Témoignages BCPST-Véto
Romane CHARBEAUX intègre AgroParisTech en 2022
A la fin du lycée, j’ai hésité avec médecine mais j’ai choisi une prépa BCPST car j’avais besoin de conserver les maths, la physique-chimie et les SVT pour avoir une vision globale des sciences. L’enseignement est précis et rythmé (les chapitres s’enchaînent rapidement), cela permet de gagner des capacités en rapport qualité/quantité de travail. Il faut savoir s’organiser pour être efficace au bon moment et essayer de comprendre toutes les notions abordées. Les nombreuses évaluations (DS et colles) nous permettent d’obtenir de l’aisance pour les concours finaux. L’aide des professeurs est très importante dans ce parcours : toujours prêts à répondre à toutes nos questions. J’ai finalement choisi d’intégrer AgroParisTech qui me permet de garder un large choix de domaines pour mon futur.
Lou FONDO intègre l’ENV Alfort en 2022
Dès ma seconde, j’ai choisi d’aller au lycée Clemenceau à Reims afin d’intégrer sa classe prépa BCPST et de passer le concours véto. J’ai toujours aimé la biologie, et j’ai apprécié le fait que cette voie comporte aussi d’autres matières comme la physique ou l’informatique. Le plus de cette prépa est la convivialité et le soutien des professeurs. A l’issue d’une première tentative, même si je pouvais intégrer une école d’ingénieurs, j’étais loin de mon objectif. Mais ce n’est pas pour autant que j’ai baissé les bras et finalement, j’ai décroché cette année l’école vétérinaire d’Alfort. Ces trois ans ont été très enrichissants et je suis heureuse d’avoir choisi cette prépa qui m’a aidée à accomplir mon rêve.

Lou GUYOT et Pia GIRAUDET intègrent l’ENS de Lyon en 2021
On est arrivées en prépa sans trop savoir où on allait, on a passé les écrits ENS pour le principe, les oraux pour le défi, et on ne pensait pas du tout être admises avant de mettre les pieds dans nos résidences. J’avais (Pia) les notes pour aller dans une prépa à Paris, mais j’ai préféré rester chez mes parents : la prépa est assez fatigante comme ça ! Finalement, c’était une bonne idée. L’ambiance à Reims est très sympa, les étudiants s’entraident, les professeurs sont vraiment présents pour nous, et si on vise haut ils sont là pour nous pousser. Pour les concours, surtout pour l’ENS, il faut croire en soi et tenter, même si ça fait peur. Le résultat en vaut la peine !
Matthieu JEANNELLE, Ingénieur ENSG en poste chez Eiffage
Arrivé en terminale sans savoir vraiment où j’allais, je me suis dit « Tiens, j’aime bien les SVT, et si je continuais à en faire après le bac ? ». C’est ainsi que je me suis retrouvé en BCPST à Clem’. Des années formidables durant lesquelles je me suis fait les meilleurs amis possibles et où je me surprenais à prendre de l’avance en géologie plutôt qu’en biologie : mon choix était fait, j’irais en École de Géologie. A l’ENSG, j’ai appris mon métier de géotechnicien – qui m’était proposé alors même que je ne n’étais pas encore sorti de l’École ! Vérification de la géologie du chantier, suivi des cavités souterraines et des tassements du sol… Métier assez prenant mais passionnant, l’assurance d’une grande fierté et d’un salaire à l’avenant.
Caroline, Mathilde, Nathan, Alix et Capucine intègrent Vetagrosup Lyon (ENV) en 2021.
(Témoignage de Mathilde)
Dès mon plus jeune âge j’ai su que je voulais devenir vétérinaire et quand est arrivé le moment de choisir ma voie d’accès aux ENV, j’ai décidé de faire une classe prépa BCPST à Clemenceau (j’y avais déjà passé mes années lycée).
Les idées reçues que j’avais pu avoir sur la prépa ont vite été balayées. En effet, j’y ai trouvé des professeurs à l’écoute, investis et passionnés ainsi qu’une classe à l’ambiance chaleureuse basée sur l’amitié et l’entraide. Ces 3 années de prépa, certes difficiles, m’ont permis de développer une méthode de travail solide, une bonne aisance à l’oral et des connaissances scientifiques transversales. J’ai pu aussi prendre confiance en moi et apprendre à me dépasser.
