
La classe prépa n’est pas une période facile mais je la conseille, car en étant motivé, on est récompensé au bout de ces 2/3 années.
Théo Leclere, intègre l’ENAC contrôleur (« ICNA ») en 2018
Je suis rentré en prépa au lycée Clemenceau dans le but de devenir contrôleur aérien, et donc d’intégrer l’ENAC, ce que j’ai réussi cette année en 3/2. Les deux années de prépa sont deux années difficiles, mais ne sont pas insurmontables si vous êtes motivés et que vous travaillez régulièrement. Les professeurs sont toujours à l’écoute, et leur objectif est que l’on réussisse. J’ai passé deux bonnes années au lycée Clemenceau, l’ambiance y est bonne et il n’y pas d’ « esprit concours » négatif. Donc n’hésitez pas !
Ian REGNIAUD, intègre l’ENAC en 2018 :
Mon objectif d’études a toujours été de rentrer à l’École Nationale de l’Aviation Civile (ENAC). Les classes préparatoires aux grandes écoles étant le cursus post-bac le plus adapté pour parvenir à un tel objectif, c’est naturellement que j’ai choisi celui-ci. Et avec raison, puisque après une 5/2, je suis bel et bien parvenu à rentrer dans cette école prestigieuse !
La prépa m’a surtout apporté une méthode de travail efficace et rigoureuse. Une fois acquise, cette méthode nous aide dans beaucoup de domaines, et je le ressens bien dans ma formation d’Ingénieurs Électroniciens des Systèmes de la Sécurité Aérienne (IESSA) !
Mais la prépa ce n’est pas que du travail, il y a aussi une bonne ambiance et c’est encore plus vrais dans nos prépas rémoises. Des élèves ouverts d’esprit et une bonne entente générale, rien de mieux pour avoir envie d’aller en cours le matin !
Thomas
DOQUET, intègre l’EISTI à Cergy en 2018 :
Après avoir passé un an en MPSI au lycée Roosevelt et un an en MP au lycée Clémenceau, je me retrouve actuellement en première année à l’EISTI à Cergy. Ces deux années en classe prépa auront demandé beaucoup de rigueur et de travail. Elles auront été très enrichissante et se sont passées avec une très bonne ambiance de classe et beaucoup de sérieux. Malgré tout ce temps nécessaire, j’ai quand même pu continuer mes activités extra-scolaire comme le sport en compétition avec des entraînements hebdomadaires. Donc n’hésitez pas à aller en prepa !! Cela vous apportera énormément de connaissances qui vous permettront ensuite de travailler dans des domaines variés.
Fabien DECAILLON, intègre ECE Paris en 2018 :
Les années prépa sont de très bonnes années qu’on n’oublie pas. L’ensemble de la classe forme une grande famille dont les professeurs font également parti. La charge de travail est conséquente, et le niveau élevé, mais l’entraide permet de surmonter tout ça et même de garder le moral en toute circonstance. Les profs sont vraiment à l’écoute et font tout pour aider au maximum. Pour tenir le coup, il est important d’avoir une bonne hygiène de vie tout en ayant une organisation raisonnable : il faut savoir se libérer un peu de temps pour faire quelque chose qu’on aime (sport, cinéma, …) car c’est le seul moyen de garder le moral sur 2 années où la césure n’existe pas réellement (les vacances d’été servent à lire les livres du programme). Mais au final, la prépa ce n’est pas aussi horrible qu’on ne le pense, on en garde de très bons souvenirs et des amis à vie.
Florent MORIN, intègre Centrale Marseille en 2017 :
Salut à toi qui veux en savoir plus sur la prépa et les concours !
En ce qui me concerne, j’étais 5/2 l’année dernière et laisse moi te dire que je ne regrette en aucun cas ce choix. Avec des professeurs très présents pour nous encadrer et une classe où règnent l’entraide et la solidarité, la prépa m’a permis de m’émanciper, d’apprendre la vie en collectivité et de nouer des liens solides. En effet, je suis arrivé en prépa avec l’appréhension de quitter mes parents et j’en ressors avec l’impatience de m’installer à Marseille pour rencontrer des élèves ingénieurs de toute la France !
Pour ce qui est des concours, je me suis toujours dit que j’étais loin d’être le meilleur, ce qui m’a valu le surnom de « Calimero » plus d’une fois… J Par la suite, je me suis rendu compte qu’il ne suffisait pas d’exceller en maths ou en physique mais que chaque matière est importante. Ainsi le seul conseil que j’ai à te donner, c’est de travailler régulièrement les cours au fur et à mesure (même ceux de philo !) pour ne pas accumuler le travail en retard, et surtout d’avoir confiance en toi (ce qu’on n’a jamais cessé de me répéter). Devant les sujets de concours, tous les candidats ont les mêmes bases, qu’ils proviennent d’une classe prestigieuse ou non, donc il est important d’avoir confiance en toi et en ton raisonnement. Il te revient donc de montrer qu’en prépa à Reims on peut aussi être concurrentiel et créer la surprise !
Bonne chance, et j’espère te voir à Prépaplus !
Marion BRATEAU, intègre l’ENSTA Bretagne (en civil) en 2017 :
Lorsque j’ai décidé de faire une classe prépa après le bac, je n’ai pas hésité une seconde : ce serait à Reims. En effet je voulais rester chez moi, pour des raisons logistiques et sentimentales. Je n’ai jamais regretté mon choix : l’enseignement est de très bonne qualité, tous les profs sont à l’écoute et investis et il y a une bonne ambiance. La prépa c’est une expérience enrichissante à de nombreux points de vue, c’est également très formateur et personnellement j’en suis ressortie grandie. Maintenant j’ai intégré l’ENSTA Bretagne en civil (l’école que je voulais), en 3/2, et je garde un excellent souvenir de mes années passées en MPSI(2)/MP(2) !