Lou et Pia, intègrent l’ENS de Lyon en 2021
On est arrivées en prépa sans trop savoir où on allait, on a passé les écrits ENS pour le principe, les oraux pour le défi, et on ne pensait pas du tout être admises avant de mettre les pieds dans nos résidences. J’avais (Pia) les notes pour aller dans une prepa à Paris, mais j’ai préféré rester chez mes parents : la prépa est assez fatigante comme ça. Finalement c’était une bonne idée! L’ambiance à Reims est très sympa, les étudiants s’entraident, les professeurs sont vraiment présents pour nous, et si on vise haut ils sont là pour nous pousser. Pour les concours, surtout pour l’ENS, il faut croire en soi et tenter, même si ça fait peur. Le résultat en vaut la peine !
Florine, Youssef, Léo, Rachel et Emma, intègrent AgroParisTech en 2021 (témoignage, Rachel)
En terminale, j’hésitais avec une prépa MP mais la BCPST m’attirait car il y a autant de maths que de physique et de SVT, et cette diversité offre un panel de choix d’écoles rassurant.
Bien qu’habitant à proximité de Paris, j’ai choisi d’aller à Clemenceau pour l’ambiance d’une prépa de province. Loger à l’internat m’a permis d’être soudée à mes camarades.
La prépa requiert une charge non négligeable de travail, volonté et motivation. Mais les professeurs sont toujours bienveillants et investis dans notre réussite.
Intéressée par deux écoles, j’ai choisi AgroParisTech pour continuer ma formation en biologie et faire un double diplôme avec l’école de géomatique (géographie et informatique) pour travailler dans l’aménagement du territoire tout en préservant l’environnement.
5 étudiants intègrent l’Ecole Vétérinaire d’Alfort en 2020.
Matthieu Jeannelle, Ingénieur ENSG en poste chez Eiffage
Arrivé en terminale sans savoir vraiment où j’allais, je me suis dit « Tiens, j’aime bien les SVT, et si je continuais à en faire après le bac ? ». C’est ainsi que je me suis retrouvé en BCPST à Clem’.. Des années formidables durant lesquelles je me suis fait les meilleurs amis possibles et où je me surprenais à prendre de l’avance en géologie plutôt qu’en biologie : mon choix était fait, j’irais en École de Géologie.
A l’ENSG, j’ai appris mon métier de géotechnicien -qui m’était proposé alors même que je ne n’étais pas encore sorti de l’École ! Vérification de la géologie du chantier, suivi des cavités souterraines et des tassements du sol… Métier assez prenant mais passionnant, l’assurance d’une grande fierté et d’un salaire à l’avenant.
Pierre Riteau intègre l’école vétérinaire Oniris (Nantes) en 2020.
Vétérinaire est le métier que j’avais en tête depuis longtemps, c’est donc naturellement que je me suis orienté vers une BCPST. En fin de terminale, mes professeurs me poussaient plutôt à rejoindre une prépa parisienne, mais j’ai préféré rester dans ma zone de confort en ne partant pas trop loin, et en 2 ans passés à Clémenceau, je n’ai jamais regretté ce choix : les professeurs sont toujours à l’écoute, nous préparent idéalement aux échéances, et la classe est solidaire. Évidemment, il existe des périodes difficiles, mais elles seront vite éclipsées par de bons moments et la perspective de rejoindre l’école de votre choix.
Laplace, intègre l’ENVA en 2018.
J’ai toujours voulu devenir vétérinaire alors je n’ai pas hésité à faire BCPST, et deux ans après je ne regrette pas d’avoir choisi Clem et pas une prépa parisienne, bien au contraire. Car c’est grâce aux profs et à la très (très) bonne ambiance de Clem que j’ai réussi à intégrer l’école d’Alfort. Je pense que pour réussir en prépa il faut (en plus d’un travail conséquent évidemment) se sentir bien et pour cette raison, privilégier une prépa proche de chez soi avec des profs à l’écoute et une bonne entraide entre élèves est la meilleure chose à faire.
Alors c’est vrai, ce ne sont pas des années faciles, mais il faut rester motivé avec son objectif en tête et donner le meilleur de soi-même pour n’avoir aucun regret. Et finalement, j’en garde un bon souvenir !
Pauline Moehlinger, Jana Colli-Cantoni, Camille Steux et Emma Crouzet, intègrent AgroParisTech en 2018
(témoignage, Camille Steux).
Après ma terminale, je ne savais pas vers quoi m’orienter. J’ai finalement choisi d’aller en classe préparatoire BCPST car j’aimais particulièrement la biologie, et parce que les classes préparatoires, en plus d’offrir une formation scientifique solide, prodiguent un cadre sécurisant. Je n’ai pas hésité à aller à Clemenceau, proche de chez moi et loin de l’ambiance très compétitive des prépas parisiennes.
Je n’ai à aucun instant regretté mon choix. Les professeurs sont très investis dans notre réussite et l’ambiance de classe offre un soutien essentiel au cours de ces deux ou trois années. En effet, la charge de travail est intense et requiert beaucoup de volonté. Mais les capacités de travail acquises, considérables, sont utiles pour la suite.
Au fil de la prépa, je me suis découvert un intérêt pour les métiers de la recherche. Intégrer AgroParisTech me permet de poursuivre dans cette voie, tout en découvrant différents aspects de la biologie et de ses métiers.
Pauline Anot, Clément Baldureaux et Maxime Mantz intègrent l’ENVL en 2016
Nous sommes tous les trois entrés à Clemenceau avec l’objectif d’intégrer une école Vétérinaire. Le chemin peut paraître long et fastidieux mais la bonne ambiance et le soutien permanent des professeurs ont été d’énormes piliers pour notre réussite. Au-delà d’une voie d’entrée pour une grande école, la classe prépa reste un travail sur soi extraordinaire, permettant d’acquérir des connaissances et une logique scientifiques avancées. Ces deux années (trois parfois) nous ont appris à avoir confiance en nous et notre travail. Finalement, la classe préparatoire, c’est un peu comme l’ascension du Mont Everest : vous hésiterez, vous aurez peur de l’échec, ce sera dur … mais au sommet c’est un grand sourire qui vous attend ! »
Lucie Rémichius, intègre AgroParisTech Grignon en 2016 (en terminant 11ème au classement national).
J’ai intégré la prépa BCPST de Clemenceau il y a deux ans avec l’idée de devenir vétérinaire. J’ai rapidement compris que ce métier ne me plairait pas mais la BCPST offre plein d’autres débouchés. Les forums organisés par le lycée m’ont permis de m’orienter vers les métiers de l’industrie agroalimentaire et cette année, j’ai intégré AgroParisTech avec deux de mes camarades.
Bien sûr, les années de prépa ne sont pas faciles, elles exigent beaucoup de travail et d’investissement personnel. La bonne ambiance de classe et l’aide des professeurs aident à traverser ces deux ou trois ans pour finalement intégrer l’école de son choix et accéder à des métiers valorisants. Je garde un bon souvenir de Clemenceau et je souhaite bon courage à tous nos futurs BCPST.
Chloé Steinmetz, Thibaud Alin, Victor Beauvois, et Tom Boury, intègrent Agrosup Montpellier en 2015
La prépa mérite bien sa réputation : deux années de travail intense ! Mais c’est aussi des rencontres, des fous rires et des amitiés qui durent. À Clem’, il y a toujours quelqu’un pour nous remonter le moral en cas de « coup de mou », que ce soient les amis ou les profs, qui sont très disponibles et impliqués pour nous faire réussir. Nous avons eu la chance d’intégrer tous ensemble et nous ne regrettons pas ces deux années au cours desquelles nous avons certes beaucoup travaillé, mais aussiappris énormément de choses passionnantes pour ceux qui aiment la biologie et les sciences. L’Ecole d’ingénieurs agronomes nous ouvre à présent une multitude de portes.
Lucie Blanchard, Ophélie Bonhomme et Camille Rifflart, intègrent l’ENVL en 2015
À toi qui songes à entrer en BCPST, nous souhaitons bien du courage ; car ne nous le cachons pas, de longues heures de travail t’attendent devant ton bureau. Mais ce n’est pas la seule chose que l’on retient de ces 2 ou 3 années. On y rencontre également des personnes formidables (profs ou élèves), avec qui l’on partage des moments de franche rigolade dans une ambiance d’entraide permanente. Et surtout cette classe te permettra d’accomplir tes rêves, comme nous avons réalisé les nôtres en intégrant l’ENVL.