Alexia THOMAS et Florian ROUGET, intègrent l’IMT Lille-Douai (fonctionnaire) en 2017 :
Alexia : « Après l’obtention du bac S, j’ai décidé d’intégrer une prépa MPSI/MP à Reims.
Le rythme de travail est très différent de celui du lycée mais l’ambiance conviviale qui règne au lycée Clemenceau permet de surpasser ces difficultés et d’acquérir de bonnes méthodes de travail tout en liant de belles amitiés.
Mes résultats en 3/2 ne me convenaient pas, j’ai donc décidé de faire une 5/2. Je ne regrette pas du tout mon choix car cela m’a permis d’intégrer l’école des Mines de Douai (maintenant IMT Lille Douai) en tant que fonctionnaire. J’ajouterai même, pour les futurs taupins, qu’il ne faut pas hésiter à faire une deuxième année de spé si les résultats ne sont pas satisfaisants car elle permet d’avoir plus confiance en soi, de travailler davantage les matières comme le français et les langues qui font la différence au concours et aussi d’être plus à l’aise pendant les oraux.
Pour résumer, ces trois années de prépa furent une expérience enrichissante qui m’ont laissé d’excellents souvenirs. »
Florian : « Au bout de mes trois ans de prépa dont deux ans de spé en MP au lycée Clemenceau, j’intègre l’école des Mines de Douai fonctionnaire qui a l’avantage d’offrir une rémunération pendant les études et des perspectives de carrière sécurisées.
J’étais admis en MPSI au lycée Roosevelt sans savoir ce que je voulais faire plus tard, mais j’étais très intéressé par les sciences, en particulier par les maths, ce qui m’a vite motivé à travailler. Ces années de prépa ont été pour moi loin des clichés mais au contraire très agréables avec des groupes d’amis bien soudés. N’ayant pas réussi à me décider sur une école mais ayant de l’ambition, j’ai décidé de faire 5/2, ce qui m’a permis de rester une année supplémentaire en prépa et d’y apprécier son ambiance tout en redoublant d’efforts, dans un cadre de travail idéal, ce qui fut pour moi la meilleure année ! Ce que je recommande aux futurs taupins c’est de rester motivé, de ne pas perdre de vu son objectif et d’avoir un minimum de confiance en soi. »
Thibaut GERARD intègre l’ENAC Civil de Toulouse en 2017
Pour ma part, mes deux années de classe préparatoire au lycée Georges-Clemenceau m’ont permis d’acquérir des méthodes de travail et d’être efficace dans les tâches que j’effectue.
Lorsque je suis arrivé en première année, j’ai trouvé que la charge de travail était énorme mais au fur et à mesure des mois je m’y suis habitué et j’avais envie d’apprendre et de découvrir plus de choses.
Contrairement à la plupart des idées reçues, les professeurs sont là pour nous soutenir et nous mettre dans les meilleures conditions pour réussir ces deux années. De plus l’entraide entre les élèves favorise une bonne ambiance de travail. Parfois j’avais l’impression que le temps était partagé entre travailler, manger et dormir mais j’arrivais à trouver du temps libre pour relâcher la pression de la semaine.
Même si ces deux années peuvent paraitre très éprouvantes, la récompense au bout est énorme.
Théophane BENQUET intègre l’ENSTA Bretagne Militaire en 2017
Après un bac S, je décide d’entrer en classe préparatoire au lycée Clemenceau en filière MP. Cet établissement a le mérite de mener tous ses élèves au bout et de leur faire donner le meilleur d’eux-mêmes. Ainsi, grâce à des professeurs dynamiques, disponibles et patients j’intègre à la rentrée 2017 l’ENSTA Bretagne Militaire, deuxième voie d’ingénieurs militaires après Polytechnique. Pour y arriver, deux années de labeur, où les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. En fin de première année, je passe en MP non étoilée, classe où je comble mes faiblesses de première année pour enchaîner avec le programme de spé. La deuxième année est pour moi un moment de travail plus personnel avec l’approche des concours. Les derniers mois de MP sont déterminants et sont le temps de la récolte du travail sérieux des deux dernières années, moment très gratifiant.
Si je peux vous donner quelques conseils : ne RIEN lâcher : la marge de progression en deuxième année est énorme et vous vous surprendrez en fin de spé à résoudre des problèmes pourtant insurmontables quelques mois plus tôt ! Ensuite, n’hésitez pas à poser des questions à vos profs, ils seront disponibles ! Enfin je conseille de faire du sport régulièrement, vous serez ainsi bien plus performants !