Pierre-Gilles Vogt, intègre Agro ParisTech en 2015
C’est en classe de terminale S, en discutant avec un professeur, que j’ai découvert l’existence de la prépa, qui selon lui représente la « voie d’or » pour l’accès aux grandes écoles d’ingénieurs. Cependant, il m’a bien prévenu que ce parcours n’était pas aisé. C’est vrai, la prépa est une étape difficile. Le parcours en BCPST requiert assiduité et motivation, qui permettent de progresser et d’acquérir un énorme bagage. Mais les deux années passent vite, et l’ambiance y compte pour beaucoup ! L’effectif est réduit et tout le monde se connait, se côtoie au quotidien. Les profs sont très présents et accessibles puisqu’ils sont là rien que pour nous. Et c’est ainsi que j’ai passé deux très bonnes années à Clemenceau.
Elisabeth Chmura, intègre l’ENV Alfort en 2014.
Depuis que j’ai 5 ans, je veux devenir vétérinaire, alors la prépa c’était un peu le passage obligé…C’est certain que ce ne sont pas deux années reposantes d’un point de vue scolaire mais je ne regrette pas d’avoir choisi Clemenceau pour les passer : on est dans un lycée où il n’y a qu’une seule classe de BCPST, on est chouchouté par nos profs, l’ambiance est extra, il y a une vraie cohésion dans les promos, et ça c’est fondamental pour bien réussir sa prépa ! Aujourd’hui, je suis entrée à l’ENVA, et j’emporte avec moi de très bons souvenirs de Clemenceau.
Si c’était à refaire, je le referai sans aucune hésitation.
Thelma Panaïotis, intègre l’ENS Cachan en 2014.
Mes parents étaient plutôt d’avis que je fasse une « grande » prépa parisienne alors que je préférais rester à Clemenceau, et je pense avoir bien fait ! C’est en 2ème année que j’ai commencé à me dire « et pourquoi pas les ENS ? ». Si votre but est d’intégrer une école très sélective, fairesa prépa à Parisn’est pas une obligation,il est aussi possible d’intégrer une de ces écoles en restant à Clemenceau. Et je ne regrette absolument pas mon choix : l’ambiance est bonne, il n’y a pas d’esprit de compétition et les professeurs sont à votre écoute. Bien sûr, la quantité de travail est importante, mais on y fait face en restant soudés. On apprend beaucoup en 2 (voire 3) ans de prépa, et pas seulement des connaissances : on apprend à travailler, à s’organiser et on s’épanouit vraiment.
Clémence Maërte, intègre l’ENV Alfort en 2014
J’avais un rêve, devenir vétérinaire. Pour cela je suis passée par Clemenceau. J’avais beaucoup de préjugés sur la prépa : mauvaise ambiance entre les élèves, beaucoup de travail, des profs qui rabaissent les élèves… Alors oui c’est vrai il faut travailler dur, et sans vraiment trop savoir pourquoi des fois. Mais j’ai rencontré des personnes merveilleuses qui sont maintenant mes meilleurs amis. Je ne pense pas avoir mis ma vie entre parenthèse pendant ces 3 années, on profite juste différemment en prépa. On rencontre des gens qui nous ressemblent, qui nous comprennent et qui vont nous permettre de rigoler comme jamais malgré la pression. De plus j’ai intégré l’école de mes rêves et je sais que cela n’aurait jamais été possible sans mes professeurs qui ont toujours cru en moi alors que ce n’était pas forcément mon cas.
La prépa c’est donc 2 ou 3 ans de galère, que je referais sans hésiter.
Clémence Troyon, entrée en prépa en 2003, Chef de Projet Innovation Soin chez Guerlain depuis 2013
Après avoir intégré en 2005 l’ENSAIA, en filiale Industrie Alimentaire et spécialisation Formulation et Développement Industriel, j’ai évolué au sein de postes de gestion de projet Développement Produit. Cela d’abord en stage chez Yves Rocher, sur de nouveaux produits de soin et d’hygiène, puis en Australie chez Diageo sur des spiritueux ou encore sur de la joaillerie chez Cartier.
J’ai récemment intégré l’entreprise de produits cosmétiques Guerlain, au sein de laquelle j’agis en interface entre les services marketing et les différents experts métiers (achat, packaging, formulation, usine) pour faire avancer le projet, communiquer et alerter des dérives. Le chef de projet a un rôle très complet qui permet d’être au cœur de l’innovation produit et qui nécessite d’appréhender les challenges de tous les métiers de l’entreprise.