Julien CAPY, Robin PILARD, Simon ROSAIN-GUEU, Tibère SIMONNET et Samy WAHHAM intègrent les Mines de Douai en 2016
Julien : « Après 3 ans de classe préparatoire à Clemenceau en MP, je suis parvenu à intégrer les Mines de Douai. Dès la fin de la MPSI mon choix s’était orienté vers une école du groupe des Mines pour le parcours généraliste qu’elles proposent. Avoir un tel désir m’a permis d’avoir une réelle motivation pour travailler sérieusement et ainsi atteindre mon objectif, tout en profitant de l’ambiance conviviale de Clemenceau »
Samy : « La prépa a été une très bonne expérience pour moi. Pour tout élève motivé par l’envie d’apprendre et de se surpasser, elle offre un cadre parfait. Il y a des moments difficiles mais soutenu par l’expérience des professeurs et en gardant comme objectif les concours, on surmonte les épreuves une par une. Le plus important est de ne rien se refuser, il n’y a pas de complexe à avoir. L’excellence vient avec l’ambition. »
Robin : « « Après un an de sup, j’ai été accepté en MP non étoilée. Je me suis donc dit que tout était à faire, et qu’il faudrait travailler dur pour parvenir à avoir une école qui me plairait. J’ai donc beaucoup travaillé, sans relâche durant tout l’année de spé. J’ai choisi de passer les concours sans beaucoup de stress, en me disant que dans le pire des cas je ferais 5/2. Les écrits se sont bien passés, et mes admissibilités aux Mines et à TPE ont été confortées grâce au français (matière à ne pas négliger). Mes oraux se sont bien passés ce qui m’a permis d’obtenir une place aux mines de Douai. La vie en école est agréable, mais profitez tout de même de la superbe ambiance en spé ! 🙂 »
Simon : « Après mon bac S, j’ai choisi de continuer les études dans un domaine qui me plaisait : les maths, c’est pourquoi j’ai choisi de m’orienter vers une prépa MP à Clemenceau. J’y ai appris beaucoup de choses aussi bien au niveau scolaire qu’humain, le contact avec les professeurs est totalement différent de celui qu’on avait au lycée ; il faut également s’aérer l’esprit car on est beaucoup plus productif lorsqu’on se change les idées et qu’on ne passe pas des heures dans les cahiers sans s’arrêter. N’ayant pas eu les écoles que je visais en 3/2, la 5/2 a été une expérience enrichissante qui m’a fait grandir et permis d’intégrer finalement l’école que je souhaitais, l’école des Mines de Douai. Contrairement à ce que certains pensent, la prépa n’est pas si terrible, j’en garde un excellent souvenir, et je vous encourage à venir en MP, ça en vaut vraiment la peine! »
Tibère : « Suite à l’obtention du Bac S dans un lycée rémois et n’ayant aucune idée de mon futur métier, j’ai choisi l’option qui, selon moi, me laissait le plus de »portes » possibles tout en restant à Reims. J’ai donc intégré la MPSI/MP du lycée Clemenceau. Ces années passées en prépa à Clemenceau m’ont vraiment plu car elles m’ont permis de travailler dans de bonnes conditions tout en gardant une vie sociale très active (contrairement aux prépas parisiennes), l’ambiance est extraordinaire, de plus il n’y a pas d’esprit de compétition entre élèves ce qui permet d’avoir une promo soudée et qui se connaît très bien (aussi par les événements extrascolaires durant l’année) ! Les professeurs sont attentionnés envers leurs élèves, conseillent exactement sur les choix d’orientations et les méthodes de travail. Ainsi, je recommande très fortement la CPGE de Clemenceau si vous avez la volonté, l’envie d’intégrer une école reconnue tout en gardant une »vie normale » en dehors du travail nécessaire (qui n’est pas insurmontable). »
Victoire MALINOVSKY intègre l’ENSEA en 2016
Après mon bac S, j’ai choisi de poursuivre mes études à Reims, car cela me permettait de rester chez mes parents. J’ai donc opté pour une classe prépa MPSI à Clemenceau pour continuer à faire des maths, tout en repoussant mon orientation de 2 ans.
L’ambiance était bonne (à mon agréable surprise), tout le monde intégré et cela a permis à une atmosphère d’entraide de régner. Les profs sont à notre écoute puisqu’ils n’ont qu’une seule classe et n’hésitent pas à s’investir vraiment pour nous aider et nous conseiller (surtout en spé). C’est ce qui permet de venir à bout de la charge de travail (assez conséquente) qui nous est donnée.
Certes la prépa reste une classe exigeante : elle demande un certain investissement mais cela m’a poussé à me dépasser. J’ai plus ou moins réussi à garder quelques heures pour faire du sport dans ma semaine, car il faut aussi savoir se relaxer.
Ces 3 ans passés à Clem ont été émotionnellement intenses mais je m’y suis fait de vrais amis et je n’ai aucun regret sur ma 5/2, car elle m’a permis d’intégrer une école qui était bien au dessus de mes espérances initiales.
Pour résumer, je conseillerai la CPGE de Clemenceau à des personnes réellement motivées et n’ayant pas peur de s’investir, même si elles ne sont pas excellentes en sciences, car on est vraiment là pour progresser.
Tanguy DEJEAU intègre Centrale Lille en 2016
« Je n’ai pas passé un ou deux, mais bien TROIS ans au lycée Clemenceau pour faire ma prépa dans la filière MPSI/MP ! Je suis arrivé en MPSI à Reims en ne connaissant rien au métier d’ingénieur et ne sachant pas ce que je voulais faire plus tard… Mais ce que je sais aujourd’hui, après avoir intégré Centrale, c’est que je suis certain de ne pas m’être trompé de voie !
Pour revenir sur mes années prépas, on peut se dire qu’il faut être téméraire pour déjà avoir fait prépa, et, en plus, en demander encore en faisant « 5/2 » ! Pas forcément, il faut surtout être MOTIVE et savoir ce qu’on veut. Même si la 3/2 et la 5/2 sont sur le fond la même année, c’est bien plus qu’un redoublement : ces deux années ont été totalement différentes pour moi ! On ne voit pas l’arrivée des concours de la même manière, la gestion du travail est différente… La première année, quant à elle, est bien plus longue, mais bien moins stressante !
La meilleure année pour moi fut la 5/2. D’une part parce que j’ai changé ma façon de travailler (plus efficace ?) et que je pouvais en voir le résultat positif à chaque contrôle, d’autre part parce que l’ambiance de ma classe était très agréable et très motivante pour se donner à fond : des 5/2 et des 3/2 qui travaillent (et rigolent !!) ensemble pour se tirer vers le haut !
Si j’avais un conseil à donner aux futurs taupins : il faut croire en ses capacités !
Je ne serais pas là où je suis si l’on ne m’avait pas rabâché pendant mes deux ans de spé que l’on pouvait avoir de l’ambition même en « MP sans étoile » ! »
Robin PERARDOT intègre l’ENAC Toulouse Civil en 2016
« Suite aux conseils de mes professeurs en terminale et au vu de mon objectif de devenir ingénieur, j’ai décidé d’intégrer la classe prépa de MPSI/MP à Clemenceau. Il y eut un changement radical au niveau de la charge de travail comparativement aux années lycée, mais toutefois pas insurmontable pour une personne motivée, avec en plus l’entraide des autres élèves et le soutien des profs qui sont prêts à répondre à tes questions dès qu’il le faut, qui permet de surmonter ceci.
Ces trois années m’ont donc appris de meilleures méthodes de travail, mais elles m’ont aussi fait découvrir un vrai esprit de groupe avec mes camarades de classe. On pourrait penser que faire ce genre de cursus contraint à négliger sa vie sociale et sportive, mais ce n’est pas ainsi que je l’ai ressenti, puisque nous choisissions toujours des moments pour sortir un peu ou faire du sport, ce qui reste essentiel pour ne pas lâcher prise.
Finalement, j’ai intégré cette année la filière ingénieur Enac Civil à Toulouse qui répond à mes objectifs, et si je dois résumer mes années de prépa, j’évoquerais du travail, mais surtout des moments inoubliables avec les autres élèves, pour finalement intégrer une école que l’on ose à peine espérer en terminale. »
Rémi CALIXTE intègre Centrale Paris en 2016
Après avoir obtenu mon bac S, j’ai décidé d’aller en prépa car, comme beaucoup, je n’avais pas une idée très précise de ce que je voulais faire. J’avais tenté d’obtenir des prépas parisiennes, mais j’ai finalement intégré la MPSI, puis la MP* de Clemenceau.
J’ai beaucoup apprécié ces deux années qui m’ont permis d’acquérir de solides connaissances dans des domaines variés, scientifiques ou non, et cela grâce à des professeurs proches de nous et motivants. Je me suis également fait des amis avec lesquels j’ai pu décompresser. Après une période de concours intense, j’ai finalement intégré Centrale Paris, l’une des meilleures écoles que je pouvais espérer à l’issue de ces deux ans de préparation, que je n’ai absolument pas vécus comme une privation, mais plutôt comme une formation riche et stimulante.
Nicolas de LESTABLE intègre Supélec en 2016
Ne sachant pas comment m’orienter en sortant du lycée, j’ai décidé de faire une classe préparatoire MPSI. J’avais postulé pour des prépas parisiennes, mais j’ai été accepté à Clemenceau, ce qui fut plus que bénéfique pour moi puisqu’après des résultats moyens en 3/2, j’ai intégré Supélec en 5/2. De plus, j’ai pu ainsi rester proche de ma famille et de mes amis, tout en ayant la meilleure préparation pour les concours. L’ambiance et le suivi personnel sont en effet incroyables à Clemenceau. Nos professeurs sont très attentionnés, et j’ai rencontré des amis extraordinaires. Ces trois dernières années furent une expérience très enrichissante que je recommande.
Noémie JESUS intègre Centrale Paris en 2015
Mes résultats en terminale me permettaient d’intégrer une classe préparatoire parisienne. Cependant, j’ai choisi de rester à Reims pour un meilleur encadrement et un meilleur soutien psychologique :
je suis aujourd’hui très heureuse de mon choix ! En effet, l’enseignement de qualité, l’investissement et l’accompagnement des professeurs tout au long de ces deux années m’ont permis de donner le meilleur de moi-même. Grâce à un travail très régulier et assidu dans toutes les matières, y compris en langues et en français, j’ai été admise en 3/2 à Centrale Paris, l’école dont je rêvais depuis plusieurs années… Il me semble très important de maintenir une bonne hygiène de vie, de ne pas négliger le sommeil et de pratiquer des activités physiques régulièrement. N’hésitez pas à être ambitieux tout en faisant votre classe préparatoire à Reims !
Thomas WALTER intègre Centrale Paris en 2015
Les deux années que j’ai passées en MPSI/MP* à Clemenceau ont été les plus enrichissantes de ma vie, à la fois sur le plan intellectuel, car j’ai énormément appris dans des domaines qui me passionnent, mais aussi sur le plan social car je me suis beaucoup investi dans la vie de la promotion, et je recommande vivement de faire de même. En terminale, j’avais hésité à aller dans un grand lycée parisien, et j’ai finalement choisi Reims car c’était bien plus pratique. J’ai toujours été très confiant dans ce choix : en effet l’accompagnement à Clemenceau m’a permis de décrocher l’école que je désirais tout en passant deux superbes années dans un cadre idéal, ce qui n’est pas toujours le cas dans certains lycées parisiens.
Romain JOFFRIN, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre Telecom SudParis en 2015
Je viens de rentrer en première année d’école d’ingénieur à Télécom SudParis après deux années de prépa MPSI/MP au lycée Clemenceau à Reims.