Voici quelques exemples de développements produits auxquels j’ai contribué :
Yves Rocher : Mini baume hydratant, mini gommage pour le corps, gel douche pour l’été, redesign de la gamme de produits solaires.
Diageo : Lancement d’un nouveau Rhum sur le marché Australien, importation de nouveaux parfums Baileys, redesign de la gamme Smirnoff, nouveau format de cocktails.
Guerlain : Développement de produits sur deux gammes de soin.
Matthieu Jeannelle, Ingénieur ENSG en 2011 embauché chez Eiffage en 2011
Arrivé en terminale S sans avoir jamais vraiment su où j’allais, je me suis dit un beau jour « Tiens, j’aime bien les SVT, et si je continuais à en faire après le bac ? ». C’est comme ça que je me suis retrouvé en BCPST à Clem’, sans doute le meilleur choix de ma vie pris « à l’insu de mon plein gré ». Des années formidables, durant lesquelles je me suis fait les meilleurs amis possibles – que je fréquente toujours- et où je me surprenais à prendre de l’avance en géologie plutôt que de rattraper mon retard en biologie : mon choix était fait, j’irais en École de Géologie. Et trois ans plus tard, me voilà ingénieur géologue géotechnicien diplômé de l’ENSG.
Avec le recul, c’est bien grâce à la Prépa que je me suis épanoui jusqu’à arriver à intégrer la meilleure École de Géologie de France, où j’ai appris mon métier -qui m’était proposé chez Eiffage Travaux Publics à l’issue de mon stage de fin d’étude alors même que je ne n’étais pas encore officiellement sorti de l’École ! Vérification de la géologie du chantier, suivi des cavités souterraines et des tassements du sol : voilà quelques exemples de mes activités quotidiennes. Métier assez prenant mais passionnant, l’assurance d’une grande fierté et d’un salaire à l’avenant.
Léa BRACONNIER et Edouard WYNCKEL intègrent l’Ecole Vétérinaire de Lyon en 2013.
Rester à Reims ou partir dans une classe préparatoire réputée « plus prestigieuse » ? Nous nous sommes tous deux posés la question à la fin de notre année de Terminale et deux (voire trois) ans plus tard, c’est finalement sans regrets que nous avons choisi de rester au lycée Clemenceau. Au programme : bien sûr, de longues heures de travail en perspective, ainsi qu’une motivation et une détermination nécessaires pour y arriver. Mais la classe BCPST de Clem’, ce sont aussi des rencontres inoubliables, dans l’ambiance conviviale d’une classe très soudée et avec une équipe de professeurs toujours présents, à notre écoute et déterminés à ce que nous réussissions et atteignions tous notre but : réussir LE concours et intégrer l’école de nos rêves. Nous garderons un très bon souvenir de ces années, alors quelle que soit ton ambition (vétérinaire, ingénieur agronome, géologue ou chercheur), accroche-toi, et surtout n’oublie pas ce conseil : rejoins la classe BCPST du lycée Clemenceau !
Mélanie THIEULEUX intègre l’ENGEES en 2013.
Je suis rentrée à Clemenceau avec l’intention d’obtenir le concours véto. Cependant, malgré le travail fourni, il arrive (ce fut mon cas) de ne pas intégrer l’école souhaitée. Néanmoins, à l’heure actuelle, je n’ai absolument aucun regret car depuis que j’ai intégré l’ENGEES, j’aime vraiment ce que j’y fais ! La prépa BCPST ouvre de multiples débouchés et grâce aux connaissances acquises durant ces années d’études, il est facile de prendre une nouvelle voie, même si elle est différente de celle envisagée au départ. L’important c’est d’être motivé et toujours intéressé. Évidemment, qui dit « prépa » dit aussi « grande quantité de travail » mais heureusement, à Clem’, il y a une très bonne ambiance et j’en garde vraiment un bon souvenir.
Charlotte LAPERE, Perrine HENRY et Laurianne LUCAS intègrent l’Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse en 2012.
La prépa peut faire peur, et c’est vrai il y a beaucoup de travail. Mais la prépa ce n’est pas que le travail, il y a des rencontres : des amitiés extrêmement fortes se créent ; et une formation très intéressante donnée par une excellente équipe pédagogique. Et surtout la prépa nous permet de rentrer dans l’école de nos rêves. Nous avons intégré l’ENVT et ne regrettons pas une seconde d’avoir fait ces deux années de prépa qui ont été formidables au lycée Clemenceau !