Je garde un bon souvenir de ces deux années qui m’ont permis d’abord d’améliorer mes méthodes de travail et mon efficacité et, surtout, de pouvoir travailler avec des professeurs qui souhaitent avant tout notre réussite. Et dans un second temps, ces années m’ont aussi permis de rentrer dans une grande école réputée et donc de franchir le dernier cap de mes études avant le monde du travail.
Cependant, ce ne sont pas deux années toujours faciles et je ne les conseillerai pas à n’importe qui, mais une personne motivée et qui est intéressée par cette voie après le bac ne doit surtout pas hésiter.
Guillaume LOURETTE intègre l’Ecole Polytechnique en 2015
Après mon bac S, j’ai choisi d’intégrer la prépa MPSI à Clemenceau pour pouvoir rester près de chez moi. J’y ai trouvé des camarades super cools et très sympas, dans le même état d’esprit que moi, et
la MPSI2 avec son ambiance de folie a été une de mes meilleures années d’études. Ensuite, je suis passé en MP* où, après un échec aux oraux en 3/2, j’ai décidé de faire une année de 5/2, d’autant que j’avais besoin de prendre de la maturité. J’ai trouvé durant ces deux années une ambiance de classe géniale, où l’on savait faire la part des choses entre le travail et le loisir, et où j’ai pu m’éclater tout en me perfectionnant pour finalement intégrer l’X (l’Ecole Polytechnique). Pour conclure, j’ai beaucoup aimé mon passage en prépa à Clem’ où j’ai trouvé des amis. Et un petit conseil, n’hésitez pas à faire 5/2 pour profiter de la prépa une année de plus!
Myriam BEGEL, étudiante en MP* au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole Normale Supérieure de Cachan en 2014.
Je suis allée en prépa à Reims pour rester encore 2 ans près de mes parents et vraiment faire des maths. J’ai été agréablement surprise de trouver comme une seconde famille en MPSI avec une très bonne ambiance et entraide, notamment grâce à l’internat. Je n’ai pas été déçue au niveau de l’enseignement, où j’ai eu l’impression de re-découvrir les maths et la physique. On acquiert aussi une méthode de travail rigoureuse et efficace. Les profs sont très attentifs, nous donnent envie et nous boostent pour réussir nos concours. Tous les élèves y trouvent leur compte, quelle que soit leur ambition. Je rêvais d’intégrer une E.N.S. et c’est maintenant chose faite à Cachan, en 3/2 !
Je suis la seule fille de ma promo en informatique et nous n’étions pas très nombreuses en prépa, mais j’ai suivi mes envies sans jamais me demander si c’était « une voie pour les filles », mais plutôt si c’était une voie pour moi.
Avec un peu d’organisation j’ai pu continuer à faire du sport et ça m’a beaucoup aidée pour tenir dans les moments difficiles. Car oui, ce n’est pas facile tous les jours avec beaucoup de travail et le stress des concours. Mais j’ai rencontré des amis formidables, et à plusieurs, c’est bien plus facile. Le jeu en vaut largement la chandelle et je ne regrette pas ces 2 ans passés à Clem’.
Raphaël JACQUINOT, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole des Mines de Nantes en 2014.
J’ai choisi pour ma prépa de rester sur Reims pour des raisons logistiques. Et je ne regrette pas mon choix !
En effet que ce soit l’ambiance où les cours dispensés tout est fait pour les étudiants et donc tout le monde peut y trouver sa place. Certes il y a beaucoup de travail mais tout le monde s’entraide et les profs sont vraiment là uniquement pour nous. La prépa demande énormément d’investissement mais il ne faut pas abandonner complètement les activités sportives ou musicales ou autres, elles permettent vraiment de se reposer l’esprit (et le corps) et de penser à autres chose. Je fais du piano et c’est ce qui m’a permis de tenir !
Pour moi la prépa m’a été réellement bénéfique j’y ai trouvé énormément de choses, que ce soit des connaissances ou des personnes je suis très content de mes deux années !
Maintenant que j’ai intégré je me dis que c’est la prépa est un pari à tenter, on n’en ressort que gagnant !
Guillaume VIZIER, étudiant en MP* au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole Polytechnique en 2014.
Après ma terminale S, je ne savais pas trop ce que je voulais faire, et je me suis dit : « Les maths, c’est cool, pourquoi pas prépa maths ? ».
Je suis donc allé à Clemenceau, en y cherchant une ambiance plus détendue que dans les prépas parisiennes. Et je me suis amusé comme un fou, à tel point que j’ai refusé une très bonne école pour faire 5/2, choix qui s’est avéré payant, car j’ai intégré l’Ecole Polytechnique (l’X pour les intimes) cette année.
La prépa de Clem’, ce sont des profs toujours à l’écoute, qui nous donnent même par mail des conseils et indications diverses bien après la fin des cours pour nous aider à finir un DM ; mais aussi une famille d’adoption soudée, surtout à l’internat, où l’on peut se serrer les coudes et partager fous rires, méthodes de travail, et idées (car un DM de physique, seul c’est dur, mais à plusieurs, c’est easy too much !).
Je la conseille donc à toutes celles et tous ceux qui aiment les maths et la physique, car quel que soit votre niveau, vous ne pouvez que vous améliorer et obtenir une école qui vous plaira.
Thibaut BUHET, étudiant en MP* au lycée Clemenceau, intègre Supélec en 2014.
Ayant toujours préféré les sciences, je me suis naturellement dirigé vers une classe préparatoire MPSI après le lycée. Je reconnais que j’étais un peu inquiet lors de ma rentrée suite à certaines rumeurs qui circulent sur la prépa : travail acharné, mauvaise ambiance, compétition permanente… Aussi j’ai été très agréablement surpris lorsque j’ai découvert une classe soudée où chacun s’entraide (pour assumer la charge de travail qui reste conséquente) et des professeurs disponibles et à l’écoute des élèves. J’ai trouvé au sein de la prépa, MPSI puis MP*, de nouvelles méthodes de travail, des moyens d’approfondir mes connaissances, de nouvelles manières de raison-ner… En bref une formation d’excellente qualité permettant de développer nos capacités et d’accéder, après les concours, à une des nombreuses écoles d’ingénieur dans le domaine souhaité. Il ne faut d’ailleurs pas hésiter à faire une année de Spé supplémentaire si nos premiers résultats ne nous conviennent pas. J’ai personnellement fait 5/2, ce qui m’a été très profitable en me permettant de combler certaines lacunes et d’intégrer Supélec cette année. La prépa constitue une expérience intense, très formatrice et inoubliable, il ne faut pas hésiter à s’y engager !
Thibaut NORMAND, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre l’ENAC Toulouse (ingénieur) en 2014.
J’ai fait 5/2 après avoir (un peu) raté mes concours en 3/2 et je ne le regrette absolument pas : j’ai passé 3 années formidables à Clemenceau et je m’y suis amusé du début à la fin. J’ai rencontré des gens géniaux, des profs qui aiment leur métier et qui sont toujours attentifs à leur élèves. Quand je compare avec des étudiants de l’ENAC qui disent avoir passé leurs années de prépa sans s’amuser, je me dis que je suis bien chanceux d’être passé par Clem.
Renaud VILMART, ancien élève de spéciales mp*, intègre l’Ecole des Mines de Nancy en 2013.
J’avais quelques appréhensions en débutant mon année de Sup au lycée Clemenceau, car mon frère, qui avait aussi suivi une CPGE, mais dans un établissement parisien réputé, m’avait décrit une ambiance pas toujours plaisante… En fait, je me trompais lourdement. Bien sûr, il s’agit d’un cursus exigeant, qui demande de l’investissement (il m’a fallu revoir sérieusement mes méthodes de travail après la terminale), mais on peut compter sur un corps enseignant investi et très à l’écoute, ainsi que sur un esprit d’entraide important entre les élèves. Ainsi, le choix du lycée Clemenceau m’apparaît doublement fondé : évidemment, il y a l’école d’ingénieur que j’ai intégrée, les Mines de Nancy, mais mes années de CPGE elles-mêmes ont été une expérience riche et intense. Et si c’était à refaire, je le referai sans hésiter !
Stéphane LUNDY, ancien élève de Spéciales mp*, intègre Supélec en 2013.
Après mon bac S, comme j’étais bon en sciences, j’ai décidé de m’orienter vers une classe préparatoire scientifique. Après une première année conviviale en MPSI (et avec de très bons souvenirs de l’internat), je suis passé en spé MP*. A la fin cette seconde année, n’étant pas vraiment satisfait de mes résultats aux concours, j’ai retenté ma chance. La 5/2 me fût grandement bénéfique et me permit d’intégrer Supélec.
Comment résumer ces 3 années ? Outre le fait d’avoir reçu un ensei-gnement de qualité permettant d’intégrer de très Grandes Écoles d’ingénieur, j’ai profité de la bonne ambiance qui règne dans les prépas rémoises. Ce cursus possède de nombreux avantages : l’acquisition d’une grande puissance de travail et de bonnes méthodes, un soutien efficace à disposition, un vaste choix d’écoles intégrables, etc.
Il est vrai qu’une fois en prépa, il faut beaucoup de motivation et fournir une grande quantité de travail. Mais il faut aussi s’éloigner de ce cliché. Ma MPSI m’a ainsi laissé le temps de réaliser quelques petits films. Pendant la prépa, on peut très bien conserver ses passions : j’ai pratiqué hebdomadairement le volley-ball. Et au final, la prépa, c’est sympa !
Maxime JURADO et Thomas PONCELET, étudiants en MP au lycée Clemenceau, intègrent l’ENSAI Rennes en 2013.
Pour nous fini la prépa ! Eh oui, toutes les bonnes choses ont une fin … Parce que oui la prépa c’était sympa, la preuve on y est resté trois ans. Nous venons respectivement de terminale S (option SVT, Maxime) et de terminale S (option SI, Thomas), pour ensuite intégrer la MPSI du lycée Clémenceau. Une année complètement différente de ce que l’on pouvait connaître, mais pas impossible (contrairement aux idées reçues). On peut y arriver grâce à l’internat et sa bonne ambiance d’entraide, de solidarité et aussi parfois de détente, mais aussi grâce à l’équipe pédagogique, toujours prête à s’investir et pleine de bons conseils.
Ensuite ce fut la MP, toujours au lycée Clémenceau, avec une classe et des professeurs exceptionnels qui nous ont amenés jusqu’aux concours, point de mire de la prépa. Suite à des oraux mal négociés nous sommes retournés en MP. Bien que réticents au départ, cette année fut tout aussi magique que la précédente, et s’est conclue logiquement par une réussite totale aux concours souhaités.
C’est ainsi que nous avons intégré l’ENSAI à Rennes (spécialisée dans les Statistiques, l’Informatique et l’Economie) en ingénieur pour Maxime et fonctionnaire pour Thomas, école de nos rêves depuis l’arrivée en prépa.