Laura Desban, intègre l’ENS Cachan en 2009.
Au premier abord c’est sûr qu’intégrer une prépa peut paraître rébarbatif. Mais tout dépend, en réalité, de la prépa… Pour ma part, je ne regrette en rien mes deux années à Clemenceau ; j’y ai trouvé une ambiance formidable au sein d’une promo très soudée. Alors, même si cela n’allège pas la dose de travail, cela aide grandement et maintient le moral des troupes ! Ce qui n’est pas négligeable dans ce genre de situation. Je garde de mes deux années à Clem un très bon souvenir, ainsi que des anecdotes et une expérience irremplaçables. Je n’hésiterais pas à le refaire si j’en avais l’occasion… Surtout que je ne serais sûrement pas là où je suis aujourd’hui sans les bases que j’ai reçues ici. En résumé : une ambiance agréable, de nouvelles connaissances, de nombreux débouchés, sans oublier toute l’équipe des professeurs très présents et à l’écoute… A ne pas rater !
Alice Leclerc et Pauline Lavoisy, intègrent AgroParisTech en 2010.
La classe prépa peut effrayer, elle a une belle réputation derrière elle. Mais celle-ci est incomplète. Certes, il faut beaucoup travailler, mais dans une très bonne ambiance. Les profs sont attentifs et nous préparent au mieux à l’étape finale : le concours. A Clemenceau, il n’y a qu’une seule classe de BCPST, on se connaît tous, et on s’entraide, sans esprit de concours entre nous. La prépa permet la naissance de belles amitiés, qui sont bien parties pour durer. Et finalement le jeu en vaut la chandelle ! N’hésitez pas, deux ans ce n’est pas si long que ça !
Héloïse Mouchet, intègre l’Ecole Vétérinaire de Nantes en 2011.
Bien sur, lorsqu’on entend parler de prépa, on pense tout de suite au travail scolaire, et on a raison ! Pendant 2 ans (ou 3 ans pour les plus persévérants) les élèves mettent leur vie entre parenthèses. Les années de prépa m’ont permis de m’enrichir humainement et personnellement. L’équipe éducative a toujours été attentive et présente. Elle nous a soutenus, nous a accompagnés et nous a encouragés à dépasser nos limites. Aujourd’hui, j’ai réalisé mon rêve, j’ai intégré l’école vétérinaire de Nantes, et je ne regrette pas les sacrifices que j’ai dû faire pour y arriver. Je garderai toujours un bon souvenir des années passées à Clemenceau.
Matthieu Jeannelle, Ingénieur ENSG embauché chez Eiffage en 2011
Arrivé en terminale S sans avoir jamais vraiment su où j’allais, je me suis dit un beau jour « Tiens, j’aime bien les SVT, et si je continuais à en faire après le bac ? ». C’est comme ça que je me suis retrouvé en BCPST à Clem’, sans doute le meilleur choix de ma vie pris à l’insu de mon plein gré. Deux années formidables (plus une troisième car les concours ne m’ont pas réussi du premier coup), durant lesquelles je me suis fait les meilleurs amis possibles -que je fréquente toujours- et où je me surprenais à prendre de l’avance en géologie plutôt que de rattraper mon retard en biologie : mon choix était fait, j’irais en École de Géologie. Et trois ans plus tard, me voilà suis ingénieur géologue géotechnicien diplômé de l’ENSG. Avec le recul, c’est bien grâce à la Prépa que je me suis épanoui jusqu’à arriver à intégrer la meilleure École de Géologie de France, où j’ai appris mon métier -qui m’était proposé chez Eiffage Travaux Publics à l’issue de mon stage de fin d’étude alors même que je ne n’étais pas encore officiellement sorti de l’École ! Vérification de la géologie du chantier, suivi des cavités souterraines et des tassements du sol : voilà quelques exemples de mes activités quotidiennes. Métier assez prenant mais passionnant, l’assurance d’une grande fierté et d’un salaire à l’avenant. La Prépa m’aura permis de mettre en application quotidienne un célèbre théorème :
« Choisis un métier qui te plait, et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie. » Confucius