Pour conclure, la prépa c’est du boulot mais aussi une bonne ambiance, surtout à Reims, qui permet à la fois de ne pas trop s’éloigner et d’atteindre ses objectifs aussi bien (voire mieux) qu’ailleurs.
Louis FILLIOT, étudiant en MP* au lycée Clemenceau, intègre Supélec en 2012.
Très bon élève en Mathématiques au lycée, je me suis dirigé après le bac vers une classe de MPSI au lycée Clémenceau. Cette première année s’est très bien passée : une bonne ambiance dans la classe, de bons professeurs … Grace à un travail régulier (sérieux et attentif sans travailler tout le temps ni jusque tard le soir !), mes résultats se sont améliorés jusqu’à être premier de ma classe. Je suis donc passé en classe de MP* avec comme objectif d’intégrer l’une des meilleures écoles généralistes parisiennes, par ordre de préférence : Centrale Paris, Mines Paris, Ponts, Supélec, Telecom Paris, ENSTA.
Cette seconde année a été plus difficile et stressante pour moi, surtout à l’approche des concours ! Je suis finalement devenu meilleur en physique qu’en maths alors qu’au lycée je préférais de loin les maths. J’ai fait de très bons écrits et j’ai été admissible à toutes les écoles que je visais avec une bonne avance. Cependant je me suis réjoui un peu vite car les oraux ont été plus difficiles, j’ai raté Centrale Paris de peu (petite déception après ma confortable avance aux écrits !), mais j’étais admis à Supélec qui est tout autant une excellente école, et je suis soulagé de ne pas faire 5/2 !
Marie MANGIN, étudiante en MP au lycée Clemenceau, intègre l’ENSAI Rennes en 2012.
Après avoir obtenu mon bac S, et étant fortement intéressée par les mathématiques, je me suis naturellement orientée vers une classe prépa MPSI, puis MP. J’ai choisi d’effectuer mes années de prépa au lycée Clemenceau de Reims et non dans une prépa parisienne, pour rester à proximité de ma famille et de mes amis d’une part, puis pour travailler dans un environnement avec peu d’esprit de compétition. La prépa exige une lourde charge de travail (DS, DM, khôlles hebdomadaires, exercices, TIPE, etc..), le rythme est soutenu, mais on y apprend à être rigoureux, à organiser son travail, à gérer le stress et la pression.
Pour ma part, ce n’était pas gagné d’avance : des problèmes de santé en première année m’ont fait rater un mois de cours, et la reprise à été difficile, mais j’ai décidé de continuer et de m’accrocher. Et aujourd’hui, après une 3/2 puis une 5/2 qui m’a été très bénéfique, j’ai intégré l’école que je voulais depuis le départ : l’ENSAI à Rennes (spécialisée dans les Statistiques, l’Informatique et l’Economie).
Je ne regrette en aucun cas d’avoir fait prépa, car cela m’a conduit à ce que je désirais. Parmi toutes les écoles d’ingénieur qui existent (plus d’une centaine), vous en trouverez forcément une qui vous plaira. N’hésitez plus à faire prépa, d’autres y sont arrivés avant vous, vous en êtes tout à fait capables !
Maxence ORY, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre l’ENSIIE (Strasbourg) en 2012
Pourquoi faire une prépa? Bien évidemment, cela te permettra d’intégrer une école d’ingénieur, et donc d’avoir la garantie de trouver un emploi rapidement après avoir été diplômé! De plus lors de ces années tu vas bénéficier d’un enseignement de qualité. Cela veut aussi dire qu’il y aura du travail à fournir pendant, mais surtout après les cours… Bien qu’il y ait un grand changement par rapport à la terminale, la transition ne se fait pas d’un coup, donc il n’y a pas à avoir peur de cela! Surtout qu’un esprit de classe se mettra rapidement en place pour aider, faire les devoirs maisons en groupe etc. Cela est d’autant plus vrai à Reims car la concurrence entre les élèves est inexistante, bien que certains visent les mêmes écoles. Reims, c’est aussi avoir la chance d’avoir des profs qui sont là pour répondre à tes questions et être à ton écoute, que ce soit à propos de questions de cours ou d’orientation.
Choisir une prépa Rémoise est donc a mon avis un très bon choix pour ces raisons, car bien qu’il y aura des hauts et des bas, la motivation sera toujours là pour te porter vers le haut! Au final, je suis sûr que tu verras que ce n’était pas si horrible que ça et que tu as fait le bon choix.
Margaux SCHMELTZ, étudiante en MP* au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole des Techniques Avancées (ENSTA) en 2012
Choisir de suivre les classes préparatoires aux Grandes Écoles à Reims, c’est prendre une décision double. C’est tout d’abord le choix de faire une prépa, c’est-à-dire de s’engager pour deux ou trois ans dans une formation riche et complète, qui demandera de l’assiduité et du travail bien sûr, mais qui avant tout permet un considérable développement personnel. Une telle formation nous pousse à découvrir l’ampleur de nos propres capacités et à explorer des chemins de connaissances inédits, et de ce fait nous place en perpétuelle ascension intellectuelle.
C’est ensuite le choix de Reims, et pour ma part, du lycée Clemenceau.
En d’autres termes, le choix d’un enseignement rigoureux et de grande qualité, ouvrant la porte aux meilleures écoles, auprès de professeurs assez fous pour être à la fois passionnés et passionnants. Un esprit familial et soudé s’installe très rapidement, sans jamais s’encombrer de la pression et de la concurrence superflues rencontrées dans de nombreuses prépas du 75 !
Ma prépa rémoise a été une expérience unique que je suis heureuse d’avoir réalisée, et qui m’a permis d’intégrer une école fantastique sur tous les plans : rejoins donc les rangs des taupins de Clem sans plus hésiter !
Evann GUILLOT, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre l’ENAC Pilote (Toulouse) en 2010
Chacun vit la prépa à sa façon. Certains traversent cette étape sans encombre, alors que d’autres rencontrent plus de difficultés, mais au final, rares sont ceux qui regrettent d’avoir fait une CPGE ! Parce qu’on y vit de vrais bons moments, et parce que le jeu en vaut la chandelle, pour peu que la motivation soit là ! Pour ma part, j’ai vécu quelques passages difficiles pendant ces trois années de prépa, mais ma détermination a fini par payer, et je suis aujourd’hui heureux d’avoir redoublé pour réussir.
Taym MOUSTAPHA, étudiant en MP* au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole Polytechnique en 2007.
En entrant en prépa, je n’avais qu’un seul but : intégrer l’Ecole polytechnique. Je l’avoue, je n’avais d’abord pas choisi d’aller à Reims, mais après avoir passé une année dans une très bonne ambiance et avec des professeurs toujours à l’écoute et prêts à dialoguer avec vous, je n’ai pas pu quitter Clem’. Après une deuxième année dans une aussi bonne ambiance et avec d’aussi bons professeurs est arrivée l’épreuve fatidique des concours. N’étant qu’admissible à l’Ecole Polytechnique (les oraux se jouent à rien…) et bien que reçu à Supélec, je décidai de faire une deuxième année de spé. Là, on ressent un plus gros stress avec une obligation de résultats de notre part. Heureusement, j’ai été admis aux E.N.S. et à l’Ecole polytechnique, et j’ai donc pu intégrer l’école de mes rêves.
Actuellement je suis très content de mon choix et je ne regrette absolument pas de ne pas avoir été dans une grande prépa parisienne car tout en ayant passé 3 années sans avoir eu à faire de grosses concessions, j’ai eu d’aussi bons résultats qu’en ayant sacrifié plusieurs années de ma vie en prépa parisienne.
Maxime MIGEON, étudiant en MP* au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole Centrale Paris en 2007.
Après deux années passées à Clemenceau, force est de constater que la prépa est bien loin du « bagne » que tant de personnes décrivent. Bien sûr, il faut travailler régulièrement, enchaîner les colles, les DM et les DS, et persévérer jusqu’à la fin des oraux. Mais les professeurs sont toujours prêts à nous soutenir, et il reste (un peu) de temps libre si on sait s’organiser.
Je retiendrai surtout de ma prépa l’excellente ambiance, en sup comme en spé, l’absence de l’esprit concours qu’on peut trouver dans certaines prépas parisiennes, et le calme et la sérénité qui règnent, même pendant la période des concours. Je sais, il faut y être pour le croire…
Si, vous aussi, vous décidez d’emprunter cette voie royale d’accès aux écoles d’ingénieur (ne serait-ce que pour vérifier mes propos !), vous comprendrez pourquoi on s’attache vite au reste de la promo, toujours soudée grâce à l’entraide et la bonne humeur. Inutile de préciser que vous enrichirez votre bagage scientifique et vos capacités linguistiques comme vous ne l’aviez jamais fait. Et que cela vous donnera toutes les chances d’intégrer l’école d’ingénieur de vos rêves. Au final, bien peu de risques et surtout d’excellentes perspectives. Voilà, vous savez où vous inscrire !
Jonathan ROUFFET, étudiant en MP au lycée Clemenceau, intègre l’Ecole Centrale Nantes en 2007.
Etant donné le rapport quantité de travail/résultats au bac – en particulier dans les matières scientifiques – une classe préparatoire semblait être la suite logique de mes études. Ce ne fut pas de tout repos : la quantité de travail n’est pas négligeable du tout, surtout si l’on choisit de faire une troisième année. En effet, mes résultats ayant été corrects en 3/2, je me suis dit qu’une année de 5/2 pourrait m’apporter mieux. Ce fut le cas, quoique cette dernière année fut plus tendue que les autres, mais la bonne ambiance qui régnait était souvent l’occasion de relâcher quelque peu la pression. Quoi qu’il en soit, faire une classe préparatoire m’a appris que l’on peut avoir ce que l’on veut … si l’on s’en donne les moyens
Thomas GAILLARD et Romain TURO, étudiants en MP au lycée Clemenceau, intègrent respectivement l’ENSICA et l’ESTP en 2007
Tu penses que la prépa c’est trop dur, tout le monde te dit qu’on y travaille beaucoup et qu’on ne sort pas de chez soi, eh ben c’est vrai ! Sauf que tout est mis en œuvre pour te faire progresser dans le meilleur environnement possible, avec des profs à la hauteur qui te permettront d’arriver au but que tu t’étais fixé. Tu y trouveras tout ce que tu cherches : des copains, des copines et des profs géniaux. On s’y amuse quand même franchement bien avec tout ce petit monde !
Alors si tu as un objectif (ou pas), fais comme nous, viens en prépa à Clem’ pour passer les meilleurs et les plus « intenses » moments de ta vie, avec tous ceux qu’on ne saura jamais assez remercier : Thierry, Florence, Eric, René et Gérard, Anne-Julie…, Jocelyne, Stella et Yves ! Bon courage à toi